Special Focus

AWID is an international, feminist, membership organisation committed to achieving gender equality, sustainable development and women’s human rights

AWID Forum: Co-creating Feminist Futures

In September 2016, the 13th AWID international Forum brought together in Brazil over 1800 feminists and women’s rights advocates in a spirit of resistance and resilience.

This section highlights the gains, learnings and resources that came out of our rich conversations. We invite you to explore, share and comment!


What has happened since 2016?

One of the key takeaways from the 2016 Forum was the need to broaden and deepen our cross-movement work to address rising fascisms, fundamentalisms, corporate greed and climate change.

With this in mind, we have been working with multiple allies to grow these seeds of resistance:

And through our next strategic plan and Forum process, we are committed to keep developing ideas and deepen the learnings ignited at the 2016 Forum.

What happens now?

The world is a much different place than it was a year ago, and it will continue to change.

The next AWID Forum will take place in the Asia Pacific region (exact location and dates to be announced in 2018).

We look forward to you joining us!

About the AWID Forum

AWID Forums started in 1983, in Washington DC. Since then, the event has grown to become many things to many peoples: an iterative process of sharpening our analyses, vision and actions; a watershed moment that reinvigorates participants’ feminisms and energizes their organizing; and a political home for women human rights defenders to find sanctuary and solidarity.

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6. Realiza una investigación secundaria

La investigación secundaria la puedes realizar en todos los estadios del proceso investigativo. Te puede ayudar a formular el marco, a elegir las preguntas de la encuesta y a comprender mejor los resultados.

En esta sección

Describe el contexto

Realizar investigación secundaria durante todo el proceso investigativo te ayudará a formular el marco de referencia, elegir las preguntas de la encuesta, interpretar la información según el contexto o percibir aspectos interesantes de los resultados de la investigación. Por ejemplo, podrás comparar similitudes y diferencias entre los resultados de tu investigación y la información recogida de la sociedad civil y del sector donante.

Tal vez percibas tendencias en la información que te aporta la encuesta y quieras entenderlas mejor.

Por ejemplo, imagina que la encuesta te indica que los presupuestos de las organizaciones se están reduciendo, pero no te puede decir por qué está sucediendo esto. Consultar publicaciones te puede ayudar a entender el contexto y las posibles razones que explican esa tendencia.

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Utiliza el conocimiento ya construido

La utilización de fuentes secundarias garantiza que la investigación incorpore el conocimiento ya construido, confirmando así la validez y relevancia de tus resultados.

Estos resultados pueden complementar o contradecir el conocimiento construido, pero deben guardar relación con él.

Para asegurarte de investigar todo el panorama del financiamiento para la temática que estés relevando, necesitarás estudiar un conjunto diverso de sectores donantes.

Puedes tener en cuenta:

  • Fondos de mujeres
  • Fundaciones privadas y públicas
  • Organizaciones no gubernamentales internacionales (ONGI)
  • Entidades bilaterales y multilaterales
  • Actores del sector privado
  • Filantropía individual
  • Micromecenazgos (crowdfunding)

Incluye a todo otro actor que resulte relevante para la investigación.

Por ejemplo, puedes decidir que también será importante relevar a las organizaciones no gubernamentales (ONG)

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Posibles fuentes para la investigación secundaria (lista no exhaustiva)

1. Sitios de donantes en Internet y sus informes anuales

Estas son fuentes directas de información que revelan lo que están haciendo las financiadoras y por lo general también informan acerca de sus políticas y presupuestos. Incluir estos materiales en la investigación antes de entrevistar a donantes te podrá ayudar a formular preguntas más puntuales y a recoger más información durante la entrevista.

2. Fuentes de información en línea

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Paso previo

5. Realiza las entrevistas

Paso siguiente

7. Sintetiza los resultados de la investigación


Duración estimada

• 1-2 meses

Personas que se necesitan

• 1 persona (o más) de investigación


Paso previo

5. Realiza las entrevistas

Paso siguiente

7. Sintetiza los resultados de la investigación


Planilla «¿Estoy listx?»

Descargar el manual en PDF

Snippet FEA Bauen Hotel (FR)

Un an seulement après sa fondation, les membres de Nadia Echazú ont commencé à travailler dans la haute couture et ont organisé un défilé de mode dans l'historique hôtel Bauen.

Elles ont montré cinq modèles et quelques travailleuses de la coopérative textile ont même défilé avec leurs propres créations.

C'était révolutionnaire non seulement parce qu'elles concevaient des alternatives à la mode grand public, mais aussi parce qu'elles créaient des vêtements accessibles et inclusifs pour les corps trans et travesti.

Il n'y a pas d'économies féministes sans vêtements qui nous font nous sentir incroyables et confortables!

Stella Mukasa

Stella comenzó su carrera en el Ministerio de Género y Desarrollo Comunitario en Uganda colaborando con lxs legisladores en reformas legales, incluida la Constitución de Uganda de 1995, que estableció algunas de las reformas más progresistas para las mujeres en la región.

Stella es respetada y admirada en toda la región por sus incansables esfuerzos para crear y hacer cumplir leyes y políticas que tomen en cuenta cuestiones de género. También desempeñó un papel clave en la redacción de la Ley de Violencia Doméstica de Uganda y en la movilización de apoyo para las constituciones sensibles al género tanto en Uganda como en Ruanda.

A través de su trabajo con el Centro Internacional para la Investigación sobre la Mujer (ICRW, por sus siglas en inglés), abordó la violencia contra lxs niñxs y trabajó para fortalecer las capacidades de las organizaciones de base que abordan la violencia de género. Stella fue profesora en cursos sobre derechos de género y la ley, en la Universidad Makerere, y formó parte de las juntas directivas de Akina Mama wa Afrika, ActionAid International Uganda y Open Society Initiative para África Oriental.


 

Stella Mukasa, Uganda

Quelle est l’origine de ce projet?

Nous croyons que l'économie, le marché, le système financier et les prémisses sur lesquelles ils reposent sont des domaines critiques pour la lutte féministe.


Ainsi, notre vision pour une économie juste dépasse la promotion des droits et de l'autonomisation des femmes sur le marché. Elle propose d'évaluer le rôle des oppressions liées au genre lors de l'élaboration de mesures économiques, afin de les modifier pour favoriser l'égalité de genre et la justice économique.

Processus

Nous ne partons pas de zéro et nous ne sommes pas seules à tenter de mettre en avant des propositions féministes pour une économie juste. Beaucoup des propositions formulées dans ce document existaient déjà en théorie et aussi dans la pratique, au sein de diverses communautés qui défient et résistent face aux systèmes économiques fondés sur la croissance et le marché.
 
Il est également très important de noter qu'il y a une prise de conscience croissante du fait que les micros solutions n’apportent pas toujours de réponses aux problèmes macros, même si elles représentent des espaces importants pour la construction de la résistance et des mouvements. Certaines alternatives spécifiques peuvent ne pas être en mesure de remédier aux injustices du système capitaliste actuel à l'échelle mondiale.

Objectifs

Cela dit, les alternatives féministes pour une économie juste sont essentielles pour ouvrir des brèches dans le système et pouvoir en tirer des leçons, en faveur d’un changement systémique transformateur. Nous n’avons pas la prétention de proposer un compte-rendu complet et exhaustif sur la manière de créer un modèle économique qui soit juste d’un point de vue féministe, ou même des modèles.

À partir d’un dialogue inter-mouvements avec des syndicats, des mouvements ruraux et paysans et des mouvements environnementaux, nous pouvons néanmoins formuler une série de propositions pour cheminer vers cette vision.

Que voulons-nous changer?

Le modèle néolibéral qui domine l'économie mondiale a démontré à maintes reprises son incapacité à traiter les causes profondes de la pauvreté, des inégalités et de l'exclusion. En réalité, le néolibéralisme a même contribué à provoquer et à exacerber ces injustices.
 
Caractérisées par la mondialisation, la libéralisation, la privatisation, la financiarisation et l'aide conditionnelle, les politiques générales de développement de ces trois dernières décennies ont fait des ravages dans la vie et les moyens de subsistance de tous et toutes. Ces politiques ont également contribué sans faillir à creuser le fossé des inégalités, aux injustices de genre et à une destruction de l'environnement que le monde ne peut plus se permettre de supporter.
 
Il y a encore des personnes qui affirment qu’en donnant carte blanche aux sociétés et aux entreprises pour favoriser la croissance économique, le vent finira par atteindre les voiles de tous les navires.
 
Cependant, la notion du développement dominante au cours des dernières décennies,  qui repose en grande partie sur le principe d’une croissance économique illimitée, traverse actuellement une crise idéologique.
 
Le mythe de la croissance économique en tant que panacée capable de résoudre tous nos problèmes prend l’eau.


Voir également

Notre vision

5 menaces principales

Snippet FEA Georgia this is only the beginning (EN)

Georgia

Solidarity Network

 

THIS IS ONLY THE

BEGINNING

Juana Ramírez Santiago

Ayant co-fondé le réseau Red de Mujeres Ixiles de Nebaj, une organisation de défense des droits des femmes autochtones, membre de l’Initiative mésoaméricaine des femmes défenseur-e-s des droits humains (IM-Defensoras en espagnol), Juana était actuellement membre de son conseil d’administration.

Elle était également sage-femme et mère de 7 enfants. Juana avait reçu des menaces de mort qui avaient été signalées au bureau du procureur. Juana est la troisième défenseure autochtone assassinée dans la région en 2018. L'Ombudsman pour le Guatemala a signalé qu'au total 20 défenseur-e-s ont été tué-e-s dans le pays cette année.

Juana Ramírez Santiago a été abattue par des assaillants non identifiés alors qu'elle traversait un pont à Nebak, Quiché, au Guatemala. Les enquêtes visant à identifier les auteurs sont en cours. 


 

Juana Ramírez Santiago, Guatemala

Reclaiming the Commons

Definition

There are varied conceptualizations about the commons notes activist and scholar Soma Kishore Parthasarathy.

Conventionally, they are understood as natural resources intended for use by those who depend on their use. However, the concept of the commons has expanded to include the resources of knowledge, heritage, culture, virtual spaces, and even climate. It pre-dates the individual property regime and provided the basis for organization of society. Definitions given by government entities limit its scope to land and material resources.

The concept of the commons rests on the cultural practice of sharing livelihood spaces and resources as nature’s gift, for the common good, and for the sustainability of the common.

Context

Under increasing threat, nations and market forces continue to colonize, exploit and occupy humanity’s commons.

In some favourable contexts, the ‘commons’ have the potential to enable women, especially economically oppressed women, to have autonomy in how they are able to negotiate their multiple needs and aspirations.

Feminist perspective

Patriarchy is reinforced when women and other oppressed genders are denied access and control of the commons.

Therefore, a feminist economy seeks to restore the legitimate rights of communities to these common resources. This autonomy is enabling them to sustain themselves; while evolving more egalitarian systems of governance and use of such resources. A feminist economy acknowledges women’s roles and provides equal opportunities for decision-making, i.e. women as equal claimants to these resources.

Photo: Ana Abelenda / AWID, 2012

Learn more about this proposition

Part of our series of


  Feminist Propositions for a Just Economy

Snippet FEA Workers demonstrations in Georgia 1 (ES)

Cuatro personas con carteles durante una manifestación y, en medio, una mujer con un megáfono hablando.

Diakite Fatoumata Sire

Diakite was actively involved in advocating for women in political and public life in Mali.

She worked to support training of women candidates in elections, and spoke out against the practice of Female Genital Mutilation (FGM). She was a strong proponent of reproductive health and rights. 


 

Diakite Fatoumata Sire, Mali

Key opposition strategies and tactics

Despite their rigidity in matters of doctrine and worldview, anti-rights actors have demonstrated an openness to building new kinds of strategic alliances, to new organizing techniques, and to new forms of rhetoric. As a result, their power in international spaces has increased.


There has been a notable evolution in the strategies of ultra conservative actors operating at this level. They do not only attempt to tinker at the edges of agreements and block certain language, but to transform the framework conceptually and develop alternative standards and norms, and avenues for influence.

Strategy 1: Training of UN delegates

Ultra conservative actors work to create and sustain their relationships with State delegates through regular training opportunities - such as the yearly Global Family Policy Forum - and targeted training materials.

These regular trainings and resources systematically brief delegates on talking points and negotiating techniques to further collaboration towards anti-rights objectives in the human rights system. Delegates also receive curated compilations of ‘consensus language’ and references to pseudo-scientific or statistical information to bolster their arguments.

The consolidated transmission of these messages explains in part why State delegates who take ultra-conservative positions in international human rights debates frequently do so in contradiction with their own domestic legislation and policies.

Strategy 2: Holding international convenings

Anti-rights actors’ regional and international web of meetings help create closer links between ultra conservative Civil Society Organizations (CSOs), States and State blocs, and powerful intergovernmental bodies. The yearly international World Congress of Families is one key example.

These convenings reinforce personal connections and strategic alliances, a key element for building and sustaining movements. They facilitate transnational, trans-religious and dynamic relationship-building around shared issues and interests, which leads to a more proactive approach and more holistic sets of asks at the international policy level on the part of anti-rights actors.

Strategy 3: Placing reservations on human rights agreements

States and State blocs have historically sought to undermine international consensus or national accountability under international human rights norms through reservations to human rights agreements, threatening the universal applicability of human rights.  

The Convention on the Elimination of Discrimination Against Women (CEDAW) has received by far the most reservations, most of which are based on alleged conflict with religious law. It is well-established international human rights law that evocations of tradition, culture or religion cannot justify violations of human rights, and many reservations to CEDAW are invalid as they are “incompatible with the object and purpose” of CEDAW. Nevertheless, reference to these reservations is continually used by States to dodge their human rights responsibilities.

‘Reservations’ to UN documents and agreements that are not formal treaties - such as Human Rights Council and General Assembly resolutions - are also on the rise.

Strategy 4: Creating a parallel human rights framework

In an alarming development, regressive actors at the UN have begun to co-opt existing rights standards and campaign to develop agreed language that is deeply anti-rights.

The aim is to create and then propagate language in international human rights spaces that validates patriarchal, hierarchical, discriminatory, and culturally relativist norms.

One step towards this end is the drafting of declarative texts, such as the World Family Declaration and the San Jose Articles, that pose as soft human rights law. Sign-ons are gathered from multiple civil society, state, and institutional actors; and they are then used a basis for advocacy and lobbying.

Strategy 5: Developing  alternative ‘scientific’ sources

As part of a strategic shift towards the use of non-religious discourses, anti-rights actors have significantly invested in their own ‘social science’ think tanks. Given oxygen by the growing conservative media, materials from these think tanks are then widely disseminated by conservative civil society groups. The same materials are used as the basis for advocacy at the international human rights level.  

While the goals and motivation of conservative actors derive from their extreme interpretations of religion, culture, and tradition, such regressive arguments are often reinforced through studies that claim intellectual authority. A counter-discourse is thus produced through a heady mix of traditionalist doctrine and social science.

Strategy 6: Mobilizing Youth

This is one of the most effective strategies employed by the religious right and represents a major investment in the future of anti-rights organizing.

Youth recruitment and leadership development, starting at the local level with churches and campuses, are a priority for many conservative actors engaged at the international policy level.  

This strategy has allowed for infiltration of youth-specific spaces at the United Nations, including at the Commission on the Status of Women, and creates a strong counterpoint to progressive youth networks and organizations.

Key anti-rights strategies

Strategy 7: Defunding and delegitimizing human rights mechanisms

When it comes to authoritative expert mechanisms like the UN Special Procedures and Treaty Monitoring Bodies and operative bodies like the UN agencies, regressive groups realize their potential for influence is much lower than with political mechanisms[1].

In response, anti-rights groups spread the idea that UN agencies are ‘overstepping their mandate,’ that the CEDAW Committee and other Treaty Bodies have no authority to interpret their treaties, or that Special Procedures are partisan experts working outside of their mandate. Anti-rights groups have also successfully lobbied for the defunding of agencies such as the United Nations Population Fund (UNFPA).

This invalidation of UN mechanisms gives fuel to state impunity. Governments, when under international scrutiny, can defend their action on the basis that the reviewing mechanism is itself faulty or overreaching.

Strategy 8: Organizing online

Conservative non-state actors increasingly invest in social media and other online platforms to promote their activities, campaign, and widely share information from international human rights spaces.

The Spanish organization CitizenGo, for example, markets itself as the conservative version of Change.org, spearheading petitions and letter-writing campaigns. One recent petition, opposing the establishment of a UN international day on safe abortion, gathered over 172,000 signatures.


Overarching Trends:

  • Learning from the organizing strategies of feminists and other progressives.
  • Replicating and adapting successful national-level tactics for the international sphere.
  • Moving from an emphasis on ‘symbolic protest’ to becoming subversive system ‘insiders.’

By understanding the strategies employed by anti-rights actors, we can be more effective in countering them.

 


[1] The fora that are state-led, like the General Assembly, the Human Rights Council, and UN conferences like the Commission on the Status of Women and the Commission on Population and Development


Other Chapters

Read the full report

Annual Report 2013

Our 2013 Annual Report provides key highlights of our work during the year to contribute to the advancement of women’s rights and gender equality worldwide.

2013 marked the beginning of our 2013-2016 Strategic Plan, developed in response to the current global context. This report provides highlights of our analysis of the global context, how we position ourselves as a global feminist membership organization in this context, the outcomes we seek to achieve, and how our work is organized to achieve these outcomes.

Snippet FEA collaborator and allies Photo 5 (FR)

La photo représente un groupe de quinze travailleur.euse.s assis.e.s ensemble dans un salon aux murs blancs. Certain.e.s dorment, d'autres sont debout, discutent entre elleux ou regardent leur téléphone.

Andaiye

Andaiye in Swahili means ‘a daughter comes home’. Born Sandra Williams on 11 September 1942 in Georgetown, Guyana, she changed her name to ‘Andaiye’ in 1970 as the Black Power movements swept her country and the wider Caribbean region. 

Andaiye was seen as a transformative figure on the frontlines of the struggles for liberation and freedom. She was an early member and active in the leadership of the Working People’s Alliance (WPA), a socialist party in Guyana which fought against authoritarian rule and continued throughout her life to focus on justice for the working-class and rural women’s rights and on bridging ethnic barriers between Indo and Afro-Guyanese women. 

Andaiye was a founding member of Red Thread Women, an organization that advocated for women’s care work to be fairly remunerated, worked at the University of the West Indies and with CARICOM. Never afraid to challenge governments, she pointed out gender imbalances in state boards, laws that discriminated against sex workers, called for abortion rights in Jamaica and spoke out against trade agreements such as the Caribbean Single Market and Economy (CSME) that allowed for the free movement of women domestic migrant workers but did not give their children the same rights.  

Andaiye published several scholarly essays, wrote newspaper columns and also edited the last books of Walter Rodney, the Guyanese political activist and fellow WPA leader, who was assassinated in 1980. A cancer survivor, Andaiye was one of the founders of the Guyana Cancer Society and the Cancer Survivors’ Action Group. She also served on the executive of the Caribbean Association for Feminist Research and Action (CAFRA), as a Director of Help and Shelter and as Board Member of the Guyana National Commission on Women. She received a number of awards, including the Golden Arrow of Achievement in Guyana (the fourth highest national award).

Andaiye passed away on 31 May 2019 at the age of 77. The subsequent tributes that flowed in from activists, friends and those inspired by her life spoke eloquently to her amazing legacy and her beautiful humanity.

Here are but a few: 

“Andaiye had a profound effect on me...she was so many things, an educator, fighter, she taught me to be self-critical, to think more clearly, she taught me about survival, about incredible courage, about compassion, about going beyond external appearances and treating people as people and not being distracted by status, class, race...anything.”
- Peggy Antrobus, Feminist Activist, Author, Scholar, Barbados

“The kind of confident idealism Andaiye expressed, this willingness to confront the world and a stubborn belief that you could actually change it... That politics of hope...How else to honour her life, legacy and memory but to keep doing the work ethically and with ongoing self-critique? And to put women’s caring work at the center of it.”
- Tonya Haynes, Barbados

“I can hear her quip at our collective keening. So through the tears I can laugh. Deep bows to you beloved Andaiye, thank you for everything. Love and light for your spirit’s journey. Tell Walter and all the ancestors howdy.” - Carol Narcisse, Jamaica

Read more tributes to Andaiye

Siete recomendaciones feministas de políticas para frenar los flujos financieros ilícitos

La creciente dominación de los mercados y las instituciones financieras internacionales en la definición de las políticas económicas globales ha tenido como resultado la captura del poder popular en aras del interés de las élites y las grandes corporaciones globales.

Este informe «Flujos financieros ilícitos» analiza su desproporcionado impacto de género y los marcos legales y políticos actuales que permiten a las corporaciones multinacionales beneficiarse del fraude fiscal en detrimento de las personas y el planeta.

El informe concluye con siete recomendaciones feministas de políticas para exigir transparencia y rendición de cuentas por parte del poder corporativo para frenar los flujos financieros ilícitos.


Recomendaciones de políticas para la incidencia

Los flujos financieros ilícitos están llamando la atención como nunca antes: ya sea en negociaciones para el desarrollo, como los que condujeron a la Agenda 2030 y a la Conferencia sobre Financiamiento para el
Desarrollo de Addis Abeba en 2015, u ocupando los titulares de los medios hegemónicos con la publicación de documentos filtrados sobre finanzas offshore conocidos como los «Panama Papers». En otro ejemplo, en un
referendum de febrero de 2017, el pueblo ecuatoriano votó para prohibir que políticxs y funcionarixs públicxs posean acciones, compañías o capital en paraísos fiscales. El Gobierno de Ecuador es ahora, dentro del grupo
G-77, una de las voces principales que reclaman en las Naciones Unidas la creación de un organismo tributario global para poner fin a los paraísos fiscales.

Esta atención pública potencialmente da impulso para que lxs feministas, los movimientos sociales y lxs defensores de la justicia tributaria presionen por la transformación del sistema financiero internacional, donde
se arraigan desigualdades globales, incluidas las desigualdades de género.

Ofrecemos aquí siete pedidos de políticas como contribución a los crecientes esfuerzos de incidencia de actores por la justicia social, feministas, por los derechos de las mujeres y por la igualdad de género.

1. Abordar los flujos financieros ilícitos como una violación de los derechos humanos y los derechos de las mujeres:

  • Los FFI impiden el cumplimiento de la obligación de los Estados de movilizar los máximos recursos disponibles para la realización de los derechos humanos, incluidos los compromisos de larga data sobre los derechos de las mujeres y la igualdad de género.
  • El aumento de la de la rendición de cuentas de las corporaciones es una posibilidad que está sobre la mesa del Consejo de Derechos Humanos de las Naciones Unidas (ONU). Ya se ha establecido un grupo de trabajo abierto intergubernamental para elaborar un instrumento vinculante internacional que regule, según las normativas internacionales de derechos humanos, las actividades de las corporaciones transnacionales y otras empresas comerciales. Este proceso tiene el potencial de abordar la evasión fiscal corporativa como una violación de los derechos humanos, incluidos los derechos de las mujeres, y debería recibir más apoyo de los países del Norte y del Sur globales.

2. Garantizar que las corporaciones multinacionales paguen su parte:

  • • Desarrollar mecanismos internacionales para detener las prácticas fiscales fraudulentas y evitar las exenciones fiscales a las corporaciones. Los Estados miembros de las Naciones Unidas deberían iniciar negociaciones para redactar el borrador de una convención de la ONU para combatir las prácticas fiscales fraudulentas. La convención debería adoptar un sistema de consolidación y prorrateo para gravar las ganancias corporativas globales.
  • Revisar específicamente las regulaciones nacionales de los países ricos que requieren que las CMN paguen impuestos solo en el país de residencia y no en los países de actividad económica. Esta práctica daña sobre todo a los países en desarrollo, ya que cada vez pierden más base tributaria que se desplaza a jurisdicciones de baja o nula tributación. Al respecto deberían considerarse propuestas tales como el enfoque de tributación unitaria.

3. Apoyar el establecimiento de un organismo tributario internacional de las naciones Unidas:

  • Un organismo tributario de las Naciones Unidas, con iguales derechos de voto y membresía universal, debería tener la facultad de revisar la política tributaria nacional, regional y global y de garantizar que los Estados cumplan con los compromisos de larga data sobre derechos humanos, incluidos los derechos de las mujeres y la igualdad de género.

4. Promover la transparencia y la recolección de datos con perspectiva de género:

  • Deben realizarse mayores esfuerzos globales para pulir los datos comparables sobre fraude fiscal, por ejemplo, con datos desglosados por género que ponen al desnudo los prejuicios de género de ciertos sistemas tributarios.
  • Los países deben garantizar un esquema para el intercambio automático de información que garantice el acceso público y global a datos clave que afectan los recursos disponibles para la realización de los derechos humanos.
  • Implementar obligaciones informativas país por país para que las corporaciones multinacionales publiquen, como parte de sus informes anuales, las ganancias obtenidas y los impuestos pagados en cada país donde operan.
  • Debe haber más cooperación de los gobiernos para compartir sus registros públicos nacionales que dan a conocer los verdaderos beneficiarios de compañías, fideicomisos, fundaciones y estructuras legales similares, además de otra información financiera.

5. Promover la justicia tributaria a través de políticas fiscales nacionales progresivas:

  • Promover la justicia tributaria a través de políticas fiscales progresivas. Esto implica aumentar el peso de los impuestos directos sobre los ingresos de capital y los sectores sociales de alta rentabilidad y, al mismo tiempo, reducir y eliminar el peso tributario que recae en las mujeres y las personas pobres. Los segmentos precarizados de la sociedad, donde las mujeres están sobrerrepresentadas, no deberían terminar pagando más impuestos, en relación con sus ingresos, que los segmentos más adinerados, que a menudo se benefician de subsidios impositivos, moratorias y reducciones fiscales.
  • Los gobiernos deben revisar desde una perspectiva crítica los dañinos acuerdos comerciales y de inversión que otorgan incentivos y exenciones fiscales, que perpetúan la desigualdad y los prejuicios de género.

6. Garantizar la participación de las organizaciones por los derechos de las mujeres, los movimientos sociales y la sociedad civil progresista en sentido amplio:

  • Las decisiones sobre política económica y fiscal carecen a menudo de perspectiva de género. La interacción de los ministerios de género y de finanzas, y de estos con la sociedad civil y las defensoras de derechos humanos, es fundamental para entender mejor el impacto que tienen las decisiones sobre los ingresos públicos en los derechos de las mujeres y la igualdad de género.
  • Debe establecerse un ambiente propicio que proteja a las defensoras de derechos humanos y otrxs activistas (incluidxs lxs denunciantes y activistas para la justicia tributaria) que expongan el fraude fiscal e informen sobre la corrupción.

7. Poner fin a la impunidad de las actividades delictivas asociadas con los flujos financieros ilícitos y garantizar la rendición de cuentas:

  • Establecer un mecanismo coordinado global entre autoridades fiscales nacionales, mecanismos de derechos humanos e igualdad de género y unidades de inteligencia, para garantizar que las actividades delictivas asociadas con los FFI no continúen impunes.
  • Fortalecer los sistemas de justicia nacionales y globales para lograr la rendición de cuentas de individuos y entidades por la financiación de actividades delictivas a través de los FFI.

 


 

Leer el informe completo

Cambios sísmicos: un año de finalización, transición y reflexión | Informe anual 2017

Los últimos cinco años han sido muy importantes para AWID.

Hemos contribuido a algunas victorias importantes, como expandir el panorama de financiamiento para los derechos de las mujeres con investigación e incidencia innovadoras y de gran alcance. Al mismo tiempo, hemos sufrido algunos golpes devastadores, como el asesinato de defensoras de derechos humanos como Berta Cáceres de Honduras, Gauri Lankesh de India y Marielle Franco de Brasil, así como el aumento de la movilización de los sectores antiderechos en los espacios de derechos humanos.

Hace cinco años, nos comprometimos con nuestro papel en la construcción de movimientos al generar conocimiento sobre las tendencias de los movimientos antiderechos, así como sobre temas en los que las feministas tienden a involucrarse menos, como los flujos financieros ilícitos. Activamos junto a los movimientos que son nuestrxs compañerxs, fortaleciendo el activismo feminista joven y el activismo intergeneracional y expandiendo la protección integral de lxs defensorxs de derechos humanos. En el cierre del plan estratégico, estamos orgullosxs de nuestros logros y nuestro crecimiento como organización. ¡Terminamos el 2017 con un compromiso renovado, ideas y aprendizaje para sostener la lucha que tenemos por delante!