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WHRDs are self-identified women and lesbian, bisexual, transgender, queer and intersex (LBTQI) people and others who defend rights and are subject to gender-specific risks and threats due to their human rights work and/or as a direct consequence of their gender identity or sexual orientation.
WHRDs are subject to systematic violence and discrimination due to their identities and unyielding struggles for rights, equality and justice.
The WHRD Program collaborates with international and regional partners as well as the AWID membership to raise awareness about these risks and threats, advocate for feminist and holistic measures of protection and safety, and actively promote a culture of self-care and collective well being in our movements.
WHRDs are exposed to the same types of risks that all other defenders who defend human rights, communities, and the environment face. However, they are also exposed to gender-based violence and gender-specific risks because they challenge existing gender norms within their communities and societies.
We work collaboratively with international and regional networks and our membership
We aim to contribute to a safer world for WHRDs, their families and communities. We believe that action for rights and justice should not put WHRDs at risk; it should be appreciated and celebrated.
Promoting collaboration and coordination among human rights and women’s rights organizations at the international level to strengthen responses concerning safety and wellbeing of WHRDs.
Supporting regional networks of WHRDs and their organizations, such as the Mesoamerican Initiative for WHRDs and the WHRD Middle East and North Africa Coalition, in promoting and strengthening collective action for protection - emphasizing the establishment of solidarity and protection networks, the promotion of self-care, and advocacy and mobilization for the safety of WHRDs;
Increasing the visibility and recognition of WHRDs and their struggles, as well as the risks that they encounter by documenting the attacks that they face, and researching, producing, and disseminating information on their struggles, strategies, and challenges:
Mobilizing urgent responses of international solidarity for WHRDs at risk through our international and regional networks, and our active membership.
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with Manal Tamimi, Bubulina Moreno, Karolina Więckiewicz, and Anwulika Ngozi Okonjo.
La taseografía es el estudio de los posos de café y/o de las hojas de té para la adivinación. Es una práctica que ha sido transmitida por las mujeres del lado armenio de mi familia, y me fue enseñada por mi madre, que a su vez la aprendió de su madre y así sucesivamente. Cuando miraba a mi Nana leer los posos del café armenio preparado para la familia y lxs amigxs, veía muchas veces como ella veía lo que quería decir. Estas impresiones dicen algunas de las cosas que quiero ver en el mundo: espero que sean las mismas cosas que ustedes quieren ver.
Esta impresión celebra la resiliencia, el sacrificio y la fortaleza de lxs luchadorxs por la libertad de SWANA, a través de la historia y la solidaridad existente. La inspiración original provino de un artículo que leí sobre una exposición en Tatvan, un distrito de Bitlis, que mostraba la presencia armenia en la región. Mis antepasadxs eran de Bitlis, que ahora se encuentra dentro de las fronteras de la Turquía moderna.
La taseografía (el estudio de la lectura de los posos de café) es una práctica cultural que las mujeres armenias han utilizado durante cientos de años para hablar entre sí. Es un lenguaje codificado para iniciar conversaciones, construir conexiones interrelacionadas y entretejidas.
“My mission in life is not merely to survive, but to thrive; and to do so with some passion, some compassion, some humor, and some style.” - Maya Angelou
The AWID International Forum is both a global community event and a space of radical personal transformation. A one-of-a-kind convening, the Forum brings together feminist, women’s rights, gender justice, LBTQI+ and allied movements, in all our diversity and humanity, to connect, heal and thrive. The Forum is a place where Global South feminists and historically marginalized communities take center stage, strategizing with each other and allied movements, funders and policy-makers, in order to shift power, make alliances, and usher in a different, better world.
When people come together on a global scale, as individuals and movements, we generate a sweeping force. Join us in Bangkok, Thailand in 2024. Come dance, sing, dream and rise with us.
When: 2–5 December 2024
Where: Bangkok, Thailand; and online
Who: Approximately 2,500 feminists from all over the world participating in-person, and 3,000 participating virtually
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con Naike Ledan y Fédorah Pierre-Louis.
Préparée par Jess X. Snow
avec l’aide de Kamee Abrahamian et Zoraida Ingles
Révisée par Kamee Abrahamian
Dans toute l’Asie et le Pacifique, et dans sa diaspora tout entière, des femmes et des trans farouches se battent pour un avenir où iels pourraient être libres. Alors que l’élévation du niveau des mers menace les îles du Pacifique et les côtes de l’Asie continentale, la lutte pour protéger la Terre et les océans s’intensifie dans le monde entier. La mémoire géologique de notre planète enregistre toutes les expériences qu’elle a vécues : la montée des colonisations, de l’industrialisation et de la destruction de l’environnement est liée à la montée de l’État-nation patriarcal binaire. Le pouvoir au sein de la Terre de se réincarner et d’éclore face à la violence doit alors être mis en lien avec les femmes, la maternité, l’indigénéité et toutes les forces expansives, sacrées et queer. Les Réalités féministes unissent la lutte pour la protection des droits des femmes, des trans et des personnes LGBTQ+ avec celle pour la protection de la Terre, et ce n’est pas une coïncidence. Des mères et filles protégeant le Mauna Kea au Royaume de Hawai’i aux relations complexes entre mères et enfants chez les réfugié·e·s du Vietnam, en passant par les réveils sexuels de personnes queer dans l’Inde conservatrice, la réclamation de la construction de maisons en Mongolie intérieure et la lutte pour la libération des personnes LGBTQ aux Philippines, cet ensemble de films est une constellation des manières selon lesquelles les femmes, personnes queer et trans en Asie-Pacifique défendent de nos jours les multiples voies vers notre libération collective, au-delà des océans et des frontières.
Tous ces films témoignent du sens fort accordé aux lieux : des activistes autochtones protègent leurs terres sacrées, des jeunes déconstruisent les récits coloniaux sur leurs terres et découvrent des vérités cachées, les liens complexes de maternité et de soins sont examinés, et des personnages se tournent vers leur propre corps et leur sexualité comme autant de sanctuaires, lorsque la famille et la ville qui les entourent menacent leur sécurité.
De Jess X. Snow
« Un film envoûtant avec des plans époustouflants qui invoquent la résistance écologique féministe et comment elle prend directement source dans l'histoire culturelle et la terre… »
- Jessica Horn, stratège féministe panafricain·e, écrivain·e et cocréateur·rice de The temple of her skin (Le temple de sa peau)
Dans le documentaire expérimental Afterearth, quatre femmes se battent pour protéger les volcans, les océans, la terre et l’air pour les générations futures. En s’appuyant sur de la musique, de la poésie et le témoignage poignant qui rend honneur aux lieux qu’atteint l’océan Pacifique – Hawai’i, les Philippines, la Chine et l’Amérique du Nord, Afterearth est une méditation poétique sur la relation intergénérationnelle et féministe de quatre femmes avec les terres et les plantes dont elles sont issues.
De Jalena Keane Lee
Dans Standing Above the Clouds, des mères et filles activistes indigènes de Hawai’i se tiennent côte à côte pour protéger leur montagne sacrée, Mauna Kea, contre sa transformation en un site de construction des plus grands télescopes au monde. En tant que protectrices de Mauna Kea, ce film souligne l’interconnexion entre Aloha ʻĀina (l’amour de la terre) et l’amour pour ses aîné·e·s et les générations à venir.
De Quyên Nguyen-Le
Dans ce court-métrage narratif expérimental, Nước (Eau/Terre natale) un·e ado genderqueer vietnamo-américain·e questionne les récits dominants sur la guerre du Vietnam à Los Angeles, Californie. Par le jeu de séquences oniriques fortes et d’intrusions de la réalité, ce film suit le parcours qui lui permet de recomposer et de comprendre l’expérience de sa mère, réfugiée de la guerre du Vietnam.
De Kimi Lee
Dans Kama’āina, une jeune queer de seize ans doit se débrouiller pour vivre dans les rues de Oahu, jusqu’à ce qu’elle finisse par pouvoir se réfugier, sur les conseils d’une tata, à Pu’uhonua o Wai’anae, le plus gros camp organisé de sans-abris de Hawai’i.
By Karishma Dev Dube
Dans Devi (« déesse » en hindi), Tara, une jeune lesbienne « dans le placard », s’oppose à la fois à sa famille et à la tradition pour vivre son attirance pour la servante de la maison. Située à New Delhi, Devi est une histoire de révélation tout autant qu’un commentaire sur les lignes sociales et de classe qui divisent les femmes de l’Inde contemporaine.
De Yuan Yuan
Dans Heading South, Chasuna, une fillette de 8 ans élevée par sa mère sur le Plateau de la Mongolie intérieure, rend visite à son père abusif à la grande ville. Pendant qu’elle est chez son père, on lui présente une nouvelle venue dans la famille. Elle doit alors reconnaître et accepter que sa véritable maison est inséparable de sa mère et de la terre.
De Johnny Symons & S. Leo Chiang
Dans le long métrage Outrun, nous suivons le parcours de la première femme transgenre au Congrès des Philippines. Face à l’oppression d’une nation majoritairement catholique, son parcours victorieux devient un cri de victoire pour les droits des personnes LGBTQ+ du monde entier.
Alliant le documentaire, le récit et des formes expérimentales, ces films illustrent que l’attention de la communauté, l’amour de soi et une écoute profondément transformatrice entre celleux que nous aimons sont une entrée dans les Réalités féministes auxquelles nous donnons vie aujourd’hui. De toute l’Asie Pacifique et sa diaspora, ces histoires nous montrent que, face à la violence, la tendresse est la plus féroce des résistances.
Regardez notre conversation avec les cinéastes
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The Forum theme––Rising Together––is an invitation to engage with our whole selves, to connect with each other in focused, caring and brave ways, so that we can feel the heartbeat of global movements and rise together to meet the challenges of these times.
Feminist, women’s rights, gender justice, LBTQI+ and allied movements around the world are at a critical juncture, facing a powerful backlash on previously-won rights and freedoms. Recent years have brought the rapid rise of authoritarianisms, the violent repression of civil society and criminalization of women and gender-diverse human rights defenders, escalating war and conflict in many parts of our world, the continued perpetuation of economic injustices, and the intersecting health, ecological and climate crises.
Our movements are reeling and, at the same time, seeking to build and maintain the strength and fortitude required for the work ahead. We can't do this work alone, in our silos. Connection and healing are essential to transforming persistent power imbalances and fault lines within our own movements. We must work and strategize in interconnected ways, so that we can thrive together. The AWID Forum fosters that vital ingredient of interconnectedness in the staying power, growth and transformative influence of feminist organizing globally.
El 2 de septiembre de 2021 lxs increíbles activistas feministas y por la justicia social del festival Crear | Résister | Transform de AWID nos juntamos no solo para compartir estrategias, crear juntxs y transformar al mundo sino también para decir cosas sucias en Twitter.
Este ejercicio lo facilitó Nana Darkoa Sekyiamah, una de las fundadoras del blog Adventures From The Bedrooms of African Women [Aventuras desde los dormitorios de mujeres africanas] y autora de The Sex Lives of African Women, [Las vidas sexuales de las mujeres africanas] que se asoció con la plataforma digital mujerista y queer panafricana AfroFemHub, para preguntar cómo podemos explorar nuestro placer, nuestros deseos y nuestras fantasías en forma segura y consensuada a través de mensajes de texto.
Creo que esta pregunta es fundamental porque involucra una cuestión más amplia: cómo nos manejamos en el mundo virtual desde una perspectiva feminista. Bajo el capitalismo, los discursos en torno a los cuerpos y al sexo pueden resultar deshumanizadores y distorsionadores; gestionar el placer sexual en espacios virtuales puede sentirse un acto performativo. Por eso, buscar vías para explorar cómo podemos compartir nuestro deseo en formas afirmativas y que nos entusiasmen puede ser una forma de resistir a los modelos dominantes de presentación y consumo así como una reivindicación de estos espacios y sus posibilidades de participación auténtica, demostrando que todo el sexting debería ser exactamente así: feminista.
Además, permitir que el discurso feminista asuma su lado más juguetón en el ámbito virtual nos ayuda a reformular esa narrativa tan difundida por la que actuar como feminista implica hacerlo con amargura y sin placer alguno. Pero, como bien sabemos, divertirnos es parte de nuestro trabajo político y un compomente intrínseco de lo que implica ser feminista.
Utilizando la etiqueta #SextLikeAFeminist, [SextComoFeminista] académiquxs y activistas de distintas partes del mundo aportaron sus tuits feministas más sedientos de placer y aquí les presento a mis diez favoritos.
Como lo demuestran estos tuits, resulta que sextear como feminista es sexy, divertido – y caliente – todo eso sin perder de vista el compromiso con la equidad y la justicia.
Anti-rights discourses continue to evolve. As well as using arguments related to religion, culture, and tradition, anti-rights actors co-opt the language of social justice and human rights to conceal their true agendas and gain legitimacy.
Three decades ago, a US television evangelist and Republican candidate famously said that feminism is an “anti-family political movement that encourages women to leave their husbands, kill their children, practice witchcraft, destroy capitalism and become lesbians.” Today, this conspirative notion gains unprecedented grasp and legitimacy in the form of “gender ideology” discourse, a catch-all bogey-man created by anti-rights actors for them to oppose.
Across a range of discourses employed by anti-rights actors - including notions of “cultural imperialism” and “ideological colonization”, appeals to “conscientious objection” and the idea of a “pre-natal genocide” - a key theme is co-optation. Anti-rights actors take legitimate issues, or select parts of them, and twist them in service of their oppressive agenda.
Prenons notre temps. Les orgasmes, comme la constitution des mouvements féministes, prennent du temps, de l’énergie et un peu de créativité.