
Fannyann Viola Eddy

In September 2016, the 13th AWID international Forum brought together in Brazil over 1800 feminists and women’s rights advocates in a spirit of resistance and resilience.
This section highlights the gains, learnings and resources that came out of our rich conversations. We invite you to explore, share and comment!
One of the key takeaways from the 2016 Forum was the need to broaden and deepen our cross-movement work to address rising fascisms, fundamentalisms, corporate greed and climate change.
With this in mind, we have been working with multiple allies to grow these seeds of resistance:
And through our next strategic plan and Forum process, we are committed to keep developing ideas and deepen the learnings ignited at the 2016 Forum.
AWID Forums started in 1983, in Washington DC. Since then, the event has grown to become many things to many peoples: an iterative process of sharpening our analyses, vision and actions; a watershed moment that reinvigorates participants’ feminisms and energizes their organizing; and a political home for women human rights defenders to find sanctuary and solidarity.
نعم. نريد السماع منكم/ن دون أي علاقة ان حصلتم/ن على تمويل لثلاثة أعوام أو عامين أو عام واحد في السنوات 2021-2023.
Gloria Chicaiza, an Ecuadorian social and environmental activist, was a fervent defender of land and water. She defied the status quo, fighting against a model of development based on extraction and worked tirelessly for ecological justice and the rights of communities affected by mining.
In diverse areas of Ecuador, Gloria was part of resistance actions in favour of protecting the ecosystem. With passion and dedication, Gloria supported the indigenous and environmental movement, its communities and organizations who oppose mining projects and protect their territories and collective life projects. She spoke out, in local and international foras, against the criminalization of dissent and resistance, the pressure and violence being enacted against community activists, in particular, women human rights defenders and in support of community led efforts for food sovereignty and sustainability.
She was the Mining Justice Coordinator at Acción Ecológica, member of the Latin American Network of Women Defenders of the Social and Environmental Rights and a Board member at the Observatory of Mining Conflicts of Latin America.
In October 2010, Gloria was accused by the mining company Curimining / Salazar Resources S.A. (with Headquarters in Vancouver, Canada) of sponsoring an act of terrorism, sabotage and illegal association to commit a crime. Acción Ecológica believed this to be “in retaliation for her work of denouncing the impacts of mining activities in the country.”
In 2014, Gloria supported the coordination of a delegation to the UN COP 20 Dialogue on Climate Change. The group consisted of 25 Indigenous women from Latin America.
Gloria passed away due to complications from a lung transplant on December 28, 2019. She is remembered for her resistance and tireless work.
"The fastest way to achieve sustainability is still resistance." - Gloria Chicaiza (2010 interview)
“Para GLORIA. GLORIA Agua. GLORIA Tierra. GLORIA Madre. GLORIA Revolución. GLORIA Hermana. GLORIA Cielo. GLORIAmiga. GLORIAstral. Thank you for weaving us together.” -Liliana Gutierrez
“Thank you Glorita, for sustaining hope, for keeping the fabric strong, for connecting the community, for the united hands, for solidarity, thank you Glorita for standing with us in the most difficult moments. Thank you for teaching us that throughout life, nobody gets tired.” (Chakana News)
“Gloria Chicaiza cherished and flourished in being one of many. And as humble as she was, she had an uncanny ability to lead and maintain a steady and thunderous beat, a life-affirming pulse that guided, mobilized, and inspired communities and networks in the protection of Mother Earth. She denounced all forms of violence against cuerpos-territorios. She endorsed el buen vivir.” - Gabriela Jiménez, Latin America Partnerships Coordinator, KAIROS
“Thank you Gloria Chicaiza from infinity we are sure that you will continue to support our struggle. You who continued to struggle with us despite your failing health. You will live on in the forests and the water that you defended with such courage. You will live on in our hearts.”- The community of Intag in Ecuador
Bienvenue à Crear | Résister | Transform : un festival dédié aux mouvements féministes !
L'AWID s'engage à créer un espace en ligne qui nous invite et nous pousse tou·te·s à faire preuve de courage, de curiosité, de générosité et de responsabilité partagée.
Nous vous invitons à créer à nos côtés des espaces sans harcèlement ni violence, où chacun·e est respecté·e dans son identité et son expression de genre, sa race, ses capacités, sa classe, sa religion, sa langue, son ethnicité, son âge, sa profession, son type d'éducation, sa sexualité, sa taille et son apparence physique. Des espaces où nous reconnaissons les inégalités de notre monde et où nous nous efforçons de les transformer au gré de nos propres interactions avec les autres.
Soyez là les un·e·s pour les autres en étant activement à l’écoute. Essayons de nous sentir proches, même si tout est virtuel. Pour cela, vous aurez accès à l’interprétation de la discussion et à des moyens de communications ouverts (comme la boîte de dialogue et autres outils) pour réagir et échanger. Nous vous recommandons de porter des écouteurs ou un casque pendant la séance pour mieux entendre les autres et vous faire entendre. Dans la mesure du possible, essayez de fermer votre messagerie électronique ou toute autre distraction pendant que vous prenez part à la discussion.
Célébrons les multiples façons dont le savoir se manifeste dans nos vies. Nous vous invitons à aborder la conversation avec curiosité et ouverture d’esprit pour apprendre des autres, en se permettant de désapprendre et de réapprendre à travers ces échanges, comme une manièrede commencer à construire collectivement des connaissances.
Nous nous engageons à adopter une approche holistique de l'accessibilité en tenant compte des différents besoins physiques, linguistiques, mentaux et de sécurité. Nous voulons un espace qui accueille des personnes d'origines, de croyances, de capacités et d'expériences différentes. Nous anticiperons au mieux mais vous demanderons également de nous communiquer vos besoins, et nous ferons de notre mieux pour y répondre.
Nous nous engageons tou·te·s individuellement et collectivement à respecter la vie privée de chacun·e· et à demander le consentement des autres avant de partager des images ou du contenu qui les concerne, générés au cours de la conversation.
Créer un environnement sécurisé, respectueux et agréable durant ces conversations est la responsabilité de tou·te·s .
Si vous remarquez qu'une personne a un comportement discriminatoire ou offensant, veuillez contacter la personne de référence qui vous sera indiquée en début de session.
Tout·e participant·e qui utilisera un langage ou des images abusives sera exclu·e de la conversation et ne sera pas réadmis·e. Nous n’aurons plus de relations avec cette personne de quelque manière que ce soit.
Nous vous présentons le syndicat Réseau Solidarité, un syndicat de la santé et des services dirigé majoritairement par des femmes. Émergeant en réponse à la précarité croissante, aux salaires insuffisants et aux environnements de travail hostiles auxquels les travailleur·euses géorgien·es sont confrontés quotidiennement, le Syndicat Réseau Solidarité se bat pour des lieux et des conditions de travail décents.
Son objectif? Créer un mouvement syndical national démocratique. Pour ce faire, il s'est associé à d'autres syndicats locaux et régionaux et a lentement constitué un réseau de syndicats, permettant à de plus en plus de travailleuses de devenir dirigeantes syndicales en cours de route.
Son approche politique est holistique. Pour le syndicat Réseau Solidarité, les questions relatives aux droits du travail sont directement liées aux programmes et réformes politiques et économiques nationaux plus larges. C'est pourquoi iels font pression pour la justice fiscale, les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+, et luttent contre le démantèlement de l'État-providence géorgien.
Le syndicat Réseau Solidarité fait également partie de Grève Sociale Transnationale (Transnational Social Strike, TSS), une plate-forme et infrastructure politique inspirée par l'organisation des migrant·e·s, des femmes et des travailleur·euses essentiel·les qui s'efforcent de créer des liens entre les mouvements ouvriers à travers le monde et de fomenter la solidarité globale.
Безусловно, эти вопросы являются необязательными, мы ценим ваше право сохранять конфиденциальность. Пожалуйста, заполните опрос независимо от того, указываете вы название вашей группы, организации и/или движения и контактные данные или нет.
Lorena Borjas, una mujer trans latina y activista, vivía y trabajaba en el barrio de Jackson Heights de Queens, en la ciudad de Nueva York. En esas calles, cuidó de su comunidad durante años, defendiendo los derechos de las personas trans e inmigrantes, apoyando a lxs sobrevivientes del tráfico humano y del abuso, y haciendo campaña por los derechos de lxs trabajadorxs sexuales y de las personas que viven con VIH y SIDA.
Lorena era fuerte e incansable en su lucha por apoyar, defender y proteger a quienes son más marginalizadxs y discriminadxs por la transfobia, la misoginia y el racismo.
«Ella nos empujaba a brillar auténticamente, a convertirnos en un grito de subversión que dice “Aquí estoy, y merezco felicidad también”.» - Cecilia Gentili, activista trans amiga de Lorena
Luego de haber enfrentado ella misma numerosos traumas y dificultades como mujer trans inmigrante y víctima de tráfico humano, recabó conocimientos y memoria emocional de la fuente de sus propias experiencias para ayudar a construir y fortalecer la comunidad de la cual era parte, y que era parte de ella. Algunas de las formas en que llevó esto a cabo fue organizando y movilizando apoyo, que abarcaba desde proveer preservativos y conectar a las mujeres trans con distintos servicios sociales, hasta armar una clínica para el testeo de VIH en su propia casa.
«Era un alma tan bella que ayudaba a otrxs, aun cuando su propio camino era difícil y doloroso como inmigrante, como inmigrante trans. Creía que la comunidad trans necesitaba amor, aceptación, y compasión, y lo daba todo.» - Luchia Dragosh, supervisora de producción de QPTV de un documental sobre Lorena
En sus más de 25 años de activismo, también fundó con Chase Strangio (abogadx y activista por los derechos trans) el Lorena Borjas Community Fund. Este fondo ayuda a lxs diferentes integrantes de su comunidad (y en especial a las personas trans) que lidian con problemas de inmigración, para evitar el ciclo de arresto-cárcel-deportación.
Lorena falleció en marzo de 2020 por complicaciones derivadas del COVID-19.
Su enorme y hermoso legado será llevado adelante a través de las calles de Queens por la red y la comunidad que ella ayudó a crear.
« Continuaremos su trabajo desde donde ella lo dejó, un trabajo que es esencial para el bienestar de “mis pájaras”, como llamaba Lorena a las chicas trans de Queens que protegía bajo su ala.» - Cecilia Gentili
«Lorena nos trajo luz, cuando atravesábamos tiempos muy oscuros aquí en Nueva York. Nos trajo luz cuando tuvimos que enfrentar la epidemia del crack, cuando tuvimos que enfrentar la crisis del SIDA, cuando tuvimos que enfrentar los cambios en las políticas de inmigración.» - Cristina Herrera, fundadora y CEO de Translatina Network y amiga de Lorena
«Lorena ha hecho más que nadie que yo conozca para arrojar luz sobre la epidemia del tráfico en las comunidades transgénero y para ayudar a otras mujeres trans a escapar de la explotación.» - Lynly Egyes, representante de Borjas en nombre del Transgender Law Center
Mira un documental sobre Lorena Borjas (solo en inglés)
Lee un artículo publicado en The New Yorker sobre Lorena Borjas (solo en inglés)
Lee una nota de opinión de Cecilia Gentili publicada en The New York Times (solo en inglés)
Colectivo Moriviví is an all women artistic collective. Our artistic production consists of muralism, community-led muralism, and protest performance/actions. Our work is about democratizing art and bringing the narratives of Puerto Rican communities to the public sphere to create spaces in which they are validated. We believe that through artivism we can promote consciousness on social issues and strengthen our collective memory.
As part of their participation in AWID’s Artist Working Group, Colectivo Morivivi gathered a diverse group of members, partners and staff to facilitate a collaborative process of dreaming into, informing, and deciding on the content for a community mural through a multi-stage co-creation process. The project began with a remote conceptualization with feminists from different parts of the planet brought together by AWID, and then it evolved to its re-contextualization and realization in Puerto Rico. We were honored to have the input of local artists Las Nietas de Nonó(@lasnietasdenono), the participation of local women in the Community Painting Session, the logistics support from the Municipality of Caguas, and FRIDA Young Feminist Fund’s additional support to the collective.
The mural explores the transcendence of borders by presenting bodies like a map, in an embrace that highlights the intersection of the different feminist manifestations, practices and realities.
We also thank Kelvin Rodríguez, who documented and captured the different stages of this project in Puerto Rico:
Be part of an international feminist membership organization and community. Our members are based in all regions of the world, learning and supporting each other in a global network based on solidarity.
Iremos analisar as respostas ao inquérito para obter informações e tendências, e iremos apresentar os resultados durante o 15.º Fórum Internacional da AWID em Bangkok, e online em dezembro de 2024. Registe-se para participar no Fórum aqui!
« Si nous nous taisons, ils nous tuent, et si nous parlons [ils nous tuent] aussi. Alors parlons. » - Cristina Bautista, 2019
Défenseuse infatigable des droits du peuple Nasa, Cristina s’est exprimée haut et fort contre la violence à l’égard de sa communauté. Dans un discours devant les Nations Unies, elle appelait à protéger les vies des femmes autochtones et à les impliquer dans différents domaines de la vie. En 2017, Cristina était membre du Bureau des Nations Unies pour les droits humains des personnes autochtones. Le Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les populations autochtones lui a octroyé une subvention en 2019.
« J’aimerais mettre en lumière la situation actuelle du peuple autochtone en Colombie, le meurtre de leaders autochtones, la répression de la contestation sociale. Au lieu d’aider, l’accord de paix a renforcé la guerre et l’exploitation de territoires sacrés en Colombie… Actuellement, nous travaillons en tant que femmes, dans presque toutes les nations autochtones, à un avenir meilleur pour nos familles. Je ne veux pas voir plus de femmes vivre dans ces conditions en milieu rural. Il nous faut des opportunités qui permettent aux femmes autochtones de participer à la vie politique, à l’économie, à la société et à la culture. J’acquiers une réelle force aujourd’hui, en voyant toutes ces femmes ici, et en voyant que je ne suis pas seule. » - Cristina Bautista, 2019
Cristina a été assassinée le 29 octobre 2019, ainsi que quatre autres membres de la garde autochtone désarmée, dans une attaque potentiellement menée par des membres de « Dagoberto Ramos », un groupe dissident FARC.
D’après Global Witness, « le nombre d’assassinats de leaders communautaires et sociaux·les a terriblement augmenté en Colombie au cours de ces dernières années ».
« La communauté nasa a prévenu à maintes reprises les autorités au sujet des menaces qui pèsent sur leur sécurité. Malgré les efforts déployés par les gouvernements colombiens successifs, les peuples autochtones continuent de faire face à d'importants risques, surtout les dirigeants communautaires ou religieux comme Cristina Bautista.» - Point presse des Nations Unies, 1er novembre 2019
Los actores anti-derechos adoptan una estrategia doble. Además de atacar abiertamente al sistema multilateral, los actores anti-derechos también socavan los derechos humanos desde adentro. Se involucran con el fin de cooptar procesos, consolidar normativas regresivas, y erosionar responsabilidades.
El involucramiento de los actores anti-derechos en espacios internacionales de derechos humanos tiene un objetivo principal: socavar el sistema y su capacidad de respetar, proteger y satisfacer los derechos humanos para todas las personas, y de exigir rendición de cuentas a los Estados miembro por su violación. Algunas tácticas anti-derechos operan por fuera de la ONU, e incluyen la deslegitimación y la presión política para desfinanciar a la ONU, o para que ciertos Estados miembro se retiren de acuerdos internacionales sobre derechos humanos. En los últimos años, algunos actores antiderechos han logrado una creciente influencia dentro de la ONU. Sus tácticas internas incluyen la capacitación de representantes, la distorsión de los marcos de derechos humanos, el debilitamiento de acuerdos sobre derechos humanos, la infiltración en comités de organizaciones no gubernamentales, las solicitudes de ingreso al Consejo Económico y Social bajo nombres neutrales, la infiltración en los espacios de la juventud, y las presiones para ubicar a actores antiderechos en posiciones clave.
"Sabemos que todo está en nuestra contra y hay muy pocas posibilidades de cambiar eso. Pero creemos en la intervención y creo que tenemos una oportunidad y deberíamos usarla. Es por eso que estamos haciendo todo lo que estamos haciendo. Estamos dispuestos a presionar por cosas inauditas".
- Sopo Japaridze para OpenDemocracy
Photo @სოლიდარობის ქსელი / Solidarity Network
Participa en el Foro Internacional de AWID - un importante encuentro feminista global—, y accede a descuentos especiales para afiliadxs de AWID y puntos de entrada para el diálogo virtual. Creado en conjunto por los movimientos feministas, el Foro es un espacio único para una discusión profunda y para dejar correr la imaginación, donde desafiamos y fortalecemos nuestros procesos organizativos, donde conectamos nuestras luchas y las realidades feministas.
Esta comunidad es un lugar para las conexiones, para entender nuestras luchas individuales como parte de las luchas globales y, a veces, ¡también para bailar! En línea, no existen otros lugares como este, en el que puedes encontrarte con auténtiques activistas de base de todo el mundo y forjar lazos de solidaridad y sororidad..- Paz Romero, Argentina