Conseil des Droits de l'Homme (CDH)
Le Conseil des droits de l'homme (CDH) est un organe intergouvernemental clé du système des Nations Unies, responsable de la promotion et la protection des droits humains autour du globe. Il se réunit trois fois par an en session ordinaire, en Mars, Juin et Septembre. Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) constitue le secrétariat pour le CDH.
Le CDH :
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Débat et adopte des résolutions sur les questions globales des droits humains ainsi que sur la situation des droits humains dans des pays particuliers
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Examine les plaintes des victimes de violations des droits humains et des organisations activistes, au nom des victimes de violations des droits humains
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Nomme des experts indépendants (que l'on connaît sous le nom de « Procédures Spéciales ») pour réviser les cas de violation des droits humains dans des pays spécifiques, ainsi que pour examiner et suivre des questions globales relatives aux droits humains
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Prend part à des discussions avec les experts et les gouvernements sur les questions de droits humains
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Évalue les bilans des États membres de l'ONU en matière de droits humains tous les quatre ans et demi, dans le cadre de l'examen périodique universel.
Session actuelle: CDH 44
La prochaine session du CDH a lieu à Genève, en Suisse, du 30 juin au 17 juillet 2020.
AWID travaille avec des partenaires féministes, progressistes et du domaine des droits humains pour partager nos connaissances clé, convoquer dialogues et évènements avec la société civile, et influencer les négociations et les résultats de la session.
Avec nos partenaires, notre travail consiste à :
◾️ Suivre, surveiller et analyser les acteurs, discours et stratégies anti-droits et leur impact sur les résolutions du CDH.
◾️ Co-développer un plaidoyer collectif pour contrer les acteurs anti-droits et discuter plus en détails les résultats du Rapport de tendances 2017 du OURs
◾️ Soutenir, coordoner et développer de manière collaborative le Caucus féministe qui émerge au CDH.
Contenu lié
Les savoirs communautaires pour bâtir des futurs justes
Le contexte
Aujourd'hui, de nombreux systèmes de savoirs communautaires sont en danger.
Les changements qui surviennent à une vitesse effrénée sur le plan économique, politique et culturel détruisent les environnements, les pratiques et les moyens de subsistance. Diverses formes de connaissances sombrent dans l’oubli, sont marchandées et colonisées dans le cadre de la mondialisation massive, de la promesse de gains à court terme, ou encore contre des solutions de fortune.
Définition
Le Buen Vivir (le bien-vivre), un concept adapté à partir des connaissances des peuples autochtones andins, est décrit comme la réalisation collective d'une vie d'accomplissement fondée sur des relations harmonieuses et équilibrées entre les êtres humains et tous les êtres vivants, dans la réciprocité et la complémentarité. Cela implique de reconnaître que les êtres humains sont une partie intégrante de la nature, que nous dépendons de la nature et que nous sommes interdépendant-e-s entre nous.
La vision inhérente à la notion de Buen Vivir intègre la production et la reproduction comme processus indissociables de l'économie, de la production de richesse et des conditions de vie.
Perspective féministe
D’une perspective féministe, le Buen Vivir valorise les relations et les ressources mobilisées dans les cycles de production et de reproduction, favorisant l’équilibre (non seulement celui des marchés) afin de garantir la continuité et les changements, tant qu'ils sont compatibles avec la justice économique et la pérennité de la vie.
Certaines conceptions binaires liées au genre et à la complémentarité entre les hommes et les femmes ont été critiquées par les féministes puisqu’elles laissent peu de place à une discussion plus approfondie sur le patriarcat hétérocentrique et les relations de genre ‘non conformes’.
Cela dit, l'une des principales contributions de l’application du principe Buen Vivir aux cadres politiques, économiques et sociaux, consiste à ce que l'égalité ne représente plus le paradigme des droits individuels, ayant plutôt pour objet la transformation de l’ensemble de la société.

Pour en savoir plus sur cette proposition :
- Buen Vivir: An introduction from a women’s rights perspective in Bolivia (Une perspective des droits des femmes sur le Buen Vivir en Bolivie : Une introduction, disponible en anglais). Dans son article, Martha Lanza conteste l'idée que le Buen Vivir est neutre en matière de genre et réclame le démantèlement des structures de pouvoir patriarcales qui persistent. Dans la même publication, Magdalena León analyse d’une perspective de genre la façon dont la cosmovision du Buen Vivir cherche à vaincre les idéaux d'expansion et de croissance permanentes, en plus de mettre en lumière les préjugés sexistes qui doivent être pris en compte.
- Buen Vivir: Today’s Tomorrows (Les lendemains d’aujourd’hui) par Eduardo Gudynas (en anglais).
- Indigenous Women's Visions of an Inclusive Feminism (Visions de femmes autochtones pour un féminisme inclusif), par Myrna Cunningham (en anglais). Un document qui met en évidence les contributions essentielles des femmes autochtones à la construction d'un mouvement féministe plus diversifié, inclusif et fort.
Snippet FEA Georgia this is only the beginning (ES)
Georgia
Sindicato Red de Solidaridad
Este es sólo
EL COMIENZO
¿Debería prepararme de alguna forma para responder la encuesta?
Dado que la encuesta ¿Dónde está el dinero? se centra en las realidades de la dotación de recursos para las organizaciones feministas, la mayoría de las preguntas indagan acerca del financiamiento de tu agrupación entre 2021 y 2023. Para responder la encuesta, necesitarás tener a mano cierta información como, por ejemplo, presupuestos anuales y las fuentes clave de financiamiento.
Obiageli “Oby” Nwankwo
Avec une carrière juridique de plus de 30 ans à son actif, Oby était connue en Afrique et dans le monde comme une ardente défenseure de la justice de genre et des droits humains.
Elle a fondé le Centre de documentation et de développement des ressources civiles (CIRDDOC), une ONG nigériane qui sponsorise des formations et des activités de mise en réseau qui promeuvent les droits humains, la bonne gouvernance, l’accès à la justice et l’État de droit pour les membres de la société civile, les parlementaires, ainsi que d’autres parties prenantes concernées.
Au Nigeria, les activistes se souviennent d’Oby avec émotion, la qualifiant « d’activiste extraordinaire qui a fait preuve d’énergie et de passion pour lutter pour l’égalité de genre et la justice de genre au Nigéria et en Afrique »
Club de Cine Feminista
Como parte del Viaje por las Realidades Feministas de AWID, te invitamos a explorar nuestro nuevo Club de Cine Feminista: una colección de cortometrajes y largometrajes seleccionados por nuestrxs curadorxs y narradorxs feministas de todo el mundo, que incluyen a Jess X. Snow (Asia-Pacífico), Gabrielle Tesfaye (África/Diáspora Africana) y Esra Ozban (Sudoeste Asiático y África del Norte). Alejandra Laprea es la curadora del programa de América Latina y Centroamérica, que inauguraremos en septiembre, durante el evento de AWID Crear, Résister, Transform: un festival para movimientos feministas. Mientras tanto, ¡mantente atentx a los anuncios sobre proyecciones especiales y conversaciones con cineastas!
Protection of the Family - Opposition Views
New conservative alliance:
Conservative organizing and policy
State supporters
Esperanza Brito
Snippet FEA Workers demonstrations in Georgia 1 (FR)

Laura Lee
Laura was a leading activist and lawyer who campaigned fearlessly for the decriminalisation of sex work in Ireland.
She is remembered as “a freedom fighter for sex workers, a feminist, a mother to a daughter and a needed friend to many.”
Laura advocated for individuals in the sex industry to be recognised as workers deserving of rights. She advanced demands for decriminalisation, including initiating a judicial review at Belfast’s high court in respect of the provisions criminalising the purchase of sex. Laura stated that her intention was to bring the case to the European Court of Human Rights.
Key opposition actors
We are witnessing an unprecedented level of engagement of anti-rights actors in international human rights spaces. To bolster their impact and amplify their voices, anti-rights actors increasingly engage in tactical alliance building across sectors, regional and national borders, and faiths.
This “unholy alliance” of traditionalist actors from Catholic, Evangelical, Mormon, Russian Orthodox and Muslim faith backgrounds have found common cause in a number of shared talking points and advocacy efforts attempting to push back against feminist and sexual rights gains at the international level.
Holy See
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Key activities: As the government of the Roman Catholic Church, the “Holy See” uses its unique status as Permanent Observer state at the UN to lobby for conservative, patriarchal, and heteronormative notions of womanhood, gender identities and “the family”, and to propagate policies that are anti-abortion and -contraception
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Based in: Vatican City, Rome, Italy.
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Religious affiliations: Catholic
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Connections to other anti-rights actors: US Christian Right groups; interfaith orthodox alliances; Catholic CSOs
Organization of Islamic Cooperation (OIC)
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Key activities: Self-described as the “collective voice of the Muslim world”, the OIC acts as a bloc of states in UN spaces. The OIC attempts to create loopholes in human rights protection through references to religion, culture, or national sovereignty; propagates the concept of the “traditional family”; and contributes to a parallel but restrictive human rights regime (e.g. the 1990 Cairo Declaration on Human Rights in Islam).
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Based in: Jeddah, Saudi Arabia
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Religious affiliations: Muslim
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Connections to other anti-rights actors: Ultra conservative State missions to the UN, such as Russia
World Congress of Families
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Key activities: International and regional conferences; research and knowledge-production and dissemination; lobbying at the United Nations “to defend life, faith and family”
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Based in: Rockford, Illinois, U.S.
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Religious affiliation: Predominantly Catholic and Christian Evangelical
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Connections to other anti-rights actors: Sutherland Institute, a conservative think-tank; the Church of Latter-Day Saints; the Russian Orthodox Church’s Department of Family and Life; the anti-abortion Catholic Priests for Life; the Foundation for African Culture and Heritage; the Polish Federation of Pro-Life Movements; the European Federation of Catholic Family Associations; the UN NGO Committee on the Family; and the Political Network for Values; the Georgian Demographic Society; parliamentarians from Poland and Moldova, etc; FamilyPolicy; the Russian Institute for Strategic Studies; and HatzeOir; C-Fam; among others
Center for Family and Human Rights (C-Fam)
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Key activities: Lobbying at the United Nations, particularly the Commission of the Status of Women to “defend life and family”; media and information-dissemination (Friday Fax newsletter); movement building; trainings for conservative activists
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Based in: New York and Washington D.C., U.S.
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Religious affiliations: Catholic
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Connections to other anti-rights actors: International Youth Coalition; World Youth Alliance; Human Life International; the Holy See; coordinates the Civil Society for the Family; the Family Research Council (U.S.) and other Christian/Catholic anti-rights CSOs; United States CSW delegation
Family Watch International
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Key activities: Lobbying in international human rights spaces for “the family” and anti-LGBTQ and anti-CSE policies; training of civil society and state delegates (for example, ‘The Resource Guide to UN Consensus Language on Family Issues’); information dissemination; knowledge production and analysis; online campaigns
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Based in: Gilbert, Arizona, U.S.
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Religious affiliations: Mormon
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Connections to other anti-rights actors: leader of the UN Family Rights Caucus; C-Fam; Jews Offering New Alternatives to Homosexuality (JONAH); the National Association for Research and Therapy of Homosexuality (NARTH); World Congress of Families; CitizenGo; Magdalen Institute; Asociación La Familia Importa; Group of Friends of the Family (25 state bloc)
World Youth Alliance
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Key activities: Advocacy in international policy spaces including the United Nations, the European Union, and the Organization of American States for “the family”, against sexual and reproductive rights; training youth members in the use of diplomacy and negotiation, international relations, grassroots activities and message development; internship program to encourage youth participation in its work; regular Emerging Leaders Conference; knowledge production and dissemination
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Based in: New York City (U.S.) with regional chapter offices in Nairobi (Kenya), Quezon City (The Philippines), Brussels (Belgium), Mexico City (Mexico), and Beirut (Lebanon)
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Religious affiliations: primarily Catholic but aims for interfaith membership
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Connections to other anti-rights actors: C-Fam; Human Life International; the Holy See; Campaign Life coalition
Russian Orthodox Church
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Key Activities: The Russian Orthodox Church (ROC), capitalizing on its close links to the Russian state, has operated as a “norm entrepreneur” in human rights debates. Russia and the ROC have co-opted rights language to push for a focus on “morality” and “traditional values” as supposed key sources of human rights. Russia led a series of “traditional values” resolutions at the Human Rights Council and has been at the forefront of putting forward hostile amendments to progressive resolutions in areas including maternal mortality, protection of civil society space, and the right to peaceful protest.
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Connections to other anti-rights actors: Organization of Islamic Cooperation; Eastern European and Caucasus Orthodox churches, e.g. Georgian Orthodox Church; U.S. Christian Right including U.S. Evangelicals; World Congress of Families; Group of Friends of the Family (state bloc)
Other Chapters
Florentina Gomez Miranda
Snippet FEA collaborator and allies Photo 5 (EN)

How many survey responses are you looking to collect?
Our aim is to reach a total of 2,000 responses, almost double the number from the last WITM survey in 2011.
Deborah Holmes
Al momento de su muerte, luego de una corta pero denodada batalla contra el cáncer, Deborah era la Jefa de Comunicaciones y Participación en la Women’s Funding Network (WFN, Red de financiamiento para mujeres).
Deborah también trabajó para el Fondo Global de Mujeres entre 2008 y 2017. Era sumamente querida y respetada por el consejo asesor, el personal y lxs colaboradorxs de la organización.
Kavita Ramdas, anterior directora ejecutiva del Fondo, acertadamente señaló que Deborah era un «pequeño paquete que explotaba de calidez, generosidad, inteligencia, estilo y un apasionado compromiso por unir la belleza con la justicia. Ella entendía el poder de las historias. El poder de la voz de las mujeres. El poder de la experiencia vivida. El poder de levantarse de las cenizas y decirle a otrxs que era posible. Y todavía nos levantamos».
Musimbi Kanyoro, actual directora ejecutiva del Fondo Global de Mujeres, añadió: «Hemos perdido a una hermana y su vida ilumina valores que nos unen y nos inspiran. Al reunirnos para llorar el fallecimiento de Deborah, recordemos y celebremos su notable, audaz y apasionada vida».
Defendiendo nuestra tierra del poder corporativo

Estas industrias 'extraen' materias primas de la tierra: minería, gas, petróleo y madera son algunos ejemplos.
Este modelo económico explota desenfrenadamente la naturaleza e intensifica las desigualdades norte, donde sus grandes corporaciones se benefician y sur, de donde extraen los recursos.
Contaminación del agua, daño irreparable al medioambiente, comunidades forzadas a desplazarse son algunas de las consecuencias inmediatas.
Lee nuestro reporte de INDUSTRIAS EXTRACTIVAS
Hay alternativas sostenibles para el medioambiente y los derechos humanos de la mujer.
Descubre además cómo nos afecta económicamente
