
Fany Puyesky

WHRDs are self-identified women and lesbian, bisexual, transgender, queer and intersex (LBTQI) people and others who defend rights and are subject to gender-specific risks and threats due to their human rights work and/or as a direct consequence of their gender identity or sexual orientation.
WHRDs are subject to systematic violence and discrimination due to their identities and unyielding struggles for rights, equality and justice.
The WHRD Program collaborates with international and regional partners as well as the AWID membership to raise awareness about these risks and threats, advocate for feminist and holistic measures of protection and safety, and actively promote a culture of self-care and collective well being in our movements.
WHRDs are exposed to the same types of risks that all other defenders who defend human rights, communities, and the environment face. However, they are also exposed to gender-based violence and gender-specific risks because they challenge existing gender norms within their communities and societies.
We work collaboratively with international and regional networks and our membership
We aim to contribute to a safer world for WHRDs, their families and communities. We believe that action for rights and justice should not put WHRDs at risk; it should be appreciated and celebrated.
Promoting collaboration and coordination among human rights and women’s rights organizations at the international level to strengthen responses concerning safety and wellbeing of WHRDs.
Supporting regional networks of WHRDs and their organizations, such as the Mesoamerican Initiative for WHRDs and the WHRD Middle East and North Africa Coalition, in promoting and strengthening collective action for protection - emphasizing the establishment of solidarity and protection networks, the promotion of self-care, and advocacy and mobilization for the safety of WHRDs;
Increasing the visibility and recognition of WHRDs and their struggles, as well as the risks that they encounter by documenting the attacks that they face, and researching, producing, and disseminating information on their struggles, strategies, and challenges:
Mobilizing urgent responses of international solidarity for WHRDs at risk through our international and regional networks, and our active membership.
Metzineres
Juana fue una indígena maya ixil, enfermera profesional y coordinadora del Comité de Desarrollo Campesino – CODECA de la microrregión de Nebaj Quiché.
El comité es una organización de derechos humanos formada por granjerxs indígenas dedicada a promover los derechos sobre la tierra y el desarrollo rural para las familias indígenas. Inicialmente, Juana se unió a CODECA como integrante de su rama juvenil, la Juventud de CODECA. Al momento de su muerte, había sido elegida para ser parte del Comité Ejecutivo del Movimiento de Liberación de los Pueblos (MLP).
Su cuerpo fue encontrado por lxs vecinxs, junto a un pequeño río en el camino cerca de Nebaj y Villa Acambalam, en Guatemala. Según CODECA, el cuerpo de Juana mostraba signos de tortura.
The call for session proposal is now closed.
We launched a Call for Activities on November 19 2019 and the last date to receive proposals was February 14, 2020.
383 personas. |
Sa famille et ses ami-e-s se souviennent de Kagendo comme d'une activiste, féministe, artiste et cinéaste africaine acharnée
Elle a consacré plus de 20 ans à défendre les droits et la dignité des personnes LGBTIQ d'Afrique et des personnes non conformes du genre. Les collègues de Kagendo se souviennent d'elle comme une personne à la personnalité joviale, à la conviction sans faille et qui aimait la vie. Kagendo est décédée de cause naturelle chez elle à Harlem le 27 décembre 2017.
L'écrivaine et activiste kényane, Shailja Patel, a commenté son décès en ces termes « Tout au long de sa vie, l'engagement de Kagendo à établir des liens entre toutes les formes d’oppressions et à montrer comment le colonialisme a favorisé l'homophobie sur le continent africain, a contribué à rapprocher le Kenya d’un pays où les personnes queer et les femmes indépendantes pourraient vivre et prospérer. »
L’AWID remercie chaleureusement les nombreuses personnes dont les idées, analyses et contributions ont permis de rédiger la recherche "Où est l’argent pour l’organisation des mouvements féministes?" et les actions de plaidoyer au fil des années.
En premier lieu, et avant tout, nos profonds remerciements aux membres et activistes de l’AWID ayant pris part aux consultations WITM et piloté cette enquête à nos côtés, partageant si généreusement leur temps, leurs analyses et ouvrant leur cœur.
Notre gratitude va également aux mouvements féministes, aux allié·es et aux fonds féministes, et notamment, sans s’y limiter, au Black Feminist Fund, au Pacific Feminist Fund, à ASTRAEA Lesbian Foundation for Justice, à FRIDA Young Feminist Fund, à Purposeful, au Kosovo Women’s Network, au Human Rights Funders Network, au Dalan Fund et à PROSPERA International Network of Women's Funds pour vos études et recherches rigoureuses sur l’état du financement de l’organisation des mouvements, vos analyses pointues et vos incessantes actions de plaidoyer en faveur de davantage de financement de meilleure qualité et de plus de pouvoir pour l’organisation des mouvements féministes et de genre dans tous les contextes.
We will announce this soon. Stay tuned!
![]() La Cubierta
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![]() La Poderosa
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![]() La Hiedra
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![]() El Aullido
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Producción y emprendimiento |
![]() Artisana
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Described by the Guardian as one of Kiribati’s national icons, Teresia was a fearless advocate who worked closely with feminist groups in Fiji.
She used her research to address the issues of feminism and gender in the Pacific, as well as being co-editor of the International feminist Journal of Politics. Her influence spanned the academic frontier as well as social justice movements in the Oceania region.
Tout à fait, nous souhaitons connaître votre opinion et votre expérience du financement.
No, you don't have to be an AWID member to participate but AWID members receive a discounted registration fee as well as a number of other benefits.
Le Forum international de l'AWID est un événement mondial qui offre aux participant·e·s une occasion unique de se rencontrer, tisser des alliances, de faire la fête et d’apprendre des autres dans une ambiance stimulante, riche en émotions et en toute sécurité.
De plus en plus, nous nous efforçons de penser le processus du Forum au-delà des limites de l’événement lui-même. Nous ouvrons des discussions avec des partenaires et renforçons des alliances tout au long de l’année. Nous essayons d’être au plus proches des mouvements locaux pour comprendre leurs difficultés et co-créer des solutions.
Le Forum de l’AWID un espace propice aux discussions en profondeur, qui repousse nos limites internes et externes et favorise le développement personnel et professionnel, en plus de renforcer nos mouvements pour la justice sociale, de genre et les droits des femmes.
Nous envisageons ce moment de rencontre comme une réponse à l’urgence de favoriser un engagement plus marqué et une action mieux concertée entre les organisations féministes, les défenseur·e·s des droits des femmes et les autres activistes de justice sociale. Pour nous, le Forum est plus qu’un événement. Il nourrit nos réflexions respectives et nous aide à cerner des initiatives concrètes dans lesquelles les mouvements féministes et peuvent s’engager avec d’autres acteurs·trices.
Au départ un événement national d’environ 800 personnes, le Forum rassemble aujourd'hui plus de 2 000 féministes, des dirigeant·e·s communautaires, des activistes de justice sociale et des bailleurs de fonds du monde entier.
Compte tenu de la complexité du monde d'aujourd'hui, le Forum de l'AWID 2016 ne s'est pas concentré sur un « problème » particulier mais a plutôt exploré comment créer des moyens efficaces de travailler ensemble !
Malgré le contexte difficile dans lequel s’est déroulé le Forum de 2016 (l’épidémie de Zika, la grève au ministère des Affaires étrangères brésilien, la destitution de la présidente Dilma Rousseff et l’instabilité qui a suivi), il a rassemblé plus de 1800 participant-e-s issu-e-s de 120 pays et territoires de toutes les régions du monde.
Téléchargez le rapport d’évaluation
Le 12e Forum de l’AWID s’est tenu à Istanbul en Turquie en 2012, avec pour thème central Transformer le pouvoir économique pour avancer les droits des femmes et la justice. Ce Forum fut le plus important et le plus diversifié de l’histoire, rassemblant quelque 2 239 activistes pour les droits des femmes en provenance de 141 pays différents. Parmi elles-eux, environs 65 % venaient de pays du Sud, près de 15 % étaient des jeunes femmes de 30 ans et moins, alors que 75 % participaient au Forum pour la première fois.
Le Forum s’est focalisé sur la transformation du pouvoir économique pour faire progresser les droits des femmes et la justice en proposant plus de 170 activités incluant des ateliers de formation en économie féministe, en passant par toute une séries d’ateliers de discussion et autres tables rondes solidaires autour de 10 grandes questions cruciales.
Dans l’élan du Forum, nous avons transformé la page qui lui était dédiée en un outil multimédia en ligne qui intègre également les contenus générés par les participant-e-s sur toutes les composantes du Forum.
Visitez l'archive web du Forum 2012
Stella comenzó su carrera en el Ministerio de Género y Desarrollo Comunitario en Uganda colaborando con lxs legisladores en reformas legales, incluida la Constitución de Uganda de 1995, que estableció algunas de las reformas más progresistas para las mujeres en la región.
Stella es respetada y admirada en toda la región por sus incansables esfuerzos para crear y hacer cumplir leyes y políticas que tomen en cuenta cuestiones de género. También desempeñó un papel clave en la redacción de la Ley de Violencia Doméstica de Uganda y en la movilización de apoyo para las constituciones sensibles al género tanto en Uganda como en Ruanda.
A través de su trabajo con el Centro Internacional para la Investigación sobre la Mujer (ICRW, por sus siglas en inglés), abordó la violencia contra lxs niñxs y trabajó para fortalecer las capacidades de las organizaciones de base que abordan la violencia de género. Stella fue profesora en cursos sobre derechos de género y la ley, en la Universidad Makerere, y formó parte de las juntas directivas de Akina Mama wa Afrika, ActionAid International Uganda y Open Society Initiative para África Oriental.