
Heike Jensen

El Consejo de Derechos Humanos (CDH) es el cuerpo intergubernamental del sistema de las Naciones Unidas responsable de la promoción y protección de todos los derechos humanos en todo el mundo. El HRC se reúne en sesión ordinaria tres veces al año, en marzo, junio y septiembre. La La Oficina del Alto Comisionado para los Derechos Humanos (ACNUDH) es la secretaría del Consejo de Derechos Humanos.
Debate y aprueba resoluciones sobre cuestiones mundiales de derechos humanos y el estado de los derechos humanos en determinados países
Examina las denuncias de víctimas de violaciones a los derechos humanos o las de organizaciones activistas, quienes interponen estas denuncias representando a lxs víctimas.
Nombra a expertos independientes que ejecutarán los «Procedimientos Especiales» revisando y presentado informes sobre las violaciones a los derechos humanos desde una perspectiva temática o en relación a un país específico
Participa en discusiones con expertos y gobiernos respecto a cuestiones de derechos humanos.
A través del Examen Periódico Universal, cada cuatro años y medio, se evalúan los expedientes de derechos humanos de todos los Estados Miembro de las Naciones Unidas
Se está llevarando a cabo en Ginebra, Suiza del 30 de junio al 17 de julio de 2020.
AWID trabaja con socios feministas, progresistas y de derechos humanos para compartir conocimientos clave, convocar diálogos y eventos de la sociedad civil, e influir en las negociaciones y los resultados de la sesión.
AWID agradece enormemente a todxs ustedes que han compartido con nosotrxs estos últimos cuatro días de aprendizaje, celebraciones, ideaciones, sueños y la construcción conjunta de nuestros futuros feministas en el Foro AWID 2016.
Nos sentimos muy inspiradxs, maravilladxs y llenxs de energía con todo el trabajo colectivo que hemos hecho para crear nuestros diversos futuros feministas.
كلا. نطلب فقط تعبئة استطلاع واحد لكل مجموعة.
Nana is a feminist organizer and a reproductive rights and population policy researcher based in Egypt. She is a member of Realizing Sexual and Reproductive Justice (RESURJ), a member of the Advisory Board of the A Project in Lebanon, and a member of the Community Committee of Mama Cash. Nana holds an MSc in Public Health from KIT Institute and Vrije University in Amsterdam. In her work, she follows and contextualizes national population policies while building evidence that addresses modern eugenics, regressive international aid, and authoritarianism. Previously, she was part of the Geneva Foundation for Medical Education and Research, the Egyptian Initiative for Personal Rights, and Ikhtyar Feminist Collective in Cairo.
«No adhiero al concepto de “Tercer Mundo”. Hago películas para que las personas (no importa de qué raza o color sean) puedan entenderlas. Para mí, solamente existen explotadores y explotadxs, eso es todo. Hacer una película significa tomar una posición.» - Sarah Maldoror
La innovadora Sambizanga (1972), su «película revolucionaria», sigue la lucha de liberación anticolonial de lxs militantes de Angola y capta la perspectiva de una mujer en el momento histórico en que se encuentra.
«Para muchxs cineastas africanxs, el cine es una herramienta revolucionaria, una educación política para crear consciencia. Se inscribe en la evolución de un Tercer Cine, que se orienta a descolonizar el pensamiento y promover cambios radicales en la sociedad.» - Sarah Maldoror
A lo largo de su carrera, Sarah (junto con otrxs artistas africanxs y caribeñxs) cofundó, en 1956, la primera troupe de teatro negra de Francia. Realizó alrededor de cuarenta películas, incluidos importantes documentales que difundieron la vida y la obra de artistas negrxs, entre lxs cuales se encuentra su amigo y poeta, Aimé Césaire, quien le escribió:
«A Sarah Maldo
que, cámara en mano,
lucha contra la opresión, la alienación
y se planta de cara
frente a la estupidez humana.»
Sarah estaba también dedicada a lograr que las mujeres africanas se apropiaran más del proceso de filmación. En una entrevista, señaló:
«Las mujeres africanas deben estar en todos lados. Deben estar en las imágenes, detrás de la cámara, en la sala de edición, y participar en todas las etapas de la realización de una película. Ellas deben ser quienes hablen sobre sus problemas.»
Sarah dejó un legado formidable para que sea continuado.
Nacida el 19 de julio de 1929, Sarah falleció el 13 de abril de 2020 debido a complicaciones por el coronavirus.
Mira Sambizanga y lee una reseña de la película en un artículo del New York Times de 1973 (solo en ingles)
Aujourd'hui, de nombreux systèmes de savoirs communautaires sont en danger.
Les changements qui surviennent à une vitesse effrénée sur le plan économique, politique et culturel détruisent les environnements, les pratiques et les moyens de subsistance. Diverses formes de connaissances sombrent dans l’oubli, sont marchandées et colonisées dans le cadre de la mondialisation massive, de la promesse de gains à court terme, ou encore contre des solutions de fortune.
Le Buen Vivir (le bien-vivre), un concept adapté à partir des connaissances des peuples autochtones andins, est décrit comme la réalisation collective d'une vie d'accomplissement fondée sur des relations harmonieuses et équilibrées entre les êtres humains et tous les êtres vivants, dans la réciprocité et la complémentarité. Cela implique de reconnaître que les êtres humains sont une partie intégrante de la nature, que nous dépendons de la nature et que nous sommes interdépendant-e-s entre nous.
La vision inhérente à la notion de Buen Vivir intègre la production et la reproduction comme processus indissociables de l'économie, de la production de richesse et des conditions de vie.
D’une perspective féministe, le Buen Vivir valorise les relations et les ressources mobilisées dans les cycles de production et de reproduction, favorisant l’équilibre (non seulement celui des marchés) afin de garantir la continuité et les changements, tant qu'ils sont compatibles avec la justice économique et la pérennité de la vie.
Certaines conceptions binaires liées au genre et à la complémentarité entre les hommes et les femmes ont été critiquées par les féministes puisqu’elles laissent peu de place à une discussion plus approfondie sur le patriarcat hétérocentrique et les relations de genre ‘non conformes’.
Cela dit, l'une des principales contributions de l’application du principe Buen Vivir aux cadres politiques, économiques et sociaux, consiste à ce que l'égalité ne représente plus le paradigme des droits individuels, ayant plutôt pour objet la transformation de l’ensemble de la société.
Да, доступ к опросу можно получить с помощью смартфона.
We work to achieve gender justice and women’s human rights by strengthening the collective voice, impact and influence of global women’s rights advocates, organizations and movements.
Forma parte de una organización feminista de membresía internacional y de una comunidad. Nuestrxs afiliadxs residen en todas las regiones del mundo. Aprenden entre sí y se brindan apoyo mutuo en una red global fundada en la solidaridad.
María Digna Montero était une défenseuse Garifuna (d’origine africaine et autochtone) du droit à la terre et membre de l’Organisation fraternelle noire hondurienne (OFRANEH), une organisation communautaire oeuvrant à protéger les communautés Garifunas, leurs droits, leur culture, leurs ressources et leur territoire ancestraux.
María a également enseigné dans l'école locale et été membre du groupe de travail sur l'éducation bilingue interculturelle de l'OFRANEH.
Le 12 octobre 2019, jour de la Résistance autochtone, des inconnus ont tiré à plusieurs reprises sur María, alors qu’elle se trouvait dans l’arrière-cour de sa maison.
Elle est l'une des six défenseuses Garifunas à avoir été assassinées entre septembre et octobre 2019 et selon OFRANEH, ces crimes n’ont fait l’objet d’aucune enquête de la part des autorités. Dans une déclaration officielle, l'organisation a également souligné le lien entre la violence à l’encontre des dirigeants Garifunas et le développement des industries extractives qui exploitent les ressources naturelles de leurs communautés, affirmant que cette violence s’inscrivait dans une "stratégie d'intimidation et d'expulsion systématique" menée par l'État hondurien.
“La tension accrue et les risques croissants pour la sécurité et les droits humains des dirigeants des communautés et des territoires ancestraux sont le résultat de la dépossession, du déplacement et de la criminalisation des communautés et des mégaprojets d'extraction promus par l'État en collaboration avec les entreprises nationales et internationales". - Communiqué de l'OFRANEH, 12 octobre 2019
Sim, encorajamo-lo a partilhar mais sobre questões importantes para si ao responder à(s) pergunta(s) aberta(s) no final do inquérito.
"Nous savons que tout est contre nous et il y a très peu de chances de changer cela. Mais nous croyons en l'intervention et je pense que nous avons une opportunité et nous devrions l'utiliser. C'est pourquoi nous faisons tout ce que nous faisons. Nous sommes prêt·e·s à pousser pour des choses inouïes."
Sopo Japaridze dans OpenDemocracy
Photo @სოლიდარობის ქსელი / Solidarity Network
Participez au Forum international de l'AWID - un rassemblement féministe mondial majeur - et bénéficiez de réductions spéciales et de points d'entrée pour le dialogue virtuel réservés aux membres de l'AWID. Co-créé par des mouvements féministes, le Forum est un espace unique de discussion profonde et d'imagination où nous remettons en question et renforçons notre organisation, et joignons nos luttes et nos réalités féministes.
Lorena Borjas, a trans Latina woman and activist, lived and worked in the Jackson Heights neighborhood of Queens, New York City. In those streets, she looked after her community for years, advocating for trans and immigrant rights, supporting survivors of human trafficking and abuse, campaigning for sex workers’ rights and those of people living with HIV and AIDS.
Lorena was strong and tireless in her fight to support, defend, and have the back of those most marginalized and discriminated by transphobia, misogyny and racism.
“She pushed us to shine authentically, to become a scream of subversion that says, ‘I am here, and I deserve happiness, too.’” - Cecilia Gentili, a trans activist and Lorena’s friend
Having faced numerous traumas and hardships herself, as a trans immigrant woman and victim of human trafficking, Lorena pulled knowledge and emotional memory from the well of her experiences in order to help build and strengthen the community she was part of and which was part of her. Some of the ways she did this was to organize and mobilize support ranging from providing condoms and connecting trans women to different services, to setting up an HIV testing clinic in her own home.
"She was such a beautiful soul who helped others when her journey was difficult and painful as an immigrant, as a trans immigrant. She believed the trans community needed love, acceptance, and compassion, and she gave it all.” - Luchia Dragosh, QPTV Supervising producer of a documentary about Lorena
In more than 25 years of activism, she also founded the Lorena Borjas Community Fund together with Chase Strangio (lawyer and trans rights activist). The Fund helps the many different members of her community (and especially trans persons) dealing with immigration challenges to avoid the cycle of arrest-jail-deportation.
Lorena passed away in March 2020 of complications from COVID-19.
Her enormous and beautiful legacy will be taken forward through the streets of Queens by the network and community she co-created.
“We will pick up her work where she left it, work that is essential to the well-being of “mis pajaras” as she called the trans girls of Queens under her wing.” - Cecilia Gentili
"Lorena brought light to us when we were living through a very dark time here in New York. She brought us light when we were dealing with the crack epidemic, when we were dealing with the AIDS crisis, dealing with changes in immigration policies." - Cristina Herrera, founder and CEO of Translatina Network and Lorena’s friend
"Lorena has done more than anyone else I know to shine a light on the epidemic of trafficking in transgender communities and to help other trans women escape exploitation." - Lynly Egyes (represented Borjas on behalf of the Transgender Law Center)
Watch a documentary about Lorena Borjas
Read a postscript in The New Yorker about Lorena Borjas
Read an opinion piece in the New York Times by Cecilia Gentilin