None On Record

Análisis Especiales

AWID es un organización feminista internacional de membresía, que brinda apoyo a los movimientos que trabajan para lograr la justicia de género y los derechos de las mujeres en todo el mundo.

Activismo Joven Feminista

Una organización creativa, frente a una creciente amenaza

El activismo joven feminista juega un papel fundamental en las organizaciones y los movimientos por los derechos de las mujeres a nivel mundial, ya que aborda los nuevos problemas a los que las feministas se enfrentan en la actualidad. Esta fuerza, creatividad y adaptabilidad son esenciales para la sostenibilidad de la organización feminista.

A la vez, enfrentan obstáculos específicos para ejercer su activismo, como acceso limitado al financiamiento y al apoyo, falta de oportunidades de capacitación, un incremento considerable de los ataques contra las jóvenes defensoras de los derechos humanos. Esto crea una falta de visibilidad que hace más complicada su inclusión y participación efectiva en los movimientos por los derechos de las mujeres.

Un enfoque multigeneracional

El programa de activismo joven feminista fue creado para garantizar que las voces de las jóvenes sean escuchadas y se vean reflejadas en el discurso feminista. Queremos garantizar que las jóvenes feministas tengan un mejor acceso al financiamiento, a las oportunidades de desarrollo de las capacidades y a los procesos internacionales.

Además de apoyar directamente a las jóvenes feministas, estamos trabajando con activistas por los derechos de las mujeres de todas las edades, con modelos y estrategias prácticas para procesos efectivos de organización intergeneracionales.

Nuestras acciones

Queremos que las activistas jóvenes feministas jueguen un papel en el proceso de toma de decisiones que afectan sus derechos a través de:

  • Fomento de la comunidad e intercambio de información a través de la Conexión Joven Feminista. Dada la importancia de los medios virtuales para el trabajo de las jóvenes feministas, nuestro equipo lanzó la Conexión Joven Feminista en mayo de 2010 para compartir información, construir capacidades a través de seminarios web y discusiones electrónicas y para alentar la construcción de la comunidad.

  • Investigación y generación de conocimientos sobre el activismo joven feminista, que aumenten la visibilidad y el impacto del activismo joven feminista en los movimientos por los derechos de las mujeres y otros actores clave, como los donantes.

  • Promoción de procesos más efectivos de organización intergeneracional, explorando mejores formas de trabajar en conjunto.

  • Apoyo a la participación de las jóvenes feministas en los procesos globales de desarrollo, por ejemplo en los procesos de Naciones Unidas.

  • Colaboración con todas las áreas prioritarias de AWID, incluyendo el Foro, para garantizar así que las contribuciones clave de las jóvenes feministas, así como sus perspectivas, necesidades y activismo se reflejen en los debates, políticas y programas que las afectan.

Contenido relacionado

Snippet - CSW69 - OURs & friends - FR

OURs et ses ami·es à l’Espace de Solidarité Féministe

✉️ Sur invitation uniquement

📅 Mardi 11 mars 2025
🕒 14.00h-16.00h EST

🏢 Chef's Kitchen Loft with Terrace, 216 East 45th St 13th Floor New York

Organisé par : Consortium de l’Observatoire sur l'universalité des droits (OURs)

Snippet FEA EoS The Powerful (EN)

Illustration of a pink human in white underwear doing a power pose

The Powerful
Self-protection and strengthening

Quelle est l’origine de ce projet?

Nous croyons que l'économie, le marché, le système financier et les prémisses sur lesquelles ils reposent sont des domaines critiques pour la lutte féministe.


Ainsi, notre vision pour une économie juste dépasse la promotion des droits et de l'autonomisation des femmes sur le marché. Elle propose d'évaluer le rôle des oppressions liées au genre lors de l'élaboration de mesures économiques, afin de les modifier pour favoriser l'égalité de genre et la justice économique.

Processus

Nous ne partons pas de zéro et nous ne sommes pas seules à tenter de mettre en avant des propositions féministes pour une économie juste. Beaucoup des propositions formulées dans ce document existaient déjà en théorie et aussi dans la pratique, au sein de diverses communautés qui défient et résistent face aux systèmes économiques fondés sur la croissance et le marché.
 
Il est également très important de noter qu'il y a une prise de conscience croissante du fait que les micros solutions n’apportent pas toujours de réponses aux problèmes macros, même si elles représentent des espaces importants pour la construction de la résistance et des mouvements. Certaines alternatives spécifiques peuvent ne pas être en mesure de remédier aux injustices du système capitaliste actuel à l'échelle mondiale.

Objectifs

Cela dit, les alternatives féministes pour une économie juste sont essentielles pour ouvrir des brèches dans le système et pouvoir en tirer des leçons, en faveur d’un changement systémique transformateur. Nous n’avons pas la prétention de proposer un compte-rendu complet et exhaustif sur la manière de créer un modèle économique qui soit juste d’un point de vue féministe, ou même des modèles.

À partir d’un dialogue inter-mouvements avec des syndicats, des mouvements ruraux et paysans et des mouvements environnementaux, nous pouvons néanmoins formuler une série de propositions pour cheminer vers cette vision.

Que voulons-nous changer?

Le modèle néolibéral qui domine l'économie mondiale a démontré à maintes reprises son incapacité à traiter les causes profondes de la pauvreté, des inégalités et de l'exclusion. En réalité, le néolibéralisme a même contribué à provoquer et à exacerber ces injustices.
 
Caractérisées par la mondialisation, la libéralisation, la privatisation, la financiarisation et l'aide conditionnelle, les politiques générales de développement de ces trois dernières décennies ont fait des ravages dans la vie et les moyens de subsistance de tous et toutes. Ces politiques ont également contribué sans faillir à creuser le fossé des inégalités, aux injustices de genre et à une destruction de l'environnement que le monde ne peut plus se permettre de supporter.
 
Il y a encore des personnes qui affirment qu’en donnant carte blanche aux sociétés et aux entreprises pour favoriser la croissance économique, le vent finira par atteindre les voiles de tous les navires.
 
Cependant, la notion du développement dominante au cours des dernières décennies,  qui repose en grande partie sur le principe d’une croissance économique illimitée, traverse actuellement une crise idéologique.
 
Le mythe de la croissance économique en tant que panacée capable de résoudre tous nos problèmes prend l’eau.


Voir également

Notre vision

5 menaces principales

Leila Hessini

Biography

Leila est une dirigeante, défenseuse et conseillère féministe transnationale qui compte plus de 25 ans d'expérience dans la promotion des droits humains, de l'égalité des genres et de la santé et des droits sexuels et reproductifs, ainsi que de la justice au niveau local et mondial. Née en Algérie, Leila a fait ses études aux États-Unis, en France et au Maroc. Au cours de sa carrière professionnelle, elle a vécu et travaillé en Afrique, en Europe et aux États-Unis.  

Elle a occupé le poste de vice-présidente des programmes au Fonds mondial pour les femmes (GFW) pendant plus de cinq ans, où elle a supervisé son octroi de subventions stratégiques, le renforcement des mouvements, le plaidoyer mondial et les collaborations philanthropiques.  Au sein du GFW, elle a doublé le montant de ses subventions pour atteindre plus de 17 millions de dollars, a lancé son travail sur les mouvements et les crises féministes et axées sur le genre, a créé un programme pour les adolescentes dirigé par un conseil consultatif de filles et a dirigé son travail de plaidoyer philanthropique.  Avant cela, elle a fait partie de l'équipe de direction d'Ipas de 2002 à 2016, où elle a publié de nombreux articles sur le droit à l'avortement et la justice, dirigé des actions de plaidoyer mondiales et établi des partenariats avec des groupes féministes travaillant sur l'autogestion, la mobilisation communautaire et la réduction de la stigmatisation autour de l'intégrité corporelle et des droits sexuels et reproductifs.  Alors qu’elle était basée en Afrique du Nord, elle a cofondé une société de conseil féministe intersectionnelle, Strategic Analysis for Gender Equality (SAGE), qui travaillait sur les intersections entre l'économie, le genre et les droits sexuels et reproductifs, et a dirigé le travail national, régional et mondial sur le genre du bureau du Caire de la Fondation Ford pendant 5 ans. 

Leila dispose d'une vaste expérience dans les domaines de l'éducation populaire, le plaidoyer, l'organisation à but non lucratif, le développement de conseils d'administration, la philanthropie et le suivi et l'évaluation. C'est une communicatrice compétente qui privilégie une approche intersectionnelle pour centrer et amplifier les voix et les expériences des personnes les plus marginalisées.  Elle a reçu la bourse Op-ed Public Voices de la Fondation Ford et a été boursière Fulbright au Maroc.  Ses publications couvrent un large éventail de sujets, notamment les approches féministes et décoloniales de la philanthropie, la promotion des droits humains des femmes dans les contextes majoritairement musulmans, les stratégies féministes visant à promouvoir la justice reproductive, la promotion du recours des femmes aux avortements autogérés et la lutte contre la stigmatisation et la discrimination. 

 Leila est actuellement coprésidente du conseil du Center for Constitutional Rights et membre du conseil de Highlander Research and Education. Elle fait également partie du conseil de responsabilité du Numun Feminist Technology Fund et du comité consultatif de la Plateforme des femmes défenseuses des droits humains d'Afrique.  Elle a précédemment siégé aux conseils d'administration de SisterSong Women of Color Reproductive Justice Collective, du Réseau mondial des femmes pour les droits sur la reproduction, du Fonds mondial pour les femmes, du Safe Abortion Access Fund et du Reproductive Health Technologies Project. Elle a été élue trésorière et membre du comité exécutif du conseil d'administration de Prospera et a siégé au comité directeur du Fonds Fenomenal pendant quatre ans. Leila est titulaire d'une maîtrise en santé publique et d'une maîtrise en études sur la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, a étudié le droit islamique au Maroc et a poursuivi des études doctorales en sociologie en France. Elle a étudié l'arabe et l'allemand et parle couramment le français et l'anglais.

Position
Co-trésorier
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Snippet - CSW69 On feminist resourcing today - EN

On feminist resourcing today

Snippet FEA Land and Agroecology (ES)

AGROECOLOGÍA Y

SOBERANÍA ALIMENTARIA

Mujeres Rurales Cuidando la Naturaleza y las Comunidades

Reclaiming the Commons

Definition

There are varied conceptualizations about the commons notes activist and scholar Soma Kishore Parthasarathy.

Conventionally, they are understood as natural resources intended for use by those who depend on their use. However, the concept of the commons has expanded to include the resources of knowledge, heritage, culture, virtual spaces, and even climate. It pre-dates the individual property regime and provided the basis for organization of society. Definitions given by government entities limit its scope to land and material resources.

The concept of the commons rests on the cultural practice of sharing livelihood spaces and resources as nature’s gift, for the common good, and for the sustainability of the common.

Context

Under increasing threat, nations and market forces continue to colonize, exploit and occupy humanity’s commons.

In some favourable contexts, the ‘commons’ have the potential to enable women, especially economically oppressed women, to have autonomy in how they are able to negotiate their multiple needs and aspirations.

Feminist perspective

Patriarchy is reinforced when women and other oppressed genders are denied access and control of the commons.

Therefore, a feminist economy seeks to restore the legitimate rights of communities to these common resources. This autonomy is enabling them to sustain themselves; while evolving more egalitarian systems of governance and use of such resources. A feminist economy acknowledges women’s roles and provides equal opportunities for decision-making, i.e. women as equal claimants to these resources.

Photo: Ana Abelenda / AWID, 2012

Learn more about this proposition

Part of our series of


  Feminist Propositions for a Just Economy

Fatima Qureshi

Biography

Una nómada de las culturas, nacida en Hong Kong y con raíces turco-paquistaníes, el amor de Fatima por la narración, ya sea su lectura o su creación conjunta, le infundió la pasión por el activismo de las comunicaciones. Formada en periodismo, ha trabajado durante siete años en los ámbitos de la comunicación digital y los medios de comunicación con ONG que brindan oportunidades educativas y asistencia jurídica a personas refugiadas y solicitantes de asilo, así como con el movimiento feminista musulmán, que aplica un enfoque feminista y de derechos para comprender y buscar la igualdad y la justicia en la tradición jurídica musulmana. Escribe con habitualidad artículos de opinión sobre asuntos feministas en el Sur Global.

Mediante la narración en esta era hiperdigital de las redes sociales, Fatima sigue colaborando con organizadores comunitaries y activistas de base para crear contenido audiovisual, a fin de tender puentes de comprensión hacia la liberación colectiva y la descolonización. Durante los días en que no trabaja, mira atentamente largometrajes feministas independientes de Irán, Marruecos y Pakistán, e interpreta poesía oral con sus camaradas de Kuala Lumpur.

Position
Responsable de Comunicaciones Digitales y Alianzas de ICM
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Snippet - CSW69 - Challenging the Status Quo - EN

Challenging the Status Quo

A Critical Dialogue on Gender Equality and Human Rights

✉️ Online registration available. Register here

📅 Friday, March 21, 2025
🕒 2.30pm EST

🏢 Church Center of the United Nations, 11th Floor. 777 United Nations Plaza, New York, NY 10017

🎙️AWID speaker: Anissa Daboussi, Manager, Advancing Universal Rights and Justice team

Organizer: IWRAW AP, OURs, AWID, SRI

Snippet FEA Audio Land and Agroecology (EN)

Escucha esta historia aquí:

Key opposition strategies and tactics

Despite their rigidity in matters of doctrine and worldview, anti-rights actors have demonstrated an openness to building new kinds of strategic alliances, to new organizing techniques, and to new forms of rhetoric. As a result, their power in international spaces has increased.


There has been a notable evolution in the strategies of ultra conservative actors operating at this level. They do not only attempt to tinker at the edges of agreements and block certain language, but to transform the framework conceptually and develop alternative standards and norms, and avenues for influence.

Strategy 1: Training of UN delegates

Ultra conservative actors work to create and sustain their relationships with State delegates through regular training opportunities - such as the yearly Global Family Policy Forum - and targeted training materials.

These regular trainings and resources systematically brief delegates on talking points and negotiating techniques to further collaboration towards anti-rights objectives in the human rights system. Delegates also receive curated compilations of ‘consensus language’ and references to pseudo-scientific or statistical information to bolster their arguments.

The consolidated transmission of these messages explains in part why State delegates who take ultra-conservative positions in international human rights debates frequently do so in contradiction with their own domestic legislation and policies.

Strategy 2: Holding international convenings

Anti-rights actors’ regional and international web of meetings help create closer links between ultra conservative Civil Society Organizations (CSOs), States and State blocs, and powerful intergovernmental bodies. The yearly international World Congress of Families is one key example.

These convenings reinforce personal connections and strategic alliances, a key element for building and sustaining movements. They facilitate transnational, trans-religious and dynamic relationship-building around shared issues and interests, which leads to a more proactive approach and more holistic sets of asks at the international policy level on the part of anti-rights actors.

Strategy 3: Placing reservations on human rights agreements

States and State blocs have historically sought to undermine international consensus or national accountability under international human rights norms through reservations to human rights agreements, threatening the universal applicability of human rights.  

The Convention on the Elimination of Discrimination Against Women (CEDAW) has received by far the most reservations, most of which are based on alleged conflict with religious law. It is well-established international human rights law that evocations of tradition, culture or religion cannot justify violations of human rights, and many reservations to CEDAW are invalid as they are “incompatible with the object and purpose” of CEDAW. Nevertheless, reference to these reservations is continually used by States to dodge their human rights responsibilities.

‘Reservations’ to UN documents and agreements that are not formal treaties - such as Human Rights Council and General Assembly resolutions - are also on the rise.

Strategy 4: Creating a parallel human rights framework

In an alarming development, regressive actors at the UN have begun to co-opt existing rights standards and campaign to develop agreed language that is deeply anti-rights.

The aim is to create and then propagate language in international human rights spaces that validates patriarchal, hierarchical, discriminatory, and culturally relativist norms.

One step towards this end is the drafting of declarative texts, such as the World Family Declaration and the San Jose Articles, that pose as soft human rights law. Sign-ons are gathered from multiple civil society, state, and institutional actors; and they are then used a basis for advocacy and lobbying.

Strategy 5: Developing  alternative ‘scientific’ sources

As part of a strategic shift towards the use of non-religious discourses, anti-rights actors have significantly invested in their own ‘social science’ think tanks. Given oxygen by the growing conservative media, materials from these think tanks are then widely disseminated by conservative civil society groups. The same materials are used as the basis for advocacy at the international human rights level.  

While the goals and motivation of conservative actors derive from their extreme interpretations of religion, culture, and tradition, such regressive arguments are often reinforced through studies that claim intellectual authority. A counter-discourse is thus produced through a heady mix of traditionalist doctrine and social science.

Strategy 6: Mobilizing Youth

This is one of the most effective strategies employed by the religious right and represents a major investment in the future of anti-rights organizing.

Youth recruitment and leadership development, starting at the local level with churches and campuses, are a priority for many conservative actors engaged at the international policy level.  

This strategy has allowed for infiltration of youth-specific spaces at the United Nations, including at the Commission on the Status of Women, and creates a strong counterpoint to progressive youth networks and organizations.

Key anti-rights strategies

Strategy 7: Defunding and delegitimizing human rights mechanisms

When it comes to authoritative expert mechanisms like the UN Special Procedures and Treaty Monitoring Bodies and operative bodies like the UN agencies, regressive groups realize their potential for influence is much lower than with political mechanisms[1].

In response, anti-rights groups spread the idea that UN agencies are ‘overstepping their mandate,’ that the CEDAW Committee and other Treaty Bodies have no authority to interpret their treaties, or that Special Procedures are partisan experts working outside of their mandate. Anti-rights groups have also successfully lobbied for the defunding of agencies such as the United Nations Population Fund (UNFPA).

This invalidation of UN mechanisms gives fuel to state impunity. Governments, when under international scrutiny, can defend their action on the basis that the reviewing mechanism is itself faulty or overreaching.

Strategy 8: Organizing online

Conservative non-state actors increasingly invest in social media and other online platforms to promote their activities, campaign, and widely share information from international human rights spaces.

The Spanish organization CitizenGo, for example, markets itself as the conservative version of Change.org, spearheading petitions and letter-writing campaigns. One recent petition, opposing the establishment of a UN international day on safe abortion, gathered over 172,000 signatures.


Overarching Trends:

  • Learning from the organizing strategies of feminists and other progressives.
  • Replicating and adapting successful national-level tactics for the international sphere.
  • Moving from an emphasis on ‘symbolic protest’ to becoming subversive system ‘insiders.’

By understanding the strategies employed by anti-rights actors, we can be more effective in countering them.

 


[1] The fora that are state-led, like the General Assembly, the Human Rights Council, and UN conferences like the Commission on the Status of Women and the Commission on Population and Development


Other Chapters

Read the full report

Nana Abuelsoud

Biography

Nana est militante féministe et chercheuse spécialisée dans les droits reproductifs et les politiques démographiques. Elle exerce ses activités en Égypte. Elle collabore avec Realizing Sexual and Reproductive Justice (RESURJ), siège au conseil consultatif de l’A Project au Liban et fait partie du comité communautaire de Mama Cash. Nana est diplômée d’un master en santé publique de l’Institut KIT et de l’Université Vrije d’Amsterdam. Son travail consiste à analyser et contextualiser les politiques démographiques nationales tout en documentant les questions liées à l’eugénisme contemporain, aux programmes d’aide internationale régressifs et aux régimes autoritaires. Auparavant, elle a collaboré avec la Fondation genevoise pour la formation et la recherche médicales, l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne, ainsi qu’avec le Collectif féministe Ikhtyar au Caire.

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Snippet - WCFM type of funding- EN

Type of funding:

Be it core funding, programmes & projects or rapid response/ emergency grants.

Snippet FEA Objectives NSS Family Farming (FR)

L'AGRICULTURE FAMILIALE, L’AGROÉCOLOGIE ET LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE

Circle in mustard yellow with the illustration of a rural woman with brown skin and a blue dress, with a hoe tool on her left shoulder.
Promouvoir l'agriculture familiale par l'agroécologie et la souveraineté alimentaire

Siete recomendaciones feministas de políticas para frenar los flujos financieros ilícitos

La creciente dominación de los mercados y las instituciones financieras internacionales en la definición de las políticas económicas globales ha tenido como resultado la captura del poder popular en aras del interés de las élites y las grandes corporaciones globales.

Este informe «Flujos financieros ilícitos» analiza su desproporcionado impacto de género y los marcos legales y políticos actuales que permiten a las corporaciones multinacionales beneficiarse del fraude fiscal en detrimento de las personas y el planeta.

El informe concluye con siete recomendaciones feministas de políticas para exigir transparencia y rendición de cuentas por parte del poder corporativo para frenar los flujos financieros ilícitos.


Recomendaciones de políticas para la incidencia

Los flujos financieros ilícitos están llamando la atención como nunca antes: ya sea en negociaciones para el desarrollo, como los que condujeron a la Agenda 2030 y a la Conferencia sobre Financiamiento para el
Desarrollo de Addis Abeba en 2015, u ocupando los titulares de los medios hegemónicos con la publicación de documentos filtrados sobre finanzas offshore conocidos como los «Panama Papers». En otro ejemplo, en un
referendum de febrero de 2017, el pueblo ecuatoriano votó para prohibir que políticxs y funcionarixs públicxs posean acciones, compañías o capital en paraísos fiscales. El Gobierno de Ecuador es ahora, dentro del grupo
G-77, una de las voces principales que reclaman en las Naciones Unidas la creación de un organismo tributario global para poner fin a los paraísos fiscales.

Esta atención pública potencialmente da impulso para que lxs feministas, los movimientos sociales y lxs defensores de la justicia tributaria presionen por la transformación del sistema financiero internacional, donde
se arraigan desigualdades globales, incluidas las desigualdades de género.

Ofrecemos aquí siete pedidos de políticas como contribución a los crecientes esfuerzos de incidencia de actores por la justicia social, feministas, por los derechos de las mujeres y por la igualdad de género.

1. Abordar los flujos financieros ilícitos como una violación de los derechos humanos y los derechos de las mujeres:

  • Los FFI impiden el cumplimiento de la obligación de los Estados de movilizar los máximos recursos disponibles para la realización de los derechos humanos, incluidos los compromisos de larga data sobre los derechos de las mujeres y la igualdad de género.
  • El aumento de la de la rendición de cuentas de las corporaciones es una posibilidad que está sobre la mesa del Consejo de Derechos Humanos de las Naciones Unidas (ONU). Ya se ha establecido un grupo de trabajo abierto intergubernamental para elaborar un instrumento vinculante internacional que regule, según las normativas internacionales de derechos humanos, las actividades de las corporaciones transnacionales y otras empresas comerciales. Este proceso tiene el potencial de abordar la evasión fiscal corporativa como una violación de los derechos humanos, incluidos los derechos de las mujeres, y debería recibir más apoyo de los países del Norte y del Sur globales.

2. Garantizar que las corporaciones multinacionales paguen su parte:

  • • Desarrollar mecanismos internacionales para detener las prácticas fiscales fraudulentas y evitar las exenciones fiscales a las corporaciones. Los Estados miembros de las Naciones Unidas deberían iniciar negociaciones para redactar el borrador de una convención de la ONU para combatir las prácticas fiscales fraudulentas. La convención debería adoptar un sistema de consolidación y prorrateo para gravar las ganancias corporativas globales.
  • Revisar específicamente las regulaciones nacionales de los países ricos que requieren que las CMN paguen impuestos solo en el país de residencia y no en los países de actividad económica. Esta práctica daña sobre todo a los países en desarrollo, ya que cada vez pierden más base tributaria que se desplaza a jurisdicciones de baja o nula tributación. Al respecto deberían considerarse propuestas tales como el enfoque de tributación unitaria.

3. Apoyar el establecimiento de un organismo tributario internacional de las naciones Unidas:

  • Un organismo tributario de las Naciones Unidas, con iguales derechos de voto y membresía universal, debería tener la facultad de revisar la política tributaria nacional, regional y global y de garantizar que los Estados cumplan con los compromisos de larga data sobre derechos humanos, incluidos los derechos de las mujeres y la igualdad de género.

4. Promover la transparencia y la recolección de datos con perspectiva de género:

  • Deben realizarse mayores esfuerzos globales para pulir los datos comparables sobre fraude fiscal, por ejemplo, con datos desglosados por género que ponen al desnudo los prejuicios de género de ciertos sistemas tributarios.
  • Los países deben garantizar un esquema para el intercambio automático de información que garantice el acceso público y global a datos clave que afectan los recursos disponibles para la realización de los derechos humanos.
  • Implementar obligaciones informativas país por país para que las corporaciones multinacionales publiquen, como parte de sus informes anuales, las ganancias obtenidas y los impuestos pagados en cada país donde operan.
  • Debe haber más cooperación de los gobiernos para compartir sus registros públicos nacionales que dan a conocer los verdaderos beneficiarios de compañías, fideicomisos, fundaciones y estructuras legales similares, además de otra información financiera.

5. Promover la justicia tributaria a través de políticas fiscales nacionales progresivas:

  • Promover la justicia tributaria a través de políticas fiscales progresivas. Esto implica aumentar el peso de los impuestos directos sobre los ingresos de capital y los sectores sociales de alta rentabilidad y, al mismo tiempo, reducir y eliminar el peso tributario que recae en las mujeres y las personas pobres. Los segmentos precarizados de la sociedad, donde las mujeres están sobrerrepresentadas, no deberían terminar pagando más impuestos, en relación con sus ingresos, que los segmentos más adinerados, que a menudo se benefician de subsidios impositivos, moratorias y reducciones fiscales.
  • Los gobiernos deben revisar desde una perspectiva crítica los dañinos acuerdos comerciales y de inversión que otorgan incentivos y exenciones fiscales, que perpetúan la desigualdad y los prejuicios de género.

6. Garantizar la participación de las organizaciones por los derechos de las mujeres, los movimientos sociales y la sociedad civil progresista en sentido amplio:

  • Las decisiones sobre política económica y fiscal carecen a menudo de perspectiva de género. La interacción de los ministerios de género y de finanzas, y de estos con la sociedad civil y las defensoras de derechos humanos, es fundamental para entender mejor el impacto que tienen las decisiones sobre los ingresos públicos en los derechos de las mujeres y la igualdad de género.
  • Debe establecerse un ambiente propicio que proteja a las defensoras de derechos humanos y otrxs activistas (incluidxs lxs denunciantes y activistas para la justicia tributaria) que expongan el fraude fiscal e informen sobre la corrupción.

7. Poner fin a la impunidad de las actividades delictivas asociadas con los flujos financieros ilícitos y garantizar la rendición de cuentas:

  • Establecer un mecanismo coordinado global entre autoridades fiscales nacionales, mecanismos de derechos humanos e igualdad de género y unidades de inteligencia, para garantizar que las actividades delictivas asociadas con los FFI no continúen impunes.
  • Fortalecer los sistemas de justicia nacionales y globales para lograr la rendición de cuentas de individuos y entidades por la financiación de actividades delictivas a través de los FFI.

 


 

Leer el informe completo

Comment l’AWID a-t-elle débuté ?

L’AWID a fait ses débuts en 1982 et s’est transformée au fil du temps.

Pour mieux connaître notre histoire

Lire « From WID to GAD to Women's Rights: The First 20 Years of AWID » (disponible uniquement en anglais).