
Saraswathi Gora

Over the past few years, a troubling new trend at the international human rights level is being observed, where discourses on ‘protecting the family’ are being employed to defend violations committed against family members, to bolster and justify impunity, and to restrict equal rights within and to family life.
The campaign to "Protect the Family" is driven by ultra-conservative efforts to impose "traditional" and patriarchal interpretations of the family, and to move rights out of the hands of family members and into the institution of ‘the family’.
Since 2014, a group of states have been operating as a bloc in human rights spaces under the name “Group of Friends of the Family”, and resolutions on “Protection of the Family” have been successfully passed every year since 2014.
This agenda has spread beyond the Human Rights Council. We have seen regressive language on “the family” being introduced at the Commission on the Status of Women, and attempts made to introduce it in negotiations on the Sustainable Development Goals.
AWID works with partners and allies to jointly resist “Protection of the Family” and other regressive agendas, and to uphold the universality of human rights.
In response to the increased influence of regressive actors in human rights spaces, AWID joined allies to form the Observatory on the Universality of Rights (OURs). OURs is a collaborative project that monitors, analyzes, and shares information on anti-rights initiatives like “Protection of the Family”.
Rights at Risk, the first OURs report, charts a map of the actors making up the global anti-rights lobby, identifies their key discourses and strategies, and the effect they are having on our human rights.
The report outlines “Protection of the Family” as an agenda that has fostered collaboration across a broad range of regressive actors at the UN. It describes it as: “a strategic framework that houses “multiple patriarchal and anti-rights positions, where the framework, in turn, aims to justify and institutionalize these positions.”
Facebook: @AWIDWomensRights
Instagram: @awidwomensrights
Twitter FR: @awid_fr
LinkedIn: Association for Women's Rights in Development (AWID)
Nous vous conseillons de demander conseil à un-e avocat-e, de communiquer avec un refuge pour femmes ou un centre d’accueil près de chez vous.
Les HotPeachPages, une ressource en ligne, contiennent des liens vers les refuges pour femmes dans le monde entier. L’AWID ne peut garantir l’exactitude ou la qualité de ces listes, mais elles peuvent constituer un bon point de départ si vous ne connaissez aucune organisation près de chez vous.
Cette année, aux côtés de militant.e.s féministes du monde entier, nous serons à la CSW68 à New York. Nous serons là pour contester les discours capitalistes et néolibéraux et les fausses solutions autour de la pauvreté, du développement et de la finance. À travers des événements en présentiel, des lives sur nos réseaux sociaux, un stand d'exposition et bien plus encore, nous visons à nous rassembler, amplifier et soutenir les voix et la participation de nos membres et allié.e.s.
Apprenez-en davantage sur notre programme cette année ci-dessous.
Prior to her retirement, she held many high profile positions including member of the Court of Appeal of Uganda and Deputy Chief Justice of Uganda. She was the first Ugandan woman to hold the position of Chief Magistrate between 1973 and 1986 and the first woman to be appointed High court judge in 1986.
She was one of the first ever women papal knights in the history of the Catholic Church in Africa. She died of a heart attack.
Follow-up International Conference on Financing for Development, Doha, Qatar
📅 Martes 12 de marzo
🕒 9:00 a. m. - 5:00 p. m. EST
🏢 Armenian Cultural Center, 630 2nd Ave. esquina con 35th St
Mona fue una economista y consultora independiente sobre temas de género y desarrollo.
Fue profesora de economía y Directora del Institute for Women's Studies in the Arab World de la Lebanese American University. Falleció repentinamente el 6 de enero de 2018.
Sus amigxs y ex-colegas dicen sobre Mona: «Cuando celebramos su vida, lo mejor que podemos hacer es comprometernos a continuar con lo que ella empezó: la igualdad de género, indefectiblemente.
Octubre de 2014: Inicio del proceso preparatorio intergubernamental para la tercera Conferencia Internacional sobre la Financiación para el Desarrollo
À travers des événements en présentiel, des lives sur nos réseaux sociaux, un stand d'exposition et bien plus encore, nous visons à nous rassembler, amplifier et soutenir les voix et la participation de nos membres et allié.e.s.
Ensemble, nous allons Récuperer Notre Pouvoir Féministe et centrer les alternatives et visions féministes autour d'économies basées sur les soins des personnes et de la planète.
Suivez-nous sur les réseaux sociaux pour plus de détails sur la façon de participer ! Participez aux conversations en utilisant les hashtags #AWIDatCSW68 et #RécupererNotrePouvoirFéministe
Instagram | Facebook | LinkedIn | X (Twitter)
Née à Bahia, dans le nord-est du Brésil, Carmen est une immigrante, militante sociale et mère de 8 enfants.
Carmen a connu l'itinérance à l'âge de 35 ans, après avoir émigré seule à São Paulo. Cela l'a amenée à devenir une ardente défenseuse des communautés vulnérables, marginalisées et invisibles les plus touchées par la crise du logement. Elle est finalement devenue l'une des fondatrices de MSTC en 2000.
En tant qu'organisatrice politique visionnaire et actuelle dirigeante du MSTC, le travail de Carmen a révélé la crise du logement de la ville de São Paulo et inspiré d'autres personnes sur différentes façons d'organiser et de gérer les occupations.
Carmen a été fermement à l'avant-garde de diverses occupations. L'une d'elles est l’Ocupação 9 de Julho, qui sert désormais de scène à la démocratie directe et d'espace où chacun·e peut être soigné·e, entendu·e, apprécié·e et travailler ensemble.
Carmen a longtemps été célébrée pour son audace à redonner vie à des bâtiments abandonnés au cœur de São Paulo.
Pour en savoir plus sur sa vie, vous pouvez la suivre sur Instagram!
Ursula était une romancière américaine dont les genres littéraires de prédilection étaient la science-fiction et le genre fantastique.
Elle a connu le succès grâce à son roman « La main gauche de la nuit », où elle imagine une société du futur où les personnes sont ambisexuelles - leur sexe n’est pas déterminé. Parmi les premiers grands livres de science-fiction féministes, ce roman explore les influences du genre et du sexe dans la société. Ursula était une source d'inspiration pour ses écrits subversifs et originaux, ainsi que pour les thèmes du féminisme et de la liberté qui lui tenaient tellement à cœur.
En 1983, lors d'un discours au Mills College en Californie, elle a déclaré aux diplômé-e-s : « Pourquoi une femme libre ayant suivi une formation universitaire devrait-elle combattre Macho-Man ou le servir ? Pourquoi devrait-elle vivre sa vie selon son bon vouloir ? J'espère que vous vivrez sans avoir besoin de dominer et sans avoir besoin d'être dominé-e ».
Tenue des autres sessions de rédaction du document final d’Addis-Abeba
Pour plus d’informations, voir le « guide du routard des OSC » (le CSO Hitchhiker’s Guide – en anglais).