Sabriya Simon
Marcha da Mulheres Negras 2016
Marcha da Mulheres Negras 2016
Marcha da Mulheres Negras 2016

Domaines prioritaires

Aider les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et de la justice de genre à être un élément moteur de l’opposition aux systèmes d’oppression et à co-créer des réalités féministes.

Domaine prioritaire : Co-Création des réalités féministes

Alors que nous rêvons d’un monde féministe, il y en a qui sont déjà en train de le construire et de le vivre. Ce sont nos réalités féministes ! 

Que sont les réalités féministes ?

Les réalités féministes sont les exemples concrets des mondes justes que nous sommes en train de co-créer. Elles existent aujourd’hui, dans les manières, dont les personnes et les mouvements vivent, luttent et se construisent.

Ces réalités féministes vont au-delà de la résistance aux systèmes oppressifs pour nous montrer à quoi ressemble un monde sans domination, sans exploitation et sans suprématie.

Ce sont ces histoires-là que nous voulons mettre en lumière, partager et amplifier à travers notre aventures des réalités féministes.

Transformer des visions en des expériences vécues

Au travers de cette initiative, nous voulons:

  • Créer et élargir les alternatives: Ensemble, nous créons de l’art et des expressions artistiques qui placent au centre et célèbrent l’espoir, l’optimisme, la guérison et l’imagination radicale que les réalités féministes inspirent.

  • Enrichir nos connaissances: Nous documentos, démontrons & diffusons des méthodologies qui permettront d’identifier les réalités féministes de nos différentes communautés.

  • Promouvoir des programmes féministes: Nous élargissons et approfondissons notre réflexion et notre organization collectives afin de promouvoir des solutions et des systèmes justes incarnant les valeurs et les visions féministes.

  • Mobiliser des actions solidaires: Nous incitons les mouvements féministes, en faveur des droits humaines et de la justice de genre et leurs allié-e-s à partager, échanger et co-créer des réalités, des récits et des propositions féministes lors du 14ème Forum international de l’AWID.


Le Forum international de l’AWID

Bien que nous mettions l’accent sur le processus avant, pendant et après les quatre jour du Forum, c’est lors de l’événement lui-même que la magie opère. Grâce à l’unique énergie des participant·e·s et à l’opportunité de rassembler les gens.

Nous espérons que le prochain Forum :

  • Construira le pouvoir des réalités féministes, en nommant, célébrant, amplifiant et en alimentant l’énergie autour des expériences et propositions qui font émerger les possibilités et nourrissent notre imagination

  • Remplira nos puits d’énergie et d’inspiration comme le carburant de notre activisme et de notre résilience pour les droits et la justice

  • Renforcera la connectivité, la réciprocité et la solidarité au sein des divers mouvements féministes et avec les mouvements en faveur des droits et de la justice.

En savoir plus sur le processus du Forum

Le prochain forum de l'AWID aura lieu du 20 au 23 september 2021 à Taipei, Taiwan.

En savoir plus

Contenu lié

Ayanda Denge

« Je suis un miracle… Je suis donc née d’une mère! Moi qui commence à bégayer, J’ai eu une vie à nulle autre pareille... » - Ayanda Denge  (lisez le poème entier ci-dessous) 

Ayanda Denge était une femme trans, travailleuse du sexe, activiste et poète. Elle était une Xhosa de Port Elizabeth, dans la province du Cap-Oriental en Afrique du Sud. Après avoir traversé différentes villes du pays, elle s'est installée au Cap. 

En tant qu’activiste fervente et engagée de la justice sociale, elle s'est battue pour les droits des travailleures du sexe, des personnes trans et des personnes vivant avec le VIH et le sida. Elle a également été une conférencière motivatrice sur la sensibilisation au cancer ainsi que fait campagne en faveur de logements sociaux et abordables, en particulier au profit des pauvres et des travailleures. Ayanda s'est dressée comme une montagne contre les différents visages souvent violents de la discrimination. 

« Lorsque vous êtes transgenre, ce n’est pas une double dose, mais une triple dose de stigmatisation et de discrimination que vous recevez. Vous êtes discriminé·e en raison de votre identité sexuelle, en raison de votre travail et en raison de votre statut sérologique VIH. » - Ayanda Denge, 2016

Elle a été présidente par intérim de la Sex Workers Education and Advocacy Taskforce (SWEAT, groupe de travail sur l’éducation et la défense des travailleures du sexe) et coordonnatrice de liaison pour Sisonke, un mouvement national de travailleures du sexe sud-africain. 

« D’ici, de notre siège régional à SWEAT, où je siège au conseil d'administration, en passant par Sisonke, un mouvement de travailleures du sexe au Cap, nous ne faisons qu’un. Nous avons un même cri et c'est un cri qui est reconnu dans le monde entier par les travailleures du sexe de toute la planète. Nous voulons la décriminalisation du travail du sexe ». - Ayanda Denge, 2016 

Elle vivait dans la maison Ahmed Kathrada, qui était occupée par la campagne Reclaim the City en faveur de logements sociaux. En 2018, Ayanda avait été élue responsable de la maison. Le 24 mars 2019, elle a été poignardée à mort dans sa chambre. L'année précédente, un autre résident avait été tué. 

Reclaim the City fait le lien entre la sécurité des résident·e·s des maisons et le gouvernement de province qui les prive d'électricité et du droit humain à l'eau potable :  

« Nous ne pouvons dissocier la sécurité des femmes et des personnes LGBTQI vivant dans le squat du refus du gouvernement de la province du Cap-Occidental de rétablir l'électricité et l'eau potable dans la maison Ahmed Kathrada. 

La maison est dans le noir complet le soir. Nous avons besoin de lumière pour nous protéger les un·e·s les autres. On a l'impression que la province veut punir les pauvres et les ouvrier·ère·s, dont le seul crime était d'avoir besoin d'un toit. Certes, ils ont le droit de ne pas être d’accord avec nos raisons de squatter, mais ils devraient avoir honte de faire passer la politique avant la sécurité et la dignité des résident·e·s de cette ville. 

Repose en paix, camarade Ayanda Denge, nous reprenons le flambeau et nous nous souviendrons de toi dans cette lutte pour un logement décent et central. »

Poème d’Ayanda : 

Je suis un miracle…
Je suis donc née d’une mère!
Moi qui commence à bégayer,
j’ai eu une vie à nulle autre pareille.
Née dans la douleur 
Nourrie par la pluie
Pour gagner en hauteur
Je vivais dans les égouts.
Là je verse une larme, 
je me relève et brandis ma lance.
Les voix résonnent, n’ayez pas peur 
Des défis à relever dans l’année,
Des défis de souffrance dans mon dossier; 
La communauté applaudit, croyant que j’ai gagné la course; 
Mais en réalité mon travail avance à pas de tortue; 
À genoux je m’incline et demande grâce.
Car le Seigneur 
Est mon épée;
Pour rappeler à l’humanité
Qu’il apporte la sérénité.
Pourquoi, Seigneur, suis-je ce miracle? 
Le Seigneur me répond par la pluie et le tonnerre, 
Pour avoir interrogé mon père
Qui a dans le livre des agneaux
Un prénom nommé Ayanda.
Dans la rue ma vie n’a jamais été douce
Les personnes que j’ai dû croiser; 
Parfois, je ne les saluais jamais; 
Et même lorsque j’avais besoin de manger;
Je préférais tirer ma révérence
Plutôt que de prendre place.

Écoutez le poème de la voix d'Ayanda

« Car ma vie est pareille à celle d’une fleur de lotus, hors des eaux sombres et troubles, j'ai fleuri pour être belle et forte… »- Ayanda Denge, regardez et écoutez  


Hommages : 

« Ayanda, je voudrais te dire que dans nos coeurs, dans nos esprits, tu es toujours une survivante. Tu n’es plus là mais tu es partout, parce que tu es amour. Comme c’est merveilleux d’être aimé·e, et de donner de l’amour. Et c’est là, Ayanda, le cadeau que tu nous as fait. Merci pour tout cet amour, nous avions vraiment besoin de toi. Je te promets qu’à l’avenir, nous nous engageons tou·te·s à poursuivre la lutte à laquelle tu as consacré tant d’énergie et de temps. Et nous nous engagerons à obtenir justice pour cette fin de vie abominable que tu as connue. » - Transcription d’un message, lors d’un hommage d'adieu à Ayanda

« Ayanda était une activiste par nature. Elle connaissait ses droits et n’hésitait pas à se battre pour les droits des autres. En ce qui me concerne, je n’ai pas été surprise qu’elle s’implique auprès de nombreuses organisations, il était évident qu’elle aimait les gens. Elle ne défendait pas nécessairement les droits des LGBTI, mais les droits de toutes et de tous. » - la soeur d’Ayanda

Snippet - That Feminist Fire Logo (FR)

Texte blanc qui dit le titre de notre podcast en français : Notre flamme féministe

Snippet Join Forum Dreaming (FR)

Vous voulez construire le Forum avec nous ?

Devenez membre de l'AWID et participez à notre prochain événement "Forum Dreaming" le 20 juin.

Comment le Forum de l'AWID s'articule-t-il avec les espaces régionaux et autres ?

Nous sommes en communication avec les rassemblements régionaux et thématiques ainsi que les rencontres entre bailleurs de fonds prévus pour 2023-2024, afin d'assurer le bon déroulement des conversations et des connexions. Si vous organisez un événement et souhaitez le mettre en relation avec le Forum de l'AWID, n'hésitez pas à prendre contact avec nous !

CFA 2023 - Call for Activities is live- FR

L’appel à activités est ouvert!

La date limite pour proposer une activité est prolongée jusqu'au 1er février 2024

 

Dans l'esprit du thème du Forum, nous vous invitons à proposer une diversité de sujets et de formats d'ateliers qui :

  • Facilitent une connexion et une interaction authentiques entre les participant.e.s.
  • Favorisent la guérison et la régénération sous diverses formes, en tant qu'individus, communautés et mouvements.
  • Nous inspirent et nous mettent au défi de prospérer ensemble en tant que communautés et mouvements.

Forum 2024 - FAQ - Other Questions FR

Autres questions

Snippet - CSW68 - Responding to Anti-rights - FR

Répondre aux évolutions antidroits

in Multilateral and Regional Spaces

✉️ Sur invitation uniquement
📅Mardi 12 mars
🕒14 h - 15 h 30 HNE

Organisateur : Consortium de l'Observatoire sur l'universalité des droits (OURs)
🏢Blue Gallery, 222 E 46th St, New York

Snippet - WITM Why now_col 1 - FR

Pourquoi maintenant?

A monochromatic orange illustration of a woman with curly hair with her hand on her chin. She seems to inquisitive or posing a question.

Dans le monde entier, les mouvements féministes, de défense des droits des femmes, pour la justice de genre, pour la défense des personnes LBTQI+ et les mouvements alliés vivent un moment critique, face à de puissantes remises en question de droits et libertés pourtant acquis.

Ces dernières années ont vu la rapide montée de l’autoritarisme, de la violente répression de la société civile et de la criminalisation des défenseur·ses des droits humains des femmes et des personnes de genre divers, l’escalade de guerres et de conflits dans plusieurs régions du monde, la perpétuation des injustices économiques et de crises conjuguant la santé, l’écologie et les changements climatiques.

Quelle est votre définition du financement extérieur?

Le financement extérieur inclut les subventions et autres formes de financement de la part de fondations philanthropiques, de gouvernements, de financeurs bilatéraux, multilatéraux ou d’entreprise et de donateur·rices individuel·les, qu’elles et ils soient de votre pays ou de l’étranger. Il exclut les ressources que les groupes, organisations et/ou mouvements génèrent de manière autonome (ressource en anglais), telles que les cotisations d’adhésion, contributions volontaires du personnel, de membres et/ou de soutiens, les collectes de fonds communautaires, les locations de salles et ventes de services. Les définitions des différents types de financement, ainsi que de courtes descriptions des différents bailleurs de fonds, sont incluses dans l’enquête pour une meilleure compréhension.

Je ne me sens pas à l’aise à l’idée de communiquer le nom de mon groupe et nos coordonnées à l’AWID. Puis-je quand même participer à l’enquête?

Tout à fait, ces questions sont facultatives, et nous reconnaissons votre droit à l’anonymat. Merci de répondre aux questions de l’enquête, peu importe votre décision quant à la mention du nom de votre groupe, organisation et/ou mouvement et de vos coordonnées.

Snippet - Intro CSW69_FR

#BloquerLesFascismes

#FreezeFascisms

Depuis l’adoption de la Déclaration et du programme d’action de Beijing il y a 30 ans, les groupes fascistes exercent un pouvoir et une influence croissantes dans les espaces multilatéraux, faisant reculer les acquis en matière d’égalité de genre et de protection des droits humains dans le monde.

À l’approche de la CSW69, nous co-organisons de courageuses initiatives horizontales, sur le terrain et en ligne, pour échanger des stratégies et bâtir un pouvoir féministe au-delà de Beijing+30. Notre présence collective perturbe les mécanismes d’exclusion des institutions dans ces espaces tout en soutenant les mouvements qui s’organisent autour d’alternatives féministes aux systèmes d’oppression.

Participez aux conversations du 10 au 21 mars 2025 pour, collectivement, faire de la CSW69 un espace de résistance et de solidarité.

Protection de la famille

Contexte

Au cours des dernières années, nous avons observé une nouvelle tendance inquiétante dans les espaces internationaux consacrés aux droits humains. Les discours axés sur « la protection de la famille » sont en effet utilisés pour défendre des violations des droits de membres de la famille, pour renforcer et justifier l’impunité des auteurs de ces violations et pour restreindre l’égalité des droits au niveau de la vie familiale. 

La campagne en faveur de la « Protection de la famille » est motivée par une volonté conservatrice d’imposer des conceptions « traditionnelles » et patriarcales de la famille et de priver les membres de la famille de leurs droits pour les transférer à « l’institution familiale ».

Les initiatives visant à la « Protection de la famille » reposent sur :

  • la montée du traditionalisme,
  • la montée du conservatisme culturel, social et religieux,
  • l’existence d’une hostilité vis-à-vis des droits humains des femmes, des droits sexuels, des droits des enfants et enfin des droits des personnes dont l’identité de genre et l’orientation sexuelle ne sont pas conformes aux normes.

Depuis 2014, un groupe d’Etats travaille de front dans les espaces dédiés aux droits humains sous le nom de « Group of Friends of the Family » (Groupe des ami-e-s de la famille) ; des résolutions sur la « Protection de la famille » ont été adoptées chaque année depuis 2014.

Ce programme s’est propagé au-delà du Conseil des droits humains. Nous avons observé l’introduction d’un discours régressif autour de la « famille » à la Commission sur la condition de la femme, ainsi que des tentatives d’introduction dans les négociations sur les Objectifs de développement durable.


Notre approche

L’AWID travaille avec des partenaires et des allié-e-s pour s’opposer ensemble à la « Protection de la famille » et à d’autres programmes régressifs et défendre l’universalité des droits humains.

En réponse à l’influence croissante d’acteurs régressifs au sein des espaces dédiés aux droits humains, l’AWID a rejoint des allié-e-s afin de créer l’Observatoire sur l'Universalité des droits (OURs) (site en anglais). L’OURs est un projet de collaboration qui surveille, analyse et diffuse les informations concernant les initiatives anti-droits telles que la « Protection de la famille ».

Le premier rapport de l’OURs, Nos droits en danger, trace une cartographie des acteurs et actrices qui constituent le lobby mondial anti-droits et identifie leur réthorique et stratégies clés ainsi que leur impact sur les droits humains.  

Le rapport précise que le programme de « Protection de la famille » a développé une collaboration entre un large éventail d’acteurs régressifs aux Nations Unies, qu’il décrit comme « un cadre stratégique abritant des positions anti-droits et patriarcales multiples, où le cadre vise entre autres à légitimer et institutionnaliser ces positions. »

Contenu lié

Vie Féminine et Handicap : lutter contre les discriminations au Sénégal

Vie Féminine et Handicap : lutter contre les discriminations au Sénégal

L’association Vie Féminine et Handicap est devenue membre de l’AWID en 2008 « pour mieux défendre nos idées, mieux sensibiliser sur les discriminations dont les femmes en situation de handicap sont victimes en Afrique et offrir une meilleure visibilité de nos actions », confie la Présidente de l’association, Ndoya Kane. 


Prendre en compte les besoins spécifiques des femmes en situation de handicap 

Créée en 2008, Vie Féminine et Handicap se donne pour mission de lutter contre la pauvreté des femmes en situation de handicap au Sénégal et de façon plus globale sur tout le continent africain. Dans le cadre d’une vision où le handicap ne devrait pas constituer un frein à la dignité et au bien-être des femmes, l’association se donne pour objectifs principaux de lutter contre la pauvreté, les Infections Sexuellement Transmissibles et le Sida chez les femmes en situation de handicap, tout en renforçant leur accès aux nouvelles technologies de l’information. 

Vie Féminine et Handicap a été créée pour que les problématiques des femmes handicapées soient gérées à partir d’une perspective qui prenne en compte leurs besoins spécifiques, liés à la fois à leurs statuts de femme et de personne handicapée, et pour que leur situation économique évolue de façon positive et que la société soit mieux sensibilisée aux questions du handicap sans préjugés négatifs. 
Constituée d’une cinquantaine de membres et agissant principalement sur les départements de Pikine et de Guédiawaye dans la région de Dakar, Vie Féminine et Handicap entreprend des activités de sensibilisation et de formation des femmes en situation de handicap ainsi que de plaidoyer envers les autorités, qui portent à la fois sur la question de l’exercice des droits humains des femmes handicapées, leur pouvoir économique et leur santé sexuelle et reproductive.  « Nous organisons des activités de sensibilisation sur le handicap dans les quartiers en y invitant les autorités communales, les jeunes et les personnes « valides » car le handicap est entouré de beaucoup de préjugés négatifs dans la culture sénégalaise et africaine en général. Nous participons aussi à des conférences aux niveaux africain et international pour débattre de la situation des femmes handicapées en Afrique et dans le monde pour une meilleure harmonisation de nos stratégies », souligne Ndoya Kane.

« Sans faire preuve de solidarité, sans comprendre que notre combat n’est pas mené pour défendre les intérêts d’une seule organisation de personnes handicapées, mais de tou-te-s, nous n’obtiendrons jamais de résultats. Toutes les organisations de personnes handicapées doivent comprendre que le combat que nous menons est plus important que les rivalités internes et que nous devons avancer ensemble pour réussir à obtenir des résultats durables », expliquait Ndoya Kane en 2010 dans un rapport de l'AWID.

Mutualisation des ressources et autofinancement des membres

L’association a mis en place depuis février 2010 une caisse d’autofinancement (CAF), qui consiste à mettre en commun les cotisations des membres pour permettre à chacune de disposer de financements de petits projets personnels et d’initier des activités génératrices de revenus pour ses membres, axées notamment autour du petit commerce. L’idée de créer cette CAF est née de la volonté des membres elles-mêmes, qui constituent un groupe très précaire disposant de faibles ressources économiques et dont l’accès aux crédits formels s’avère par conséquent impossible.

La CAF a par exemple permis à Marétou Diop, une habitante de Guédiawaye, d’ouvrir une boutique dans le marché de son quartier pour y vendre des denrées alimentaires. « Maintenant, les autres femmes viennent adhérer à notre Caisse d’Autofinancement pour trouver du crédit et financer leurs activités », souligne Ndoya Kane. 

« Les discussions de groupe sont d’autant plus importantes qu’elles permettent de nous retrouver entre femmes handicapées et renforcent la confiance chez certaines pour parler de leur condition de femme en toute aisance. Nous choisissons ensemble quel problème existe et essayons d’avoir recours à des spécialistes pour nous entretenir sur la question », raconte Ndoya Kane.

Source
AWID

Feminine Life and Disability: Fighting against the discrimination in Senegal

Feminine Life and Disability: Fighting against the discrimination in Senegal

The organization Vie Féminine et Handicap (Feminine Life and Disability) became an AWID member in 2008 “to better defend our ideas, to better promote awareness of the discrimination faced by women living with disability in Africa, and to increase visibility of our work,” says President of the organization, Ndoya Kane. 


Considering the specific needs of women living with disability

Launched in 2008, the mission of Vie Féminine et Handicap is to fight against poverty among women living with disability in Senegal and globally, but especially across the African continent. With a vision where disability is no longer a barrier to a woman’s dignity or well-being, the main objectives of the organization are to combat poverty, sexually transmitted infections, and AIDS among women living with disability, while strengthening their access to new information technologies.    

Vie Féminine et Handicap was created to address the issues of disabled women from a perspective that considers their specific needs, related to both their status as a woman and as a person living with a disability – and to ensure that their economic situation evolves in a positive way and to better sensitize society to disability issues without the negative prejudice. 

Comprised of some fifteen members and working mainly across the Pikine and Guédiawaye departments in the Dakar region, the work of Vie Féminine et Handicap includes awareness raising and training for women living with disability, as well as advocacy with decision-makers around the human rights of women living with disability, their economic empowerment, and their sexual and reproductive health. “We do awareness raising on the issue of disability in neighbourhoods by inviting community authorities, youth and ‘able-bodied’ people, because disability is surrounded by a lot of negative prejudice in the Senegalese and African context in general. We also participate in conferences at the African and International level to discuss the situation of disabled women in Africa and around the world to better align our strategies,” highlights Kane. 

 “Without solidarity, without an understanding that the fight that we lead is not done in the interest of a sole disabled people’s organization, but in the interest of all, we will never achieve any results. Each disabled people’s organization to understand that the fight that we lead outweighs the competition and that we have to go forward together to succeed in getting long lasting results,” explained Ndoya Kane in 2010, in a repport produced by AWID

Pooling resources and the self-financing of members

Since February 2010, the organization has established a self-financing fund, which consists of pooling member contributions to allow each one to finance small personal projects and to initiate income-generating activities for its members, mainly focused on small business. The idea to create the fund originated from our members themselves, a vulnerable group with limited economic resources and for which access to credit is nearly impossible.

The Fund for example allowed Marétou Diop, a resident of Guédiawaye, to open a shop in her neighbourhood market and sell foodstuffs. “Now the other women are joining our self-financing fund to receive credit and finance their activities,” highlights Ndoya Kane.  

“Group discussions are even more important as they give us the opportunity to meet among women living with disability and build confidence in some to comfortably talk about the issues they face as women. Together we decide which challenges exist and try to engage specialists in addressing the issue,” says Kane.    

Source
AWID

Género y discapacidad: la lucha contra la discriminación en Senegal

Género y discapacidad: la lucha contra la discriminación en Senegal

La organización Vie Féminine et Handicap [vida femenina y discapacidad] se afilió a AWID en el año 2008. La Presidenta de la organización, Ndoye Kane, afirma que esto se hizo  « con el fin de defender mejor nuestras ideas, mejorar la concientización  sobre la discriminación experimentada por las mujeres que viven con discapacidad en África y para dar mayor visibilidad a nuestro trabajo». 


Tener en cuenta las necesidades específicas de las mujeres que viven con discapacidad

Vie Féminine et Handicap comenzó a operar en 2008 y su misión es luchar contra la pobreza que sufren las mujeres que viven con discapacidad en Senegal y en todo el mundo –aunque   especialmente en el continente africano. En su visión, la discapacidad dejar de ser una barrera para la dignidad o el bienestar de las mujeres. Los principales objetivos de la organización son la lucha contra la pobreza, las infecciones de transmisión sexual y el sida entre las mujeres que viven con diversidad funcional, fortaleciendo su acceso a las nuevas tecnologías de la información.

Vie Féminine et Handicap se creó para abordar cuestiones relevantes a las  mujeres con diversidad funcional — desde una perspectiva que toma en cuenta sus necesidades específicas como mujeres y personas que viven con una discapacidad —;   para garantizar que su situación económica evoluciona de manera positiva;  y para mejorar la sensibilidad social a temas relacionados con la discapacidad, eliminando los prejuicios negativos.

La organización cuenta con 15 integrantes y trabaja, principalmente,  en los departamentos de Pikine y Guédiawaye de la región de Dakar. Su tarea incluye crear conciencia y capacitar a mujeres que viven con diversidad funcional;  y también hacer incidencia con tomadores de decisión por los derechos humanos de las mujeres que viven con discapacidad, su empoderamiento económico y su salud sexual y reproductiva. «Creamos conciencia sobre el tema de la diversidad funcional en las comunidades, invitando a las autoridades, a la juventud y a las personas sin discapacidades, porque en Senegal y en el contexto africano hay, por lo general, muchos prejuicios negativos en torno a las capacidades diferentes. También participamos en conferencias regionales e internacionales para hablar de la situación de las mujeres discapacitadas en África y en el mundo; y para alinear mejor nuestras estrategias», subraya Kane.

«Sin solidaridad, sin una comprensión de que la lucha que nosotras lideramos no es para una sola organización de personas discapacitadas, sino para todas, nunca lograremos ningún resultado. Cada organización de personas con diversidad funcional debe comprender que la lucha que estamos librando es más importante que la competencia y que debemos avanzar juntas para seguir obteniendo resultados duraderos.», explicó Ndoya Kane,  en el 2010 en un informe de AWID.

Recursos combinados y el financiamiento autónomo de la membresía

En febrero de 2010, la organización creó un fondo de autofinanciamiento,  que combina los aportes de su membresía para que cada integrante financie pequeños proyectos personales y para iniciar actividades de generación de ingresos, particularmente bajo la forma de pequeños negocios. La idea de crear este fondo surgió de la propia membresía –un  grupo vulnerable con recursos económicos limitados y para  el que resulta casi imposible acceder al crédito.

Un ejemplo de este trabajo es la historia de Marétou Dio, quien vive en Guédiawaye: el fondo le permitió instalar un puesto en el mercado de su comunidad y vender productos alimenticios. «Ahora hay mujeres que se están sumando a nuestro fondo autofinanciado para obtener crédito y costear sus actividades», indica Ndoya Kane.

«Las conversaciones grupales son todavía más importantes porque  abren la oportunidad de reunirnos con otras mujeres que viven con discapacidad y  generar relaciones de confianza para hablar cómodamente sobre los problemas que nosotras enfrentamos. Decidimos colectivamente cuáles son los desafíos que afrontamos e intentamos traer especialistas para abordarlos», explica Kane.

Source
AWID

Pour les femmes et les filles victimes de violences de guerre en RDC

Pour les femmes et les filles victimes de violences de guerre en RDC

L’association Initiatives des Femmes en Situations Difficiles pour le Développement Intégré (IFESIDI) est devenue membre de l’AWID en 2012, considérant cette dernière comme « un réseau à travers lequel l’IFESIDI pourrait bénéficier de beaucoup d’expériences dans le cadre de promotion et de protection des droits des femmes. »


« Ensemble dans la lutte pour les droits des femmes et des filles ! »

Depuis plus de vingt ans, les guerres frappant l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) sont à l’origine de violations massives de droits humains – notamment ceux des femmes, des filles et des enfants – incluant des viols et d’autres formes de violences faites aux femmes et aux filles. La situation précaire des femmes et des filles se trouve exacerbée par l’appropriation de leurs ressources, leur paupérisation conséquente ainsi que par leur mise en situation de vulnérabilité liée aux déplacements, suite aux attaques dans leur village. Face à cette réalité, IFEDISI s’est créée en 2002 pour améliorer les conditions sociales des femmes et des filles victimes de violences liées aux guerres, notamment de celles qui vivent en milieu rural, ainsi que pour promouvoir et protéger leurs droits. Cette association non confessionnelle et à but non lucratif est composée de 35 membres et ses activités couvrent au moins toute la province du Sud Kivu à l’Est de la RDC.  Porteuse du slogan « Ensemble dans la lutte pour les droits des femmes et des filles ! »,  IFEDISI souhaite que les femmes et les filles congolaises puissent vivre un jour dans la dignité.

Renforcement des capacités économiques et éducatives des femmes victimes de guerre

En plus de ses activités d’écoute des femmes et des filles victimes de violences dans divers milieux – notamment domestique, scolaire et professionnel –, l’association mène actuellement un programme de renforcement des capacités économiques et éducatives des femmes victimes de guerre. Ce programme comprend des activités d’apprentissage de métiers, liés entre autres à la savonnerie artisanale, la coupe de tissu et la couture.

L’une des bénéficiaires du programme raconte : « Avant d’être  invitée par l’IFESIDI et d’être formée, je transportais de lourds sacs de sable pour les constructeurs de bâtiments dans la ville de Bukavu et faisais des vas-et-viens avec ces sacs sur mon dos à longueur de journée.  Femme déplacée que je suis dans cette ville, sans ressources financières, j’étais sans aucun espoir de pouvoir continuer à vivre et personne ne me regardait quand je passais… Mais aujourd’hui, grâce à l’IFESIDI, je peux parler, je peux passer et les gens sauront que c’est  « mama » Ponga Musema qui passe ! »

Mobilisée dans le cadre des 16 jours d’activisme 

Dans le cadre de la Campagne des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre qui débute le 25 novembre et se termine le 10 décembre, l’IFESIDI organise cette année des activités de sensibilisation, conférence-débat, stratégies de plaidoyer, échanges et évaluation en présence des femmes et des filles ciblées par l’association.


Connectez-vous:

Source
IFESIDI

Mobilizing for Women and Girl Victims of War Violence in the DRC

Mobilizing for Women and Girl Victims of War Violence in the DRC

The organization l’Initiatives des Femmes en Situations Difficiles pour le Développement Intégré (Initiatives of Women in Difficult Situations for Integrated Development, IFESIDI) became an AWID member in 2012, which they consider “a network through which IFESIDI could benefit from lots of experience in the area of promoting and protecting women’s rights.”


“Together in the fight for women’s and girls’ rights!” 

For over twenty years, the wars affecting eastern Democratic Republic of Congo (DRC) have been at the root of massive human rights violations – particularly the rights of women, girls and children – including rape and other forms of violence against women and girls.  The appropriation of their resources and their consequent impoverishment, as well as being placed in a vulnerable situations from displacement following attacks in their village, all contribute to a precarious situation for women and girls. Faced with this reality, IFESIDI was created in 2002 to improve the social conditions of women and girl victims of violence related to war, including those living in rural areas; and to promote and protect their rights. This non-denominational non-profit is composed of 35 members, its activities covering at least the whole of the South Kivu province in eastern DRC. With the slogan “Together in the fight for women’s and girls’ rights!” IFESIDI hopes that Congolese women and girls can one day live in dignity.

Strengthening the Economic and Educational Capacities of Women Victims of War

In addition to counselling services for women and girl victims of violence in different spheres – namely domestic, academic and professional – the organization is currently conducting an economic and educational capacity building program for women victims of war. The program includes job training, related to, among others, artisan soap making, fabric cutting and sewing.  

One of the beneficiaries of the program explains: “Before being invited by IFESIDI and being trained, I was carrying heavy bags of sand for construction workers in the city of Bukavu, going back and forth with these bags on my back all day long. The displaced woman that I am in this city, without financial resources, I was without any hope to continue to live and no one looked at me when I passed by… But today, thanks to IFESIDI, I can talk, I can pass by and people will know that it’s “mama” Ponga Musema who is passing by!”      

Mobilizing as part of the 16 Days of Activism

As part of the 16 Days of Activism against Gender-Based Violence campaign, which begins on 25 November and ends 10 December, IFESIDI is organizing awareness raising activities, a panel discussion, advocacy strategies, exchanges and an evaluation with the women and girls that the organization targets.


Get connected

Source
IFESIDI

Movilización por las mujeres y las niñas víctimas de la violencia de la guerra en RDC

Movilización por las mujeres y las niñas víctimas de la violencia de la guerra en RDC

La organización Initiatives des Femmes en Situations Difficiles pour le Développement Intégré [Iniciativas de las mujeres en situaciones precarias por el desarrollo integrado] se afilió a AWID en 2012 porque consideraron que era «una red a través de la cual IFESIDI podía beneficiarse de la enorme experiencia acumulada en la promoción y la protección de los derechos de las mujeres».


«¡Juntas en la lucha por los derechos de las mujeres y las niñas!»

Durante más de veinte años, las guerras que afectaron a la República Democrática del Congo (RDC) han sido la causa de violaciones masivas a los derechos humanos —especialmente los derechos de las mujeres, las adolescentes y la niñez—, entre ellas la violación y otras formas de violencia contra mujeres y niñas. La apropiación de sus recursos y su consiguiente empobrecimiento, así como el estar en situaciones de vulnerabilidad como desplazadas tras ataques contra sus aldeas, son todos factores que contribuyen a la situación precaria en que viven las mujeres y las niñas. Frente a esa realidad, IFESIDI fue creada en 2002 para mejorar la situación social de las mujeres y niñas víctimas de la violencia relacionada con la guerra, incluidas aquellas que viven en zonas rurales, y para promover y proteger sus derechos. Esta organización no confesional y sin fines de lucro está formada por 35 integrantes; sus actividades cubren al menos la totalidad de la provincia de Kivu Sur, en el este de la RDC. Con el lema «¡Juntas en la lucha por los derechos de las mujeres y las niñas!», IFESIDI espera que las congoleñas de todas las edades puedan vivir con dignidad algún día.

Fortalecer las capacidades económicas y educativas de las mujeres víctimas de la guerra

Además de servicios de consejería para mujeres y niñas víctimas de violencia en diferentes esferas —doméstica, académica y profesional—, IFESIDI está implementando un programa de desarrollo de capacidades económicas y educativas para mujeres víctimas de la guerra. Este programa incluye capacitación laboral, como la fabricación artesanal de jabón, y corte y confección.

Una de las beneficiarias del programa explica: «Antes de que IFESIDI me invitara y me capacitara, yo acarreaba bolsas pesadas de arena para los trabajadores de la construcción en la ciudad de Bukavu y me pasaba el día entero yendo y viniendo con esas bolsas en la espalda. Como mujer desplazada que vivía sin recursos financieros en esta ciudad, no tenía esperanza de seguir viviendo y nadie me miraba al pasar a mi lado... Pero hoy, gracias a IFESIDI, puedo hablar, y cuando paso la gente sabe que «Ahí va la ‘'mamá’ Ponga Musema ».

Movilización como parte de los 16 Días de activismo

Como parte de la campaña «16 Días de activismo contra la violencia de género», que comienza el 25 de noviembre y termina el 10 de diciembre, IFESIDI está organizando actividades para crear conciencia, un panel de debate, estrategias de incidencia, intercambios y una evaluación con las mujeres y las niñas con las que trabaja la organización.


Conéctate:

Source
IFESIDI

Garantizar la seguridad para las/os defensoras/es de derechos humanos, proteger la libertad de expresión

Garantizar la seguridad para las/os defensoras/es de derechos humanos, proteger la libertad de expresión

Originaria de Pakistán, Javeria Ayaz Malik es activista de derechos humanos, así como experta en comunicaciones y seguridad. Vive en Johannesburgo, Sudáfrica, y trabaja como Asesora en Seguridad Internacional y jefa del Departamento de Seguridad del Personal en ActionAid International. En ese rol coordina la política de protección y seguridad de la organización y entabla vínculos externos con redes globales de seguridad. Javeria también asesora a líderes de ActionAid sobre estrategias apropiadas para gestión de la seguridad dirigidas a reducir los riesgos que puede enfrentar el personal en materia de protección y seguridad al cumplir con sus tareas.


Javeria tiene una trayectoria profesional en periodismo y comunicación masiva. Trabajó para la televisión nacional de Pakistán, investigando y escribiendo guiones además de ser presentadora tanto de televisión como de radio. Javeria cree fervientemente en los derechos humanos, la libertad de expresión y la igualdad, y considera que el periodismo y la comunicación fueron sus «primeros amores». Nos comparte sus ideas acerca de la relación entre el periodismo y la seguridad:

"El periodismo ético y objetivo puede influir sobre la sociedad, empoderar a las personas que viven en la pobreza y exigir rendición de cuentas a quienes son responsables de cumplir obligaciones. No es sorprendente que las/os periodistas continúen sufriendo amenazas por parte de regímenes opresores e intereses corporativos en todo el mundo. Por eso mis conocimientos sobre seguridad se tornan relevantes."

Como capacitadora certificada y con experiencia en materia de seguridad, Javeria ha desarrollado planes y metodologías de formación que incluyen módulos específicos dirigidos particularmente a mejorar las estrategias de protección para defensoras/es de derechos humanos y sobre todo para las mujeres defensoras. Javeria es una de las escasas mujeres del Sur Global que son expertas en seguridad y desde esa perspectiva dice:

"En esta época y este momento, ¡las mujeres estamos librando una batalla constante! Cada día enfrentamos estereotipos y acoso, pero todo eso solo nos ha hecho más fuertes y más decididas."

Javeria ha estado afiliada a AWID desde marzo de 2015. Cuenta que «me sumé a AWID para entrar en contacto con personas afines a mí y participar más en iniciativas por los derechos de las mujeres a nivel global».


Puedes contactarte con Javeria mediante el directorio en línea o enviando un correo electrónico a membership@awid.org

Region
Asia del Sur

Les droits des femmes et l’égalité de-s genre-s – La rubrique ‘Point de mire’ sur TheGuardian.com

L’Asie du Sud et du Sud-Est

Cette année, notre hommage en ligne met à l’honneur 7 défenseuses des droits humains originaires de différents pays d'Asie du Sud et du Sud-Est. Ces défenseuses ont grandement contribué aux progrès accomplis dans le domaine des droits des peuples autochtones, des droits des femmes et du droit à l'éducation. Ces défenseuses étaient des avocates, des activistes des droits des femmes, des universitaires ou des responsables politiques. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour commémorer la vie de ces femmes, leur travail et l’héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.


S'il vous plaît cliquez sur chaque image ci-dessous pour voir une version plus grande et pour télécharger comme un fichier 

 

Stephanie Bracken

Biography

Stephanie Bracken est une féministe qui se consacre à la construction et au soutien de systèmes solides qui répondent aux besoins du moment et des personnes qui interagissent avec eux, tout en servant les principes de justice. Elle est titulaire d'un master en droits humains de l'Université de Sydney et d'une licence en études de genre, histoire et philosophie de l'Université McGill. Elle possède une expérience de travail avec des organisations féministes et de justice sociale dans les domaines du suivi, de l'évaluation et de l'apprentissage, de la planification stratégique du travail, de la gouvernance, de la gestion de projet et de la création de systèmes et de processus opérationnels. Stephanie est basée à Tiohtià:ke/Montréal, où elle aime chanter avec d’autres, camper, pratiquer les arts textiles et passer du temps avec ses enfants et sa communauté.

Position
Cheffe des Opérations
Add to stories
Off

Merci d'avoir participé à la création de nos Horizons féministes

Un grand MERCI d'avoir pris part au 13ème Forum international de l'AWID !

Toute l'équipe de l'AWID vous remercie de nous avoir rejoint pour ces quatre jours d'apprentissage et de célébrations, pour envisager, rêver et co-créer nos Horizons féministes.

Nous avons été incroyablement inspiré-e-s et enthousiasmé-e-s par tout ce travail collectif que nous avons accompli ensemble !

Pour plus d'images, d'inspiration et de ressources :

Visitez le site du Forum

Bonne lecture !


Connectez-vous au #AWIDForum