Sabriya Simon
Marcha da Mulheres Negras 2016
Marcha da Mulheres Negras 2016
Marcha da Mulheres Negras 2016

Domaines prioritaires

Aider les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et de la justice de genre à être un élément moteur de l’opposition aux systèmes d’oppression et à co-créer des réalités féministes.

Domaine prioritaire : Co-Création des réalités féministes

Alors que nous rêvons d’un monde féministe, il y en a qui sont déjà en train de le construire et de le vivre. Ce sont nos réalités féministes ! 

Que sont les réalités féministes ?

Les réalités féministes sont les exemples concrets des mondes justes que nous sommes en train de co-créer. Elles existent aujourd’hui, dans les manières, dont les personnes et les mouvements vivent, luttent et se construisent.

Ces réalités féministes vont au-delà de la résistance aux systèmes oppressifs pour nous montrer à quoi ressemble un monde sans domination, sans exploitation et sans suprématie.

Ce sont ces histoires-là que nous voulons mettre en lumière, partager et amplifier à travers notre aventures des réalités féministes.

Transformer des visions en des expériences vécues

Au travers de cette initiative, nous voulons:

  • Créer et élargir les alternatives: Ensemble, nous créons de l’art et des expressions artistiques qui placent au centre et célèbrent l’espoir, l’optimisme, la guérison et l’imagination radicale que les réalités féministes inspirent.

  • Enrichir nos connaissances: Nous documentos, démontrons & diffusons des méthodologies qui permettront d’identifier les réalités féministes de nos différentes communautés.

  • Promouvoir des programmes féministes: Nous élargissons et approfondissons notre réflexion et notre organization collectives afin de promouvoir des solutions et des systèmes justes incarnant les valeurs et les visions féministes.

  • Mobiliser des actions solidaires: Nous incitons les mouvements féministes, en faveur des droits humaines et de la justice de genre et leurs allié-e-s à partager, échanger et co-créer des réalités, des récits et des propositions féministes lors du 14ème Forum international de l’AWID.


Le Forum international de l’AWID

Bien que nous mettions l’accent sur le processus avant, pendant et après les quatre jour du Forum, c’est lors de l’événement lui-même que la magie opère. Grâce à l’unique énergie des participant·e·s et à l’opportunité de rassembler les gens.

Nous espérons que le prochain Forum :

  • Construira le pouvoir des réalités féministes, en nommant, célébrant, amplifiant et en alimentant l’énergie autour des expériences et propositions qui font émerger les possibilités et nourrissent notre imagination

  • Remplira nos puits d’énergie et d’inspiration comme le carburant de notre activisme et de notre résilience pour les droits et la justice

  • Renforcera la connectivité, la réciprocité et la solidarité au sein des divers mouvements féministes et avec les mouvements en faveur des droits et de la justice.

En savoir plus sur le processus du Forum

Le prochain forum de l'AWID aura lieu du 20 au 23 september 2021 à Taipei, Taiwan.

En savoir plus

Contenu lié

Snippet Festival Day 5, 6 Fest (FR)

Day, jour, día 5 festival - Sept. 11, 2021
Le rassemblement comme plaisir :
tisser des projets collaboratifs féministes

Ghiwa Sayegh, Kohl: A Journal for Body and Gender Research
J. Daniel Luther 
Jessa Jordan
María Florencia Alcaraz
Nazlee Saif Arbee


De la sorcellerie, du chamanisme et d’autres savoirs insurgés contre le patriarcat

Sofía Blanco Sixtos, Colectiva Feminista MAPAS

 

Day, jour, día 5 - Sept. 12, 2021
Atelier de queerisation d’imaginaires féministes

Nino Ugrekhelidze, AWID
Jorge Davila Akinyi Osanjo


L'artivisme :  une arme de résistance politique féministe dans le contexte haïtien

Pascale Solages, Nègès Mawon
Souzen Joseph, Nègès Mawon
Gaëlle Bien-Aimé, Nègès Mawon


regardez la vidéo (anglais)


Atelier
Poésie du plaisir

by Wana Udobang


Atelier
La prison n’est pas féministe :
explorer l’impact et les alternatives lorsqu’on s’appuie sur la police et l’incarcération

Chanelle Gallant
Kai Cheng Thom

regardez la vidéo (anglais)

Snippet “Gender Ideology” Narratives (FR)

Les discours sur l’ « Idéologie du Genre » :

Pendant des décennies, les universitaires et défenseur·euse·s féministes ont développé d’importantes notions liées au genre afin de comprendre et combattre l’oppression et la discrimination. Ces notions sont maintenant devenues la cible d’acteur·ice·s antidroits qui prétendent que les rôles de genre patriarcaux oppressifs relèvent du « bon sens », peignant stratégiquement toutes les autres idées, normes culturelles et formes de vie sociale comme une idéologie dangereuse et conspirationniste.

Lisez le dossier sur Les Discours Sur L’ « Idéologie Du Genre » : Une Menace Pour Les Droits Humains

Téléchargez ici

Snippet FEA NORTH CAUCA Left (FR)

CAUCA DU NORD, COLOMBIE

Asociación de Mujeres Afrodescendientes del Norte del Cauca (ASOM)

 

NOUS MÉRITONS

PLUS!

Winnie Madikizela- Mandela

Winnie a été décrite comme une « militante enflammée » qui a combattu le régime de l’apartheid en Afrique du Sud.

Son engagement lui a valu d’être emprisonnée et placée en cellule d’isolement de nombreuses fois.

Affectueusement surnommée Ma’Winnie, elle était connue pour être quelqu’un qui parlait ouvertement des défis auxquels les femmes noires étaient confrontées pendant et après l’apartheid et cela, après avoir elle-même subi ces brutalités en tant que mère, épouse et militante pendant la lutte. Elle a su transcender l'idée couramment répandue selon laquelle le leadership est fondé sur le genre, la classe ou la race. Bien qu’étant une personnalité controversée, elle était connue par son nom xhosa, « Nomzamo », qui signifie « celle qui supporte les épreuves ».

Ma’Winnie continue d’être une source d’inspiration pour de nombreuses personnes, en particulier des jeunes femmes sud-africaines.

Sa mort a impulsé la naissance d’un mouvement qui a pour mantra : « Elle n’est pas morte, elle s’est multipliée ».

 


 

Winnie Madikizela-Mandela, South Africa

Snippet FEA Occupation’s kitchen Instagram (FR)

Campagne publicitaire d'Ocupação 9 de Julho :

Les Femmes Maintiennent les Soins | Les Soins Soutiennent la Vie | La Vie Soutient l'Économie | Qui s'Occupe des Femmes ? | Pas Une de Moins1 | Ensemble | Déjeuner du Dimanche

1Nenhuna a menos se traduit littéralement par « pas une femme de moins » ou « ni una menos » en espagnol - un célèbre slogan féministe en Amérique latine qui a émergé en Argentine en réponse à l'augmentation de la violence sexiste.

Annaliza Dinopol Gallardo Capinpin

Annaliza était la présidente du Conseil de réforme agraire des pionniers de Mindanao, un groupe de coordination de la ville de Tacurong, aux Philippines.

Mère aimée de quatre enfants, sa communauté se souvient d’Annaliza comme de « celle qui dirige quand personne ne veut diriger, qui parle quand personne ne veut parler, qui a eu le courage d'aider les bénéficiaires de la réforme agraire à acquérir des terres ».

Annaliza a été abattue par des assaillants inconnus devant l'Université d'État de Sultan Kudarat (SKSU) alors qu'elle se rendait au lycée national Salabaca à Esperanza.

Sa famille a déclaré : « Naghihintay pa rin kami ng hustisya para sa kanya » (nous attendons toujours que justice lui soit rendue).


 

Snippet FEA What are the objectives (FR)

Quels sont les Objectifs de Nous Sommes la Solution?

Mariam Uy Acob

Mariam était assistante juridique à l'Alliance des droits humains Kawagib Moro.

Mariam était une fervente critique de la militarisation imposée aux communautés moro et a constamment dénoncé les bombardements aériens et les cantonnements de troupes. Elle a dû fuir et chercher refuge après avoir révélé et dénoncé des injustices commises à l'encontre des communautés musulmanes aux Philippines.

Il semble que Mariam ait été assassinée par de présumés agents de l'armée à cause de son action en tant que défenseure. Les assaillants qui l‘ont tuée l’ont épiée, ont rattrapé le véhicule dans lequel elle se trouvait et ont fait feu sur elle à sept reprises.


 

Mariam Uy Acob, Philippines

Snippet FEA Travesti (FR)

TRAVESTI :

une identité de genre latino-américaine

Le terme travesti désigne une identité de genre latino-américaine sans équivalent dans d'autres langues, et exclusivement féminine. C'est une personne désignée de genre masculin à la naissance qui s'identifie comme une femme.

Elles doivent toujours être adressées avec le pronom “elle”. Travesti n'est pas seulement une identité de genre située en dehors de la binarité de genre, c'est aussi une identité culturelle enracinée dans les mouvements latino-américains.

Le terme était initialement péjoratif, mais a ensuite été réapproprié comme symbole de résistance et de dignité. Chaque travesti est trans parce qu'elle ne s'identifie pas au genre désigné à la naissance, mais toutes les travesti ne se considèrent pas comme femmes trans, car travesti est déjà une identité de genre en soi.

Référence: Berkins, Lohana. (2006). Travestis: una Identidad Política . Trabajo presentado en el Panel Sexualidades contemporáneas en las VIII Jornadas Nacionales de Historia de las Mujeres/ III Congreso Iberoamericano de Estudios de Género Diferencia Desigualdad. Construirnos en la diversidad, Villa Giardino, Córdoba, 25 al 28 de octubre de 2006.

Bessy Ferrera

Bessy Ferrera a défendu sans relâche les droits humains des personnes trans, travailleuses du sexe et séropositives au Honduras. 

 Bessy était aussi membre d’Arcoíris, une organisation qui soutient la communauté LGBTI+. Elle était en outre la personne référente de la plateforme Derechos aquí y Ahora (les droits ici et maintenant) au Honduras et plaidait fermement en faveur d’une pleine citoyenneté pour les personnes trans, ainsi que pour l’adoption d’une loi sur l’identité de genre qui permettrait aux personnes trans de changer légalement d’identité de genre. 

« Depuis le début de l’année [2019], la communauté trans a été victime d’une série d’attaques, parce qu’elle a défendu et demandé des droits. » Rihanna Ferrera (sœur de Bessy)
Bessy était une travailleuse du sexe qui a été tuée par balle par deux hommes, au début du mois de juillet 2019, alors qu’elle travaillait dans les rues Comayagüela. Ses assaillants ont par la suite été arrêtés.  

Bessy fait partie des nombreux·ses activistes des droits LGBTI+ du Honduras, assassiné·e·s en raison de leur identité et de leur travail, parmi qui se trouvent : Cynthia Nicole, Angy Ferreira, Estefania "Nia" Zuniga, Gloria Carolina Hernandez Vasquez, Paola Barraza, Violeta Rivas et Sherly Montoya.

Le cas de Bessy incarne l’injustice, de même qu’un problème plus large de violence systémique à laquelle se confronte la communauté LGBTI+ au Honduras, puisque l’État ne parvient pas à garantir l’offre de droits ni à fournir une protection. Cela est à l’origine d’une culture de l’impunité.   

Malgré les risques auxquels sont confronté.e.s les activistes LGBTI+ au Honduras,  tous et toutes continuent leur travail pour défier et résister à la violence, ainsi que pour combattre la stigmatisation et la discrimination au quotidien.

« Si je meurs, il faut que ce soit pour quelque chose de bien, pas pour une futilité. Je ne veux pas mourir en fuyant, en étant lâche. Si je meurs, je veux que les gens disent que je suis mort·e en me battant pour ce qui m’appartient » - membre d’Arcoíris

Snippet FEA The fight for a world full of workplaces (FR)

La lutte pour un monde rempli de lieux de travail exempts de toute forme de discrimination, de stigmatisation et d'exclusion est une lutte noble. Un monde où le travail sexuel est décriminalisé et reconnu comme travail en fait partie intégrante.

Un monde où tous·tes les travailleur·euses ont des conditions de travail sûres, des salaires décents et peuvent jouir des mêmes droits tels que l'accès à la santé, le droit à la retraite, aux congés maladie, aux vacances, à la sécurité de l'emploi et plus encore, quels que soient leur genre, leur race, leur origine ethnique, leur âge ou leurs capacités. Les droits du travail sont des questions féministes, et les syndicats féministes jouent un rôle clé dans la promotion des droits juridiques, du travail et économiques de tous·tes les travailleur·euses, en particulier les travailleur·euses migrant·e·s, les travailleur·euses domestiques, les travailleur·euses informel·les et les travailleur·euses du sexe. Ce sont ces personnes qui ont récemment été touchées de manière disproportionnée par la pandémie, sa crise des soins, les confinements, les couvre-feux ainsi que la surveillance et la répression policière accrue. Nous vous présentons ici les histoires de militantes féministes et syndicalistes qui se battent pour de meilleures conditions de travail et un monde meilleur pour tous·tes.

Doris Valenzuela Angulo

Doris Valenzuela Angulo était une activiste sociale, leader et défenseure des droits humains afrodescendante de Buenaventura, en Colombie. Elle faisait partie du réseau national Comunidades Construyendo Paz en Colombia (CONPAZ, Communautés construisant la paix en Colombie) composé d’organisations présentes dans les communautés affectées par le conflit armé œuvrant en faveur de la non-violence et la justice socio-environnementale.

Doris s’opposait à la violence paramilitaire continue, aux pressions incessantes des mégaprojets cherchant à déplacer sa communauté, et à la complicité de  l’État. Confrontée à l’un des contextes les plus difficiles de son pays, elle joua un rôle de premier plan dans l’initiative de résistance non-violente sans précédent Espacio Humanitario Puente Nayero, un lieu urbain conçu pour assurer la cohésion communautaire, la sécurité, la créativité et l’action collective. 

Ce combat non-violent unique en son genre des familles de l’Espacio Humanitario Puente Nayero attira l’attention et le soutien des agences tant locales qu’internationales. En septembre 2014, la Commission interaméricaine des droits de l’Homme accorda des mesures de protection préventives à la communauté, ordonnant au gouvernement colombien d’adopter des mesures nécessaires en vue de protéger la vie et l’intégrité physique des habitant·e·s. Les menaces et la violence des paramilitaires se poursuivirent néanmoins. Malgré l’assassinat de son fils Cristian Dainer Aragón Valenzuela en juillet 2015,Doris continua à mettre toute son énergie à éviter le recrutement forcé des enfants et des jeunes par les néo-militaires. Elle devint alors également une cible, recevant constamment des menaces pour son activisme et le travail qu’elle accomplissait.

Les incessantes agressions et menaces de mort dont elle était l’objet forcèrent Doris à quitter la Colombie. Elle vécut en Espagne de février 2017 à février 2018, dans le cadre du programme de protection temporaire d’Amnesty International pour les défenseur·e·s des droits humains en danger.

Doris a été assassinée en avril 2018 à Murcie, en Espagne, par son ex-compagnon. Elle n’avait que 39 ans. 


Hommages :

« Doris, cette année passée avec toi nous a montré combien une personne peut avoir la capacité de transformer et créer de l’espoir en dépit des événements profondément négatifs et dévastateurs qui jalonnent sa vie... Nous poursuivons notre engagement à défendre tous les droits humains. Ton courage et ta lumière nous guideront toujours. » - Montserrat Román, Amnesty International, Groupe de La Palma, Espagne

Extrait de « Mots pour Doris Valenzuela Angulo », d’Elsa López

« ... Tu le savais. Tu l’as toujours su. Et malgré tout cela, tu as résisté sans faillir à tant d’injustice, de misère, de persécution. Tu t’es élevée, fière et acharnée, contre ceux qui continuaient à vouloir que tu abandonnes tout espoir, que tu t’abaisses, que tu te rendes. Debout, tu as réclamé haut et fort ta liberté et la nôtre, qui était la tienne. Rien ni personne n’est parvenu à paralyser tes efforts pour changer le monde et le rendre plus généreux et plus vivable. Tu vis parmi nous, aujourd’hui plus vivante que jamais malgré la mort. Tu vis encore par tes actes, par ton courage, par ta grandeur lorsque tu pleurais pour cette terre promise que tu invoquais à chacun de tes cris, pour tous ces déserts que tu as habités. Toi. Toujours en vie. Doris Valenzuela Angulo.
Ce ne sont que des mots. Je sais. Je le sais, moi aussi. Mais les mots nous unissent, nous protègent, nous donnent la force et le soutien nécessaires pour continuer à aller vers la lumière que tu défendais tant... »

Snippet FEA lines of work Against (FR)

Illustration d'un livre rose sur lequel est écrit : « Droits du travail » avec un X rouge, l

LES VIOLATIONS DES DROITS DU TRAVAIL

Isabel Cabanillas de la Torre

Isabel Cabanillas de la Torre était une jeune artiste et activiste féministe très appréciée de Ciudad Juárez, au Mexique. Elle était connue pour ses belles peintures textiles, très expressives. Les yeux faisaient partie des représentations emblématiques de son travail. Ses peintures murales ont métamorphosé les immeubles décrépis et laissés à l’abandon du centre-ville de Ciudad Juárez, ornant leurs façades de messages de vie et de commentaires politiques.

Isabel voulait, à travers son art et son activisme politique, attirer l’attention sur les violences basées sur le genre omniprésentes dans sa ville natale. Elle était bénévole dans le réseau Mesa de Mujeres pour l’Observatoire citoyen sur le genre, qui supervise le travail des juges, procureurs et avocats de la défense dans les affaires de féminicides et autres violations basées sur le genre. Elle était également membre de Hijas de su Maquilera Madre, un collectif féministe dont le nom fait référence aux filles de mères qui travaillent dans les maquiladoras, ou zones de traitement pour l’exportation. Certaines de ces mères ont figuré parmi les premières victimes de féminicide dans la ville.

Le dernier projet d’Isabel, toujours en cours, était une installation artistique pour protester contre une entreprise canadienne qui cherchait à extraire du cuivre dans le désert de Samalayuca. 

Le 18 janvier 2020, Isabel a été tuée par balle alors qu’elle rentrait chez elle à vélo dans le centre de Juárez, dansce qui semble avoir été un acte ciblé, son corps ayant été retrouvé à côté de son vélo.

Le meurtre d’Isabel a déclenché une nouvelle vague d’indignation contre les féminicides dans la région, des centaines de personnes ont manifesté jusqu’au pont frontalier entre le Mexique et les États-Unis, le bloquant pendant des heures et scandant « Ni Una Menos » (pas une de plus) alors que des collectifs féministes continuaient de manifester contre les meurtres de femmes dans tout le pays. Au cours de la seule année 2019, 3 142 femmes et filles ont été tuées au Mexique. Un grand nombre ont été spécifiquement ciblées du fait de leur genre.

Elle adorait faire du vélo.

« Le vélo était son symbole de liberté. Il symbolisait le fait d’être libre dans les rues. » - Marisol (une amie d’Isabel) 

Snippet FEA Unio Otras Photo 2 (FR)

Photo de Sabrina Sanchez agitant un drapeau et menant une manifestation. Elle marche en portant un ensemble de lingerie et des talons. Il y a des gens avec des affiches derrière elle.

Snippet FEA Title Main (FR)

 

 

 

Les Économies Féministes

QUE NOUS ADORONS

 

 

Snippet AWID Forum Location Announcement Title (FR)

La date et le lieu du Forum de l’AWID ont été annoncés!

Faut-il être membre de l'AWID pour participer au Forum ?

Non, il n'est pas nécessaire d'être membre de l'AWID pour y participer, mais les membres de l'AWID bénéficient d'une réduction sur les frais d'inscription ainsi que d'un certain nombre d'autres avantages.

En savoir plus sur la façon de devenir membre de l'AWID