
Francisca das Chagas Silva

Le Conseil des droits de l'homme (CDH) est un organe intergouvernemental clé du système des Nations Unies, responsable de la promotion et la protection des droits humains autour du globe. Il se réunit trois fois par an en session ordinaire, en Mars, Juin et Septembre. Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) constitue le secrétariat pour le CDH.
Débat et adopte des résolutions sur les questions globales des droits humains ainsi que sur la situation des droits humains dans des pays particuliers
Examine les plaintes des victimes de violations des droits humains et des organisations activistes, au nom des victimes de violations des droits humains
Nomme des experts indépendants (que l'on connaît sous le nom de « Procédures Spéciales ») pour réviser les cas de violation des droits humains dans des pays spécifiques, ainsi que pour examiner et suivre des questions globales relatives aux droits humains
Prend part à des discussions avec les experts et les gouvernements sur les questions de droits humains
Évalue les bilans des États membres de l'ONU en matière de droits humains tous les quatre ans et demi, dans le cadre de l'examen périodique universel.
La prochaine session du CDH a lieu à Genève, en Suisse, du 30 juin au 17 juillet 2020.
AWID travaille avec des partenaires féministes, progressistes et du domaine des droits humains pour partager nos connaissances clé, convoquer dialogues et évènements avec la société civile, et influencer les négociations et les résultats de la session.
“Now might be a good time to rethink what a revolution can look like. Perhaps it doesn’t look like a march of angry, abled bodies in the streets. Perhaps it looks something more like the world standing still because all the bodies in it are exhausted—because care has to be prioritized before it’s too late.”
- Johanna Hedva (https://getwellsoon.labr.io/)
Hospitals are institutions, living sites of capitalism, and what gets played out when somebody is supposed to be resting is a microcosm of the larger system itself.
Institutions are set out to separate us from our care systems – we find ourselves isolated in structures that are rigidly hierarchical, and it often feels as if care is something done to us rather than given/taken as part of a conversation. Institutional care, because of its integration into capitalist demand, is silo-ed: one person is treating your leg and only your leg, another is treating your blood pressure, etc.
Photographer Mariam Mekiwi had to have surgery last month and documented the process. Her portraits of sanitized environments – neon white lights, rows after rows of repetitive structures – in a washed-out color palette reflect a place that was drained of life and movement. This was one of the ways Mariam kept her own spirit alive. It was a form of protest from within the confines of an institution she had to engage with.
The photos form a portrait of something incredibly vulnerable, because watching someone live through their own body’s breakdown is always a sacred reminder of our own fragility. It is also a reminder of the fragility of these care systems, which can be denied to us for a variety of reasons – from not having money to not being in a body that’s considered valuable enough, one that’s maybe too feminine, too queer or too brown.
Care experienced as disembodied and solitary, that is subject to revocation at any moment, doesn’t help us thrive. And it is very different from how human beings actually behave when they take care of each other. How different would our world look like if we committed to dismantling the current capitalist structures around our health? What would it look like if we radically reimagined it?
Nuestro Informe Anual 2013 presenta lo más destacado del trabajo que realizamos el año pasado como aporte para avanzar los derechos de las mujeres y la igualdad de género en el mundo.
El año 2013 marcó el inicio de nuestro Plan Estratégico para el período 2013-2016 que fue elaborado en respuesta al contexto mundial actual.
A continuación les acercamos los puntos destacados de nuestro análisis del contexto mundial, la posición que asumimos como organización mundial feminista y de membresía ante este contexto, los resultados que nos proponemos y cómo organizamos nuestro trabajo para alcanzarlos.
“If we can inherit trauma, can we inherit an imprint related to love?”
Nous avons contribué à d'importantes victoires, telles que l'élargissement du paysage du financement des droits des femmes grâce à des travaux de recherche et de plaidoyer novateurs de grande envergure. En même temps, nous avons connu des revers dévastateurs, notamment les assassinats de femmes défenseures des droits humains telles que Berta Caceres au Honduras, Gauri Lankesh en Inde et Marielle Franco au Brésil, ainsi que la montée de la mobilisation anti-droits dans les espaces voués aux droits humains.
Il y a cinq ans, nous nous sommes engagées à renforcer notre mouvement en produisant des savoirs sur les tendances des mouvements anti-droits, ainsi que sur des questions avec lesquelles les féministes s'engagent plus rarement, tels les flux financiers illicites. Nous avons mené des plaidoyers côte à côte avec nos partenaires du mouvement, renforçant ainsi l'activisme intergénérationnel et celui des jeunes féministes et élargissant la protection globale des défenseuses des droits humains. Arrivées au terme de notre plan stratégique, nous sommes fières de nos réalisations et de notre évolution en tant qu’organisation. Nous terminons l'année 2017 avec un engagement, des idées et un apprentissage renouvelés pour poursuivre la lutte à venir !
مع استمرار الرأسمالية الأبوية الغيريّة في دَفعِنا نحو الاستهلاكية والرضوخ، نجد نضالاتنا تُعزَل وتُفصَل عن بعضها الآخر من خلال الحدود المادّية والحدود الافتراضية على حدٍّ سواء.
Faits saillants de la manière dont l'AWID a contribué à la co-création et à la résistance féministes: sauvetage féministe, contrer les anti-droits, ressources, série de conversations organisées et magazine des Réalités Féministes
Isabel est une féministe du Royaume-Uni avec plus d'une décennie d'expérience de réponses féministes aux fascismes, aux fondamentalismes et aux tendances antidroits. À l'AWID, son travail se concentre sur le renforcement des connaissances. Elle a notamment dirigé la production de la série Droits en danger en collaboration avec l'Observatoire sur l'universalité des droits (OUR). Elle est titulaire d’un master en études sur le genre de l’École d’études orientales et africaines (SOAS) et a précédemment travaillé avec Women Living Under Muslim Laws (WLUML). Elle est passionnée par le travail intermouvements, la construction de connaissances centrées sur les mouvements et l’utilisation de l’expression créative pour perturber les systèmes d’oppression. En dehors du travail, Isabel est active dans divers espaces de justice liée au handicap, aux soins collectifs, à l’apprentissage et au plaidoyer.
Dans le cadre de notre engagement à nouer des liens plus profonds avec des artistes via nos pratiques de co-création de Réalités Féministes, AWID a collaboré avec un Groupe de Travail Artistique visant à faire progresser et à renforcer les programmes et réalités féministes, dans les communautés et mouvements via l’expression créative. Notre intention ici est de rassembler des féministes créatifs·ves dans un espace puissant et audacieux pour grandir et vivre librement, et briser les récits toxiques en les remplaçant par des alternatives transformatrices.
Cette exposition rassemblera le travail d’artistes et de collectifs du monde entier, de celle.ux qui créent activement la différence que nous voulons voir dans ce monde. Ces féministes créatifs·ves comprennent Upasana Agarwal, Nicole Barakat, Siphumeze Khundayi, Katia Herrera, Ali Chavez Leeds, Colectivo Morivivi, Ika Vantian, ainsi que les organisateurs·rices de l’exposition #MeToo en Chine. Leurs voix résonnent avec force dans leur refus d'accepter les limites imposées par le patriarcat, et amplifient leurs engagements envers les communautés dans lesquelles, et avec lesquelles, i.elles travaillent. Chaque œuvre représente, à sa façon, des actes de résistance quotidienne, des histoires et des identités inédites, des liens avec la terre et nos ancêtres et, plus important encore, la solidarité qui existe au sein et entre les mouvements et luttes féministes. Ces artistes inspirent et sont inspiré·e·s par des stratégies créatives de résistance et d'initiatives féministes qui nous montrent comment nous pouvons vivre ensemble dans un monde plus juste - un monde qui place au centre le soin et la guérison.