
Naseeb Miloud Karfana

Les défenseuses des droits humains s’auto-identifient comme des femmes ou des personnes lesbiennes, bisexuelles, transgenres, queer, intersexes (LBT*QI) ou autres qui défendent les droits. Elles sont exposées à des risques et à des menaces de nature genrée à cause du travail qu’elles accomplissent en faveur des droits humains et/ou en conséquence directe de leur identité de genre ou de leur orientation sexuelle.
Les défenseuses des droits humains subissent une violence et une discrimination systématique du fait de leur identité, mais aussi à cause de la lutte indéfectible qu’elles mènent en faveur des droits, de l’égalité et de la justice.
Le programme Défenseuses des droits humains collabore avec des partenaires internationaux et régionaux ainsi qu’avec les membres de l’AWID pour éveiller les consciences à propos de ces risques et menaces, pour plaider en faveur de mesures féministes et holistiques de protection et de sécurité et enfin pour promouvoir activement une culture du souci de soi et du bien-être collectif au sein de nos mouvements.
Les défenseuses des droits humains sont exposées aux mêmes types de risques que toutes les autres personnes qui défendent les droits humains, les communautés et l’environnement. Mais elles se heurtent également à des violences fondées sur le genre et à des risques spécifiques de nature genrée parce qu’elles remettent en cause les normes de genre en vigueur au sein de leur culture et de leur société.
En défendant les droits, les défenseuses des droits humains sont exposées aux risques suivants :
Nous travaillons en collaboration avec des réseaux internationaux et régionaux ainsi qu’avec nos membres pour :
Nous travaillons à la promotion d’une approche holistique de la protection des défenseuses, qui suppose notamment :
Nous souhaitons contribuer à l’avènement d’un monde plus sûr pour les défenseuses des droits humains, leurs familles et leurs communautés. Nous pensons que le fait que les défenseuses œuvrent en faveur des droits et de la justice ne devrait pas leur faire courir de risques ; leur action devrait être appréciée et célébrée.
Promouvoir la collaboration et la coordination entre organisations de défense des droits humains et des droits des femmes au niveau international, et ce dans le but de d’apporter des réponses plus efficaces dans le domaine de la sureté et du bien-être des défenseuses des droits humains ;
Soutenir les réseaux régionaux de défenseur-es et les organisations, parmi lesquels l’Initiative mésoaméricaine des défenseuses des droits humains et la Coalition des défenseuses des droits humains du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, dans leur travail de promotion et de renforcement de l’action collective en faveur de la protection des défenseuses – en mettant en avant l’importance de la création de réseaux de solidarité et de protection, de la promotion du souci de soi ainsi que du plaidoyer et de la mobilisation en faveur de la sécurité des défenseuses ;
Faire en sorte que les défenseur-e-s des droits humains et les risques qui les menacent soient plus visibles et mieux reconnus, en rassemblant des informations sur les agressions dont elles sont victimes et en produisant et diffusant des documents sur leurs luttes, leurs stratégies et les difficultés qu’elles rencontrent ;
Organiser des réponses urgentes fondées sur la solidarité internationale dès que des défenseuses des droits humains sont en danger, par le biais de nos réseaux internationaux et régionaux mais aussi grâce à nos membres.
كلا. نقدّر عملكم/ن لكننا لا نطلب في هذه المرحلة من الصناديق النسوية والنسائية تعبئة الاستطلاع. نشجعكم/ن على مشاركة الاستطلاع مع شركائكم/ن و شبكاتكم/ن النسوية.
Nuestro nuevo documento de investigación El diablo se esconde en los detalles aborda la falta de conocimientos sobre los fundamentalismos religiosos en el sector del desarrollo, y se propone comprender mejor de qué manera estos fundamentalismos inhiben el desarrollo y, en particular, los derechos de las mujeres. Propone recomendaciones para que quienes trabajan en temas de desarrollo desafíen la labor de los fundamentalismos y eviten fortalecerlos inadvertidamente. [CTA download link: Leer el documento completo]
Graphic1 | 1. Control of women’s bodies, sexuality, and choice are “warning signs” of rising fundamentalisms. |
2. Neoliberal economic policies have a particularly negative impact on women, and fuel the growth of religious fundamentalisms. | Graphic2 |
Graphic3 | 3. Choosing religious organizations as default for partnerships builds their legitimacy and access to resources, and supports their ideology, including gender ideology. |
4.Everyone has multiple identities and should be defined by more than just their religion. Foregrounding religious identities tends to reinforce the power of religious fundamentalists. | Graphic4 |
Graphic5 | 5. Religion, culture, and tradition are constantly changing, being reinterpreted and challenged. What is dominant is always a question of power. |
6. Racism, exclusion, and marginalization all add to the appeal of fundamentalists’ offer of a sense of belonging and a “cause”. | Graphic6 |
Graphic7 | 7. There is strong evidence that the single most important factor in promoting women’s rights and gender equality is an autonomous women’s movement. |
El Diablo se esconde en los detalles proporciona detalles de las graves violaciones a los derechos humanos y, en particular, de las violaciones a los derechos de las mujeres, causados por los fundamentalismos auspiciados por los Estados, así como por actores fundamentalistas no estatales como milicias, organizaciones comunitarias confesionales e individuos. La profundización fundamentalista de normas sociales atávicas y patriarcales está provocando el aumento de la violencia contra las mujeres, las niñas y las defensoras de derechos humanos (WHRDs). El informe propuesta estas ideas clave para abordar el problema:
Quienes trabajan en el desarrollo están de capacidad de asumir una posición más firme. Su capacidad colectiva para reconocer y enfrentar conjuntamente a los fundamentalismos religiosos resulta crucial para promover la justicia social, económica y de género y los derechos humanos de todas las personas en el marco del desarrollo sostenible. Resulta fundamental promover que el poder y los privilegios se entiendan desde la óptica del feminismo interseccional y aplicar esta comprensión a los interrogantes sobre religión y cultura. Las organizaciones de mujeres ya poseen conocimientos y estrategias para oponerse a los fundamentalismos. Quienes trabajan en el desarrollo deberían apoyarse en estos e invertir en coaliciones enfocadas en múltiples temáticas. Lo anterior, les ayudará a alcanzar nuevos horizontes.
We bring you an inspiring curated collection of powerful stories and images of transformation and resistance created by feminist activists, writers and artists from all over the world.
Cynthia Cockburn était une sociologue, écrivaine, universitaire, photographe et militante pour la paix féministe.
Elle a étudié les aspects genrés de la violence et du conflit et fait d’importantes contributions au mouvement pacifiste en explorant les thèmes de la masculinité et de la violence, ainsi que par son activisme local et international.
Ayant introduit une analyse féministe aux questions de militarisation et de guerre, Cynthia figurait parmi les universitaires dont les écrits et analyses illustraient la manière dont la violence basée sur le genre joue un rôle essentiel dans la perpétuation de la guerre. Travaillant en étroite collaboration avec des activistes pacifistes dans des pays en conflit, ses conclusions portaient sur des contextes aussi divers que l’Irlande du Nord, la Bosnie-Herzégovine, Israël et la Palestine, la Corée du Sud, le Japon, l’Espagne et le Royaume-Uni. Sa recherche et ses écrits universitaires ont permis d’éclairer le fait que la violence soit vécue selon un continuum de temps et d’échelle, et perçue très différemment lorsque l’on y applique le prisme du genre.
Elle disait que « [l]e genre nous aide à voir la continuité, la connexion entre les évènements de violence ».
Cynthia a pu mettre ses recherches en pratique grâce à son activisme local et international auprès de mouvements pour la démilitarisation, le désarmement et la paix. Elle a aidé à lancer le camp de femmes pour la paix de Greenham Common, qui prônait le désarmement nucléaire universel en Grande-Bretagne, ainsi que participé à la mise en place de la branche londonienne des Women in Black. Au fil des ans, Cynthia a organisé et participé à des veillées hebdomadaires locales et à la chorale politique Raised Voices, interprétant et écrivant certaines des paroles des chansons. Elle fut également active au sein du groupe Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF), du Forum des socialistes féministes européennes et de Women Against Fundamentalism.
« Cynthia émettait une lumière féministe, tissait les communautés féministes entre elles, entonnait des chants de paix, écoutait, écoutait, écoutait, observait les oiseaux – et suspendait le flot de circulation. Je lui serai toujours reconnaissante et redevable, l’« autre » Cynthia. » – Cynthia Enloe
Cynthia est née en juillet 1934 et s’est éteinte en septembre 2019, à l’âge de 85 ans.
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Binta Sarr was an activist for social, economic, cultural and political justice, and a hydraulic engineer in Senegal. After 13 years in civil service, she left this path to work with rural and marginalized women.
Out of this engagement grew the Association for the Advancement of Senegalese Women (APROFES), a grassroots movement and organization Binta founded in 1987. One of her main approaches was leadership training, relating not only to economic activities but also to women's rights and access to positions of decision-making.
“Grassroots populations must organize, mobilize, assume citizen control and demand democratic governance in all sectors of public space. The priority of social movements must go beyond the fight against poverty and must be focused on articulated and coherent development programs in line with human rights principles, while taking into account their needs and concerns both at the national and sub-regional levels and from a perspective of African and global integration.” - Binta Sarr
Rooted in Binta’s conviction that fundamental change in women’s status requires transformation in male attitudes, APROFES took an interdisciplinary approach, using radio, seminars and popular theatre, as well as providing innovative public education and cultural support for awareness-raising actions. Its popular theatre troupe performed original pieces on the caste system in Senegal, alcoholism, and conjugal violence. Binta and her team also looked at the crucial connection between the community and the broader world.
“For APROFES, it is a question of studying and taking into account the interactions between the micro and the macro, the local and the global and also, the different facets of development. From slavery to colonization, neocolonialism and the commodification of human development, most of the resources of Africa and the Third World (oil, gold, minerals and other natural resources) are still under the control of financial cartels and other multinationals that dominate this globalized world.” - Binta Sarr
Binta was one of the founding members of the female section of the Cultural and Sports Association Magg Daan. She received commendations from the Regional Governor and the Minister of Hydrology for her "devotion to rural people."
Born in 1954 in Guiguineo, a small rural town, Binta passed away in September 2019.
“The loss is immeasurable, the pain is heavy and deep but we will resist so as not to mourn Binta; we will not mourn Binta, we will keep the image of her broad smile in all circumstances, to resist and be inspired by her, maintain, consolidate and develop her work…” - Aprofes Facebook page, September 24, 2019
"Farewell Binta! We believe your immense heritage will be preserved." - Elimane FALL, president of ACS Magg-Daan
Tendo em conta que o inquérito WITM foca-se nas realidades do financiamento de organizações feministas, a maioria das perguntas aborda o tópico do financiamento do seu grupo entre 2021-2023. Será preciso ter essas informações facilmente acessíveis para preencher o inquérito (por exemplo, os seus orçamentos anuais e as principais fontes de financiamento).
La cadre des Réalités Féministes du Forum repose sur six points d’ancrages thématiques. Chaque point d’ancrage met les réalités, les expériences et les visions féministes au coeur du continuum entre résistance et proposition, lutte et alternative. Nous cherchons à explorer ensemble ce qui constitue nos réalités féministes et ce qui leur permet de se répandre dans les différentes sphères de nos vies.
Ces réalités se manifestent sous forme de modes de vie pleinement articulés, de rêves et d'idées en devenir, ou encore d'expériences et de moments précieux.
Plus que des thèmes isolés, les points d’ancrage sont des conteneurs interconnectés à l’effet des activités du Forum. Nous prévoyons de nombreuses activités à l’intersection de ces thèmes, des différentes luttes, communautés et mouvements. Encore provisoires, les descriptions continuent d’évoluer au fur et à mesure que le parcours des Réalités Féministes se poursuit.
Ce point d’ancrage met l’accent sur la façon dont nous répondons à nos besoins fondamentaux et assurons les ressources qui nous sont nécessaires pour prospérer, en tant qu’individus, communautés et mouvements, d’une manière qui prenne soin des personnes et de la nature en priorité. Nous entendons par “ ressources ” l’alimentation, l’eau et l’air pur, ainsi que l’argent, le travail, l’information, la connaissance, le temps et autres.
S’appuyant sur la résistance féministe face au système économique d’exploitation et d’extractivisme, ce point d’ancrage met en lumière les propositions, expériences et pratiques féministes puissantes et inspirantes concernant l’organisation de notre vie économique et sociale. L’alimentation et la souveraineté alimentaire ainsi que les visions féministes du travail et des systèmes commerciaux justes et durables ne constituent que quelques-unes des questions qui feront l’objet de notre exploration. Nous ferons courageusement face aux contradictions qui émergent de la nécessité de survivre dans des systèmes économiques répressifs.
Ce point d’ancrage intègre le financement et le ressourcement pour les organisations et les mouvements dans une vaste analyse féministe de la justice économique et de la création de richesses. Il examine comment déplacer les ressources là où elles sont nécessaires, de la justice fiscale et du revenu de base à différents modèles de philanthropie et au ressourcement créatif et autonome des mouvements.
Nous cherchons à créer de nouvelles visions et à amplifier les réalités et les expériences existantes en termes de gouvernance féministe, de justice et de responsabilisation. Face à la crise mondiale et à la montée du fascisme et du fondamentalisme, ce point d’ancrage se concentre sur les modèles, les pratiques et les idées féministes, radicales et émancipatrices d’organisation de la société et de la vie politique, à l’échelle locale et mondiale.
Ce point d’ancrage explorera les aspects de la gouvernance, depuis les expériences féministes du municipalisme jusqu'à nos visions du multilatéralisme, en passant par la construction d'institutions situées à l’extérieur des États-nations. Nous échangerons nos expériences concernant les processus judiciaires et de responsabilisation au sein de nos communautés, nos organisations et nos mouvements, notamment les modèles de justice réparatrice, communautaire et transformatrice qui rejettent la violence étatique et le complexe carcéro-industriel.
En nous concentrant sur les expériences de voyages, de migrations et de refuges ainsi que sur l’organisation féministe, nous voulons un monde sans régimes frontaliers mortels; un monde où la circulation y est libre et les voyages passionnants.
Le rôle de la technologie dans nos vies ne cesse de croître et la frontière entre les réalités en ligne et hors ligne continue de s’estomper. Les féministes se servent largement des technologies et des espaces en ligne pour construire la communauté, apprendre les un-e-s des autres et mobiliser l’action. Grâce aux espaces en ligne, nous pouvons repousser les limites de notre monde physique. En revanche,, les communications digitales appartiennent majoritairement à des sociétés n’assumant qu’une part de responsabilité mineure vis-à-vis des utilisateurs-trices : l’exploration de données, la surveillance et les atteintes à la sécurité sont devenues la norme, de même que la violence et le harcèlement en ligne.
Ce point d’ancrage explore les opportunités et les enjeux féministes qui existent au sein des réalités digitales. Nous nous pencherons sur les alternatives qui se présentent face aux plateformes privées qui dominent l’horizon digital, ainsi que sur les stratégies de bien-être pour la navigation d’espaces en ligne et les utilisations de la technologie comme moyen de surmonter les problèmes d’accessibilité. Nous examinerons ce que la technologie peut apporter en termes de plaisir, de confiance et de relations.
Les réalités féministes règnent également en nous-mêmes: il s’agit de l’expérience incarnée. Le contrôle dont font l’objet notre travail, notre reproduction et notre sexualité est toujours au coeur des structures patriarcales, cis-hétéro-normatives et capitalistes. Face à cette répression, des personnes de genre, de sexualité et d’habiletés différentes organisent des rencontres, créent des espaces et conçoivent des sous-cultures destinées à la joie, à la sollicitude, au plaisir et à une profonde appréciation mutuelle et de soi-même.
Ce point d’ancrage explorera les idées, les récits, les inventions et les expressions culturelles du consentement, du pouvoir et du désir des femmes, des personnes transgenres, non-binaires, transexuelles et intersexuées dans différentes sociétés et cultures.
Nous échangerons des stratégies visant à obtenir les droits en termes de santé reproductive et la justice, et exposerons des pratiques sociales facilitatrices et respectueuses de l’autonomie, l’intégrité et la liberté corporelles. Ce point d’ancrage relie différentes luttes et différents mouvements afin de partager nos perceptions et nos expériences de ce que sont le bien-être et le plaisir.
Imaginez une planète féministe. Quel est le son de l’eau, l’odeur de l’air, le contact de la terre? Quelles sont les relations entre la planète et les êtres vivants, y compris les êtres humains? Les réalités féministes sont celles d’une justice environnementale et climatique. Les luttes féministes, autochtones, décoloniales et écologiques puisent souvent leurs racines dans des visions transformatives ainsi que dans la relation entre la nature et les êtres.
Ce point d’ancrage se concentre sur le bien-être de notre planète et s’interroge sur les façons dont les êtres humains ont interagi avec elle et l’ont transformée. Nous voulons explorer les aspects des savoirs traditionnels et de la biodiversité dans le cadre de la préservation d’une planète féministe, et acquérir des connaissances sur les pratiques féministes dans le domaine de la décroissance, la pratique des communs, les modèles d’économies parallèles, l’agro-écologie et les initiatives en termes de souveraineté alimentaire et énergétique.
Bien que nous considérions tous ces points d’ancrage comme étant reliés, celui-ci est véritablement transversal; nous vous invitons donc à ajouter une dimension organisationnelle à tous les points d’ancrage auxquels les activités que vous proposez sont liées.
Comment se déroule l’organisation féministe dans le monde aujourd’hui? Cette question porte notre attention sur les acteurs, la dynamique du pouvoir, les ressources, le leadership, les économies dans lesquelles nous sommes intégré-e-s, notre compréhension de la justice et de la responsabilisation, l'ère numérique et les expériences que nous faisons de l'autonomie, du bien-être et des soins collectifs. Nous espérons, à travers tous ces points d’ancrage, créer un espace de réflexion sincère autour de la répartition du pouvoir et des ressources et de la négociation au sein de nos propres mouvements.
Le Forum se veut bien plus qu’un événement de quatre jours. C’est un arrêt de plus dans un parcours de renforcement de mouvement autour des réalités féministes, lequel a déjà commencé et continuera bien au-delà des dates du Forum.
Syndicat OTRAS
nous estimons que pour être transformateurs et forts, les mouvements féministes doivent continuer à travailler au-delà de leurs similitudes et de leurs différences. Nous devons également interroger le pouvoir et les privilèges, tant au sein qu'à l'extérieur de nos mouvements.