Over the past few years, a troubling new trend at the international human rights level is being observed, where discourses on ‘protecting the family’ are being employed to defend violations committed against family members, to bolster and justify impunity, and to restrict equal rights within and to family life.
The campaign to "Protect the Family" is driven by ultra-conservative efforts to impose "traditional" and patriarchal interpretations of the family, and to move rights out of the hands of family members and into the institution of ‘the family’.
“Protection of the Family” efforts stem from:
rising traditionalism,
rising cultural, social and religious conservatism and
sentiment hostile to women’s human rights, sexual rights, child rights and the rights of persons with non-normative gender identities and sexual orientations.
Since 2014, a group of states have been operating as a bloc in human rights spaces under the name “Group of Friends of the Family”, and resolutions on “Protection of the Family” have been successfully passed every year since 2014.
This agenda has spread beyond the Human Rights Council. We have seen regressive language on “the family” being introduced at the Commission on the Status of Women, and attempts made to introduce it in negotiations on the Sustainable Development Goals.
Our Approach
AWID works with partners and allies to jointly resist “Protection of the Family” and other regressive agendas, and to uphold the universality of human rights.
In response to the increased influence of regressive actors in human rights spaces, AWID joined allies to form the Observatory on the Universality of Rights (OURs). OURs is a collaborative project that monitors, analyzes, and shares information on anti-rights initiatives like “Protection of the Family”.
Rights at Risk, the first OURs report, charts a map of the actors making up the global anti-rights lobby, identifies their key discourses and strategies, and the effect they are having on our human rights.
The report outlines “Protection of the Family” as an agenda that has fostered collaboration across a broad range of regressive actors at the UN. It describes it as: “a strategic framework that houses “multiple patriarchal and anti-rights positions, where the framework, in turn, aims to justify and institutionalize these positions.”
Related Content
¿AWID realizará un llamado a presentar propuestas?
¡Sí! Por favor lee la Convocatoria de Actividades y presenta tu propuesta aquí. La fecha límite es el 1ero de febrero de 2024.
Mena Mangal était une éminente journaliste de télévision, défenseure des droits des femmes et conseillère culturelle du Wolesi Jirga, la chambre basse du parlement national afghan.
Pendant plus d’une décennie, Mena a travaillé pour Ariana TC, la chaîne en pashto Lamar de Tolo TV et la chaîne de télévision nationale privée Shamshad TV. Mena était principalement présentatrice d’émissions sur les droits des femmes et la culture.
« La défenseure des droits des femmes Wazhma Frogh a dit que Mangal « se faisait entendre » et s’exprimait ouvertement en faveur de la défense de son peuple. »
Loin des écrans, elle dirigeait également des plateformes sur les réseaux sociaux, promouvant les droits à l’éducation et au travail des filles et femmes afghanes. Sur le plan de sa vie privée, Mena a longuement écrit sur le mariage arrangé qu’elle a été forcée d’accepter en 2017, et le long processus qui s’en est suivi pour finalement obtenir le divorce.
Dans un post sur Facebook, Mena avait écrit qu’elle recevait des menaces de mort de sources inconnues, mais qu’elle continuerait néanmoins son travail.
Elle a été attaquée le 11 mai 2019 par des hommes armés inconnus et tuée en plein jour et dans un espace public, dans le sud-est de Kaboul.
« La situation nous inquiète, car elle a un impact direct sur les femmes qui travaillent en dehors de la maison... Les femmes journalistes changent de profession du fait de l’augmentation des risques auxquels elles sont confrontées. » - Robina Hamdard, défenseure des droits des femmes à Kaboul
OURS 2021 - Chapter 1 es
Capítulo 1
Promover agendas feministas: progresos clave en género y sexualidad
La montée en puissance des antidroits a préparé son terrain. Nous devons comprendre la montée de l’ultranationalisme, du pouvoir incontrôlé des entreprises, de la répression croissante et de l’amenuisement de l’espace civique pour contextualiser les menaces actuelles contre nos droits.
É possível existir várias respostas para o inquérito WITM em nome de um grupo específico?
Não, solicitamos apenas um inquérito completo por grupo.
À propos du Forum international de l'AWID
Plus qu'un événement !
Le Forum international de l'AWID est un événement mondial qui offre aux participant·e·s une occasion unique de se rencontrer, tisser des alliances, de faire la fête et d’apprendre des autres dans une ambiance stimulante, riche en émotions et en toute sécurité.
Forum international de l'AWID, à Costa de Sauipe, Brésil, 2016
De plus en plus, nous nous efforçons de penser le processus du Forum au-delà des limites de l’événement lui-même. Nous ouvrons des discussions avec des partenaires et renforçons des alliances tout au long de l’année. Nous essayons d’être au plus proches des mouvements locaux pour comprendre leurs difficultés et co-créer des solutions.
Le Forum de l’AWID un espace propice aux discussions en profondeur, qui repousse nos limites internes et externes et favorise le développement personnel et professionnel, en plus de renforcer nos mouvements pour la justice sociale, de genre et les droits des femmes.
Nous envisageons ce moment de rencontre comme une réponse à l’urgence de favoriser un engagement plus marqué et une action mieux concertée entre les organisations féministes, les défenseur·e·s des droits des femmes et les autres activistes de justice sociale. Pour nous, le Forum est plus qu’un événement. Il nourrit nos réflexions respectives et nous aide à cerner des initiatives concrètes dans lesquelles les mouvements féministes et peuvent s’engager avec d’autres acteurs·trices.
Au départ un événement national d’environ 800 personnes, le Forum rassemble aujourd'hui plus de 2 000 féministes, des dirigeant·e·s communautaires, des activistes de justice sociale et des bailleurs de fonds du monde entier.
Le prochain forum de l'AWID aura lieu du 11 au 14 janvier 2021 à Taipei, Taiwan.
2016 : Horizons féministes : Construire un pouvoir collectif pour les droits et la justice (Costa de Sauipe, Brésil)
Participant-e-s au Forum des féminismes noirs, Brésil 2016
Compte tenu de la complexité du monde d'aujourd'hui, le Forum de l'AWID 2016 ne s'est pas concentré sur un « problème » particulier mais a plutôt exploré comment créer des moyens efficaces de travailler ensemble !
Malgré le contexte difficile dans lequel s’est déroulé le Forum de 2016 (l’épidémie de Zika, la grève au ministère des Affaires étrangères brésilien, la destitution de la présidente Dilma Rousseff et l’instabilité qui a suivi), il a rassemblé plus de 1800 participant-e-s issu-e-s de 120 pays et territoires de toutes les régions du monde.
Ce qu’il s’est passé au Forum 2016:
Pour 96 % des participant·e·s qui ont répondu à l’enquête d’évaluation du Forum, le Forum a représenté une source majeure d’inspiration et d’énergie.
Quelque 98 % des participant·e·s ont considéré qu’il s’agissait d’un espace de rassemblement important pour les mouvements féministes et ont exprimé l’espoir que l’AWID continue d’organiser de tels forums.
59 % des répondant·e·s au sondage d’évaluation du Forum ont déclaré être très satisfai·e·s du Forum et 34 % assez satisfait·e·s.
Plus de 150 sessions ont été organisées sous divers formats et sur une variété de sujets allant de l’intégrité physique et de la liberté corporelle, en passant par la violence de genre sur le lieu de travail et les stratégies visant à renforcer le pouvoir collectif.
Le premier Forum des Féminismes noirs juste avant le Forum de l’AWID lui-même a rassemblé 250 féministes noires du monde entier pour co-créer un espace important afin de construire et de renforcer les relations transnationales et intergénérationnelles
Lisez en détail les accomplissement du Forum de l’AWID 2016 :
2012 - Transformer le pouvoir économique pour avancer les droits des femmes et la justice (Istanbul, Turquie)
Forum international de l'AWID, au Cap, Afrique du Sud, 2008
Le 12e Forum de l’AWID s’est tenu à Istanbul en Turquie en 2012, avec pour thème central Transformer le pouvoir économique pour avancer les droits des femmes et la justice. Ce Forum fut le plus important et le plus diversifié de l’histoire, rassemblant quelque 2 239 activistes pour les droits des femmes en provenance de 141 pays différents. Parmi elles-eux, environs 65 % venaient de pays du Sud, près de 15 % étaient des jeunes femmes de 30 ans et moins, alors que 75 % participaient au Forum pour la première fois.
Le Forum s’est focalisé sur la transformation du pouvoir économique pour faire progresser les droits des femmes et la justice en proposant plus de 170 activités incluant des ateliers de formation en économie féministe, en passant par toute une séries d’ateliers de discussion et autres tables rondes solidaires autour de 10 grandes questions cruciales.
Dans l’élan du Forum, nous avons transformé la page qui lui était dédiée en un outil multimédia en ligne qui intègre également les contenus générés par les participant-e-s sur toutes les composantes du Forum.
1989-1990 : L’autonomisation mondiale des femmes (États-Unis)
1987 : Aller de l’avant : Propositions innovantes pour la recherche, l’action et les politiques de développement (États-Unis)
1985 : Femmes créatrices de richesse : Transformer le développement économique (États-Unis)
1983 : Les Femmes dans le développement (WID) (Washington D.C., États-Unis)
Faut-il être membre de l'AWID pour participer au Forum ?
Non, il n'est pas nécessaire d'être membre de l'AWID pour y participer, mais les membres de l'AWID bénéficient d'une réduction sur les frais d'inscription ainsi que d'un certain nombre d'autres avantages.
Jaitun, commonly referred to as ‘Amma’, was committed to ensuring the reproductive rights of women and girls in India. She was particularly dedicated to advocating for those living in poverty and who are most marginalized, including Dalit and Muslim women and girls.
Jaitun was the vital force behind the case Jaitun v Janpura Maternity Home & Ors. Her perseverance for justice led to a ground-breaking judgment issued by the High Court of Delhi, holding the Indian government accountable for failing to deliver a number of its legally-binding obligations such as reproductive health care and the right to food.
Her daughter Fatema who was living under the poverty line was denied reproductive services and had to deliver her child in public, under a tree. At the time, both Jaitun and Fatema were homeless as a result of their home being demolished by the government as part of redevelopment and gentrification in New Delhi.
“The judgment has since been used by countless lawyers and activists globally, including the Former United Nations Special Rapporteur on the Right to Health, not only as a source of inspiration but as a solid springboard to further justice.” - Jameen Kaur
Jaitun has inspired many other women living in poverty to claim their rights. She passed away in 2017.
“In Jaitun’s death, we have now lost an inimitable warrior for justice, but her spirit of defiance lives on.” - Jameen Kaur
“In my 18 years as a human rights advocate, I have not met a woman that has inspired and moved my spirit in the same way Amma did. Her roaring courage; her imitable humour - we used to compare her to the Bollywood actress Hema Melini - as she would be upset we had spent so much time away from her - she would say, with a twinkle in her eye, ‘You have forgotten Amma, Amma is not speaking to you’ and then with great dramatics turn her back, only to turn around laughing and stretching her arms out for a hug. Her kindness and ultimately her love and joy for love and the right for all of us to live with dignity. I miss her terribly.” - Jameen Kaur
Bibliothèque de ressources « Nos droits en danger »
Bibliothèque de ressources « Nos droits en danger »
Collection évolutive de ressources en soutien aux mouvements féministes, aux décideur·euse·s et aux allié·e·s pour contrer les fascismes, les fondamentalismes et résister aux tendances antidroits.
هل استطيع تعبئة الاستطلاع خارج KOBO ومشاركتكم/ن الأجوبة عن طريق البريد الالكتروني؟
ما لم تكن هناك مشكلات في إمكانية الوصول و/أو إذا كنت تملأ/ئي الاستبيان بلغات أخرى، فإننا نشجعك بشدة على استخدام KOBO لجمع وتحليل البيانات الموحدة للاستطلاع.
English article
English body
How does the AWID Forum connect to regional and other spaces?
We are in communication with regional, thematic and funder convenings planned for 2023-2024, to ensure flow of conversations and connections. If you are organizing an event and would like to make a connection to the AWID Forum, please get in touch with us!
Isabel Cabanillas de la Torre fue una activista joven y una artista feminista muy querida de Ciudad Juárez, México, conocida por sus hermosos diseños evocadores de indumentaria pintada a manoen los que los ojos eran una característica emblemática de su trabajo. Sus murales transformaron los edificios abandonados y vacíos del centro de Ciudad Juárez, al sumarles vida y crítica política a sus paredes.
A través de su arte y de su activismo político, Isabel buscó llamar la atención sobre la violencia de género que se extendía por su ciudad natal. Colaboró como voluntaria con la red Mesa de Mujeres en el proyecto «Observatorio Ciudadano de Género», que monitoreaba la actuación de jueces, fiscales y defensorxs públicxs en casos de femicidios y otras violaciones a los derechos basadas en el género. Integró también «Hijas De Su Maquilera Madre», una colectiva feminista cuyo nombre alude a las hijas de madres que son trabajadoras de la maquila. Algunas de estas madres fueron las primeras víctimas de femicidio en Ciudad Juárez.
El último proyecto de Isabel (todavía en curso) fue una instalación artística para protestar contra una compañía canadiense que quería extraer cobre de los Médanos de Samalayuca.
El 18 de enero de 2020 Isabel fue atacada a balazos mientras volvía a su casa del centro de Ciudad Juárez en bicicleta, víctima, aparentemente, de un asesinato selectivo. Su cuerpo fue encontrado junto a su bicicleta.
El asesinato de Isabel desató una nueva ola de indignación contra los femicidios de la región: cientos de personas marcharon hacia el puente de la frontera entre EEUU y México, y lo bloquearon durante horas mientras cantaban «Ni una más», que es la protesta continua de las colectivas feministas contra los asesinatos de las mujeres en todo México. Solamente en 2019, 3.142 mujeres y niñas fueron asesinadas en el país; muchas de ellas fueron atacadas específicamente por su género.
Amaba andar en bicicleta.
«La bicicleta era un símbolo de libertad para ella. Simbolizaba ser libre en las calles.» - Marisol, amiga de Isabel
Rights at Risk: The Observatory on the Universality of Rights Trends Report 2017
Report:
Rights at Risk - OURs Trends Report 2017
The first report from the Observatory on the Universality of Rights acts as a compendium of information on anti-rights trends in international spaces. Find out about key anti-rights religious actors, discourses, and tactics within the UN.
Будет ли у меня возможность поделиться мыслями по вопросам, которые не учтены в опросе?
Да, в конце опроса мы попросим вас поделиться более подробной информацией по важным для вас аспектам, ответив на открытые вопросы.
Défendre les droits des personnes LGBT*QI
Une étudiante, une scénariste, une leader, une avocate. Les quatre femmes auxquelles nous rendons hommage ci-dessous avait toutes leur propre façon de vivre leur activisme, mais elles avaient en commun la promotion et la défense des droits des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, trans*, queer et intersexes. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour commémorer ces défenseuses, leur travail et l'héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.
S'il vous plaît cliquez sur chaque image ci-dessous pour voir une version plus grande et pour télécharger comme un fichier
¿Habrá un espacio para jóvenes feministas? ¿Un espacio de justicia para personas con discapacidad? ¿Un centro digital/tecnológico? ¿Posibilidad de sentarse café por medio con donantes? ¿Espacios de bienestar y sanación?
Tan pronto como podamos, compartiremos información sobre el programa, los espacios y la forma en que todo el mundo puede participar en su construcción, en camino hacia el Foro y durante el Foro. Sigue con atención las actualizaciones.
Aïssata Kane, surnommée affectueusement “Yaye Kadia” (Mère Kadia), a de tout temps été une féministe engagée dans la défense des droits des femmes africaines, et particulièrement mauritaniennes.
Au cours de sa carrière politique, en 1975, elle fut nommée ministre de la protection de la famille et des affaires sociales et travailla avec ardeur à l’amélioration du statut des femmes dans son pays; c’était la première fois qu'une femme occupait un tel poste.
Ce travail consista notamment à promouvoir l’éducation des filles et des femmes, à lutter contre la pratique du gavage sur les jeunes femmes, à faire pression pour l’inclusion d’une disposition sur les droits maritaux et à plaider en faveur de la création d’un quota de représentation féminine au Parlement.
“[Aïssata] a réalisé toutes ses passions avec humilité, courage et détermination. Elle ne voulait déranger personne avec ce combat qu’elle menait sur tous les fronts à la fois.” Ball Halimata Dem, la nièce d’Aïssata
Ayant fondé l'Union nationale des femmes de Mauritanie (UNFM), elle avait cocréé et publié pour elles le magazine Marienou, dédié à l’émancipation des femmes mauritaniennes. Aïssata dirigea également plusieurs organisations sous-régionales et locales, notamment en tant que présidente de l'Association internationale des femmes francophones (AIFF) et, en écologiste résolue, fut présidente de l'Association pour la protection de l'environnement en Mauritanie (APEM).
En 2018, on lui décerna le Prix de la Femme africaine pionnière. Ce prix honore son engagement à faire progresser le statut de la femme en Mauritanie et reconnaît son grand leadership et son sens de l'innovation.