
Vivian Stromberg

El Consejo de Derechos Humanos (CDH) es el cuerpo intergubernamental del sistema de las Naciones Unidas responsable de la promoción y protección de todos los derechos humanos en todo el mundo. El HRC se reúne en sesión ordinaria tres veces al año, en marzo, junio y septiembre. La La Oficina del Alto Comisionado para los Derechos Humanos (ACNUDH) es la secretaría del Consejo de Derechos Humanos.
Debate y aprueba resoluciones sobre cuestiones mundiales de derechos humanos y el estado de los derechos humanos en determinados países
Examina las denuncias de víctimas de violaciones a los derechos humanos o las de organizaciones activistas, quienes interponen estas denuncias representando a lxs víctimas.
Nombra a expertos independientes que ejecutarán los «Procedimientos Especiales» revisando y presentado informes sobre las violaciones a los derechos humanos desde una perspectiva temática o en relación a un país específico
Participa en discusiones con expertos y gobiernos respecto a cuestiones de derechos humanos.
A través del Examen Periódico Universal, cada cuatro años y medio, se evalúan los expedientes de derechos humanos de todos los Estados Miembro de las Naciones Unidas
Se está llevarando a cabo en Ginebra, Suiza del 30 de junio al 17 de julio de 2020.
AWID trabaja con socios feministas, progresistas y de derechos humanos para compartir conocimientos clave, convocar diálogos y eventos de la sociedad civil, e influir en las negociaciones y los resultados de la sesión.
En planifiant l’activité que vous voulez présenter au Forum, pensez aussi à la façon dont vous financerez votre participation. Prenez en compte : l’hébergement, le voyage, le visa, les frais d’inscription au forum, etc.
Veuillez noter que ce Forum offrira de nombreux « espaces ouverts » et moments d’apprentissage et d’échange entre mouvements, mais aussi moins de sessions formelles. (Consultez la section « Comment décrire le Forum pour votre levée de fonds » ci-dessous concernant le langage à adopter dans votre demande).
Votre meilleure option sera toujours de faire appel à vos bailleurs de fonds actuels : Si votre groupe bénéficie de l'appui d'organismes donateurs, dites-leur que vous souhaitez participer au Forum de l’AWID pour apprendre, expérimenter, échanger et travailler en réseau, et ce même si votre activité n'est pas sélectionnée dans le programme final.
Pour soutenir votre participation, vos bailleurs de fonds devront en être informés longtemps à l'avance, alors n’attendez pas pour leur en parler déjà tout de suite ! (Ils sont déjà en train de décider des fonds qu’ils vont distribuer en 2020. Nous vous recommandons de les contacter au plus tard début 2020.) Bon nombre de donateurs qui soutiennent les organisations féministes disposent de budgets alloués au déplacement pour le Forum.
D’autres pourraient les inclure dans des renouvellements de subventions ou dans d’autres financements permettant de couvrir les frais de déplacements.
Si vous ne disposez pas actuellement d’un soutien financier, ou que vous ne pouvez garantir de subventions dédiées au déplacement pour le Forum, vous pouvez envisager de contacter de nouveaux donateurs.
Les délais et exigences varient d’un donateur à l’autre, et la procédure d’octroi de financement peut prendre plusieurs mois. Si vous envisagez d’effectuer de nouvelles demandes de financement, nous vous encourageons à le faire au plus tôt.
Les mouvements féministes ont depuis longtemps fait preuve de créativité lorsque s’agissait de financer leur propre militantisme. Voici quelques idées que nous avons été en mesure de rassembler afin d’inspirer des modes alternatifs de financement.
Pour plus d’inspiration, vous pouvez consulter les informations continues de l’AWID sur le financement autonome, comprenant des idées spécifiques sur le financement de la participation aux conférences.
Le Fonds d’accès de l’AWID : l’AWID s'efforce de faire du Forum un véritable rassemblement mondial avec la participation de divers mouvements, régions et générations. A cette fin, l'AWID mobilise des ressources pour constituer un Fonds d'accès limité (AF, selon son sigle anglais) afin d'aider les participant-e-s à couvrir leurs frais de participation.
Vous pouvez indiquer dans votre candidature si vous souhaitez soumettre une demande de financement au Fonds d'accès de l’AWID.
N'oubliez pas que ces ressources sont très limitées et que nous ne serons pas en mesure de soutenir tou.te.s les candidat.e.s. Même si vous faites une demande pour le Fonds d'accès de l’AWID, nous vous encourageons à continuer à explorer d'autres options pour financer votre participation au Forum. Les décisions relatives au Fonds d'accès seront confirmées d'ici la fin du mois de juin 2020.
Voici quelques extraits de messages qui peuvent vous aider à prendre contact avec vos donateurs ou votre réseau. N’hésitez pas à les adapter de la façon que vous jugerez la plus utile à vos yeux !
Le Forum de l’AWID est un espace cocréé par des mouvements féministes qui stimule les participant·e·s dans leur propre activisme, et renforce les connexions entre divers mouvements de droits et de justice. Les participant·e·s en tirent des sources d’espoir, d’énergie et d’imagination débridée, tout en approfondissant leurs analyses partagées et leurs apprentissages. C’est aussi un lieu de renforcement de la solidarité entre mouvements qui permet de développer des programmes d’action intégrés et de faire avancer des stratégies communes.
Notre organisation est à la recherche de fonds pour participer à ce Forum afin de se connecter à d’autres activistes et mouvements du monde entier, de consolider nos stratégies et de partager notre travail. Les participant·e·s des années précédentes nous inspirent, notamment lorsque ces personnes décrivent le pouvoir de ce rassemblement mondial féministe :
« Pendant quelques jours… les voix se sont tissées en une perspective mondiale sur l’état de l’égalité de genre. Et lorsque je dis mondiale, je fais référence à des traductions simultanées en sept langues… »
« Nous nous sommes rappelé·e·s que nous n’étions pas seul·e·s. Le Forum est un moyen pour traduire le collectif dans nos mouvements. En dépit des idéologies, des identités ou des frontières, notre force réside dans notre vision et notre soutien les un·e·s pour les autres. »
Veuillez noter que ce Forum offrira de nombreux « espaces ouverts » et moments d’apprentissage et d’échange entre mouvements, mais aussi moins de sessions formelles.
Même si beaucoup de participant·e·s ne feront pas de présentation aux sessions formelles, le Forum offrira cependant un espace précieux d’apprentissage, de réflexion stratégique et d’expérimentation du pouvoir collectif en action des mouvements féministes.
Lors du calcul de vos coûts et du montant nécessaire à financer, il est important de prendre en compte certaines dépenses qui peuvent survenir. Voici des exemples d’éléments clés à considérer :
Le 14ème Forum de l'AWID aura lieu du 11 au 14 janvier 2021 à Taipei, Taiwan.
C'est bien plus qu’un événement de quatre jours. C’est un arrêt de plus dans un parcours de renforcement de mouvement autour des réalités féministes, lequel a déjà commencé et continuera bien au-delà des dates du Forum.
Roxana Reyes Rivas, filósofa, feminista, lesbiana, poeta, política y activista por los derechos humanos de las mujeres y las personas LGBTI en Costa Rica. Dueña de una pluma afilada y un humor agudo, con la risa a flor de piel. Nació en 1960 y creció en San Ramón de Alajuela, cuando era una zona rural, y su vida entera rompería con los mandatos de lo que significaba ser mujer.
Desde El Reguero (grupo de lesbianas en Costa Rica) organizó festivales lésbicos por más de 10 años, espacios lúdico-formativos de encuentro en momentos donde el gobierno y la sociedad costarricense perseguía y criminalizaba la existencia lésbica. Para cientos de mujeres los festivales lésbicos eran el único lugar donde podían ser ellas mismas y encontrarse con otras como ellas.
Roxana decía que fundar partidos políticos era uno de sus pasatiempos. “Es importante que en Costa Rica la gente entienda que hay otras formas de hacer política, que muchos temas es necesario resolverlos colectivamente”. Fue una de lxs fundadores de los partidos Nueva Liga Feminista y VAMOS, un partido centrado en los derechos humanos.
“El oficio de la filosofía es meter la puya, ayudar a que la gente empiece a preguntarse cosas. La filósofa que no irrita a nadie, no está haciendo bien su trabajo”. Durante 30 años, Roxana fue profesora de filosofía en universidades públicas costarricenses. De su mano generaciones enteras de estudiantes reflexionaron sobre los dilemas éticos en la ciencia y la tecnología.
La herramienta favorita de Roxana era el humor, ella creó el premio del Chiverre Incandescente, un reconocimiento a la estupidez que otorgaba vía redes sociales a diferentes figuras públicas, ridiculizando sus exabruptos y afirmaciones anti-derechos.
Un cáncer agresivo se llevó a Roxana a fines del 2019, antes de que alcanzara a publicar la compilación de sus poemas, un último regalo de la mente creativa de una feminista que siempre levantó la voz para denunciar la injusticia.
Al unirte a AWID, te sumas a un proceso organizativo feminista mundial, un poder colectivo surgido del trabajo entre movimientos y basado en la solidaridad.
نعم، انه متاح للأشخاص أصحاب/ صاحبات الإعاقات السمعية، البصرية، النظرية والفكرية المختلفة.
我們先初步做了二手資料研究,徵詢盟友意見後,排除了這個區域的許多選擇,我們接著安排了一輪透徹的實地訪查,拜訪了尼泊爾、馬來西亞、斯里蘭卡、泰國、印尼及(之後的)台灣等地,我們每到一處,不只視察當地勤務基礎設施,還並與當地女性主義團體與運動者會面,深入了解當地環境以及運動者對於AWID國際論壇在當地舉行的潛在機會與風險。
AWID國際論壇這樣能帶來能見度,對於這類活動能帶來的機會與風險,他們常常表達矛盾的感受。有場會議開始後半小時,我們聽到與會的運動者一致認為AWID國際論壇會遇上大力反彈,同志人權議題是政治上的燙手山芋,基本教義派的保守團體會傾巢出動阻撓活動。當我們回應:「好,所以你們認為這提議不好。」運動者卻也都口徑一致:「當然該在這,我們要改變社會論調!」不是每個地方都可以聽到或看到這麼多女性主義運動者想把握有能見度的大型論壇,還準備好要面對當地的風險。不過,作為主辦方,要舉辦近2000位來自世界各地參與者的論壇,就我們的考量來說,風險與可行性有不同的計算方法。
我們也在斟酌這些問題:按照包容、互利、自決原則所組織的女性主義論壇代表著什麼?同時政府政策與實務通常都與這些原則牴觸(雖然觀光當局的官員很努力地排除障礙)。
在許多地方,要掌握當地脈絡感覺像在鐘擺上,前一刻女性主義辯論還是開放安全的,下一刻就擺向赤裸裸的壓迫與排外;把女性主義要事當成政治討價還價籌碼犧牲,安撫右翼和反人權勢力。
我們在亞太區面臨的挑戰讓我們思考:是否將論壇轉移到一個不同的區域來舉辦會輕鬆一點?可是今時今日,我們無法已無法像2012年一樣,在伊斯坦堡舉行AWID論壇,也無法像2016年一樣,移師到巴西。
考量到這些複雜因素,AWID選擇台北作為論壇舉辦地點的原因如下:
在籌備AWID論壇時,我們盡全力建立並維持一個空間,能讓我們多元表現團結、憤怒、希望、靈感,這是女性主義運動的核心。
此刻,我們認為在亞太區,台北是最適合的地方,能讓我們為全球女性主義社群打造那個安全造反的空間。
實際上,要舉行一個以女性主義理念實現為中心的論壇,現今的世界是找不到一個理想地點的。無論去哪,我們必須一起打造那個空間!
Nous avons le plaisir de vous présenter Sopo Japaridze, féministe féroce, dirigeante syndicale et présidente du syndicat de service indépendant Réseau de Solidarité.
Elle a quitté le pays très jeune pour les États-Unis, où elle est devenue politiquement active en tant qu'organisatrice syndicale. Elle a toujours gardé la Géorgie à l'esprit pendant tout ce temps, jusqu'au jour où, 20 ans plus tard, elle a décidé de revenir.
La confédération syndicale géorgienne existante à cette époque était loin d'être idéale. C’est pourquoi, armée de ses compétences, de ses connaissances et de son expérience en matière de syndicalisation, Sopo est retournée en Géorgie et a formé son propre syndicat.
Elle est aussi une chercheuse passionnée et une écrivaine. Elle étudie les relations de travail et les relations sociales, écrit pour diverses publications et est co-éditrice de Left East, une plate-forme analytique d'Europe de l'Est. Elle a également cofondé l'initiative et le podcast d'histoire politique, Réimaginer la Géorgie Soviétique, où elle explore les complexités et les nuances des expériences du pays sous l'Union soviétique, pour mieux comprendre son passé et construire un avenir meilleur.
“Je n’avais pas prévu d’être chanteuse; c’est le chant qui avait prévu de m’habiter” - Dorothy Masuka (interview avec Mail & Guardian)
L’une de ses chansons, intitulée "Dr Malan" (du nom de l'homme politique pro-apartheid D.F. Malan) a été censurée. Elle a poursuivi avec l’enregistrement de "Lumumba" (1961), une chanson sur l'assassinat du leader anticolonialiste Patrice Lumumba. Le travail et l'activisme de Dorothy ont alors attiré l'attention de la section spéciale de la police sud-africaine, ce qui la contraignit à un exil politique qui s’étendit sur plus de 3 décennies. Tout au long de cette période, elle travailla avec des groupes pro-indépendantistes, dont le Congrès national africain. En 1992, alors que l'apartheid commençait à s'effondrer et que Nelson Mandela fut libéré de prison, elle retourna en Afrique du Sud.
Parmi ses autres œuvres, on peut citer sa première chanson, enregistrée en 1953 et intitulée "Hamba Notsokolo", qui fut un tube des années 1950 et un grand classique. Elle composa également "El Yow Phata Phata", une chanson adaptée par Miriam Makeba qui contribua à offrir une popularité internationale à "Pata, Pata".
Ancrés dans la résistance, la musique et l’activisme de Dorothy étaient entrelacés et laissent un merveilleux héritage inspirant. Elle était également très connue sous le nom de “Auntie Dot”.
Le 23 février 2019, Dorothy s’est éteinte à Johannesburg à 83 ans des suites d’une maladie.
Regardez l'interview de Dorothy Masuka pour Mail & Guardian (seulement en anglais)
Écoutez sa musique :
Voyez grand ! Notre rayonnement international nous permet de combiner notre travail analytique avec des outils politiques et pratiques de plaidoyer et de transformation afin de faire avancer la cause des mouvements féministes à tous les niveaux.
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Since coming into myself, I have refused to pray in jamaat with my family. Joining in the ranks of hierarchy, “women” behind “men” irks me. It grates my skin and teeth to the degree where I can’t focus, and the standing, bowing, and kneeling feels like a battle against my true being. Each second listening, a betrayal of my nature. Instead, I pray by myself in my own way.
Yet this Ramadan, I feel different. Back in my childhood home after many years, I am choosing to fast. I choose suhoor with my family, and praying together feels like a natural extension of eating together. After eating, my mother, father, brother and I line up for fajr.
I pray behind Baba, but my prayer is my own. I close my eyes, staying with my breath and my body.
My eyes closed, I open my inner sight to a wide open window on a vista of mountains, bright sun spreading over a light mist of clouds. This was the view I had while praying in jamaat at a queer Muslim wedding I attended in the mountains of the South of France last September.
I lined up with the wedding guests, queer and trans folks of North and West African, Arab, and European descent. Folks of all faiths joined while some chose to stand in respect at the sides or behind. The groups did not fall along fault lines of “Muslim” or “non-Muslim,” “religious” or “non religious.” The two lovers marrying each led us in prayer, and so did the Muslim woman officiating the nikkah. Each of the three led us in two rounds of prayers, two raqat.
I showed up as I was, my body uncovered. I had not washed. I only passed my camera to a friend who chose to stand at the side.
In the first sujood, I broke down crying. I wore a jean dress that loves my body, one found at a thrift store my ex-girlfriend pointed me to.
The sobs come through my whole body during the prayer, and I put my head to the earth with my community like a homecoming. A return to the embrace of love both intensely personal and communal, and I am held.
It feels like swimming in the sea with multiple people: joyful togetherness. But when you go beneath the water, it’s just you and the current.
Like a dozen people buried in the same graveyard. Separate, but sharing the same soil. Becoming one with the growing earth.
That was how it felt to pray in communion at a queer Muslim wedding.
I welcomed the light of acceptance while showing up as myself that day, with a group of people who had also chosen to claim all the parts of themselves in love. That light made a home in me, and it illuminates my heart in the dark living room at fajr this Ramadan morning. Though I pray with my birth family who do not accept all of me, I see myself praying in jamaat at that glorious wedding with all of my queer Muslim ancestors, my queer angels, my lineage, my soul family, my queer Muslim family, all standing in prayer. Bowing as one.
My family’s home does not always feel like my own, though I am here now. I take the bukhoor from room to room, barefoot. Smolder from the censer, an incense that says, “Here I am.” Baraka, blessings from the source of all, Allah and the Goddess to each room in the house, bidding good and dispersing the unbidden.
As I write this the sky turns the same royal blue I am familiar with from exiting the club and pulling all-nighters. It is the gradient of morning I step into as I go to sleep.
Ramadan: the Muslim holy month, traditionally observed with 29 days of fasting without food or water during daylight hours
Keffiyah: a patterned scarf common in the SWANA region. The black and white version referred to here is associated with the Palestinian liberation movement
Pray in jamaat: Islamic ritual prayer in a group. Participants follow one person, traditionally male, who calls the prayer aloud.
Suhoor: the meal before the fast starts at dawn
Fajr: the dawn prayer
Baba: father
Raqat: one round of prayer consisting of standing, bowing, kneeling, and pressing the head to the ground
Sujood:the prayer position when one presses one’s head to the earth
Nikkah: the religious marriage ceremony
Bukhoor: an Arabic incense, woodchips soaked in resin
Baraka: blessing
Pictures of angels in my life, just some women and non-binary people of color hanging out, taking care of themselves and expressing love to each other. It's these simplest moments that are the most empowering.
< Freeing the Church, Decolonizing the Bible for West Papuan Women
The Sex Workers' Trade Union Organisation (Organización de Trabajo Sexual, OTRAS) is the first union of sex workers in the history of Spain. It was born out of the need to ensure social, legal and political rights for sex workers in a country where far-right movements are on the rise.
After years of struggles against the Spanish legal system and anti-sex workers groups who petitioned to shut it down, OTRAS finally obtained its legal status as a union in 2021.
Its goal? To decriminalize sex work and to ensure decent working conditions and environments for all sex workers.
The union represents over 600 professional sex workers, many of whom are migrant, trans, queer and gender-diverse.
Leah Tumbalang was a Lumad woman of Mindanao in the Philippines. The story of Lumad Indigenous peoples encompasses generations of resistance to large-scale corporate mining, protection of ancestral domains, resources, culture, and the fight for the right to self-determination.
Leah was a Lumad leader as well as a leader of Kaugalingong Sistema Igpasasindog to Lumadnong Ogpaan (Kasilo), a Lumad and peasant organization advocating against the arrival of mining corporations in Bukidnon, Mindanao province. She was unwavering in her anti-mining activism, fervently campaigning against the devastating effects of mineral extraction on the environment and Indigenous peoples’ lands. Leah was also an organizer of the Bayan Muna party-list, a member of the leftist political party Makabayan.
For almost a decade, Leah (along with other members of Kasilo) had been receiving threats for co-leading opposition against the deployment of paramilitary groups believed to be supported by mining interests.
“Being a Lumad leader in their community, she is at the forefront in fighting for their rights to ancestral land and self-determination.” - Kalumbay Regional Lumad Organization
Being at the forefront of resistance also often means being a target of violence and impunity and Leah not only received numerous death threats, but was murdered on 23 August 2019 in Valencia City, Bukidnon.
According to a Global Witness report, “the Philippines was the worst-affected country in sheer numbers” when it comes to murdered environmental activists in 2018.
Read the Global Witness report, published July 2019