
Maria Elizabeth Macias Castro

Les jeunes activistes féministes jouent un rôle crucial au sein des organisations et des mouvements pour les droits des femmes à travers le monde. Ce sont elles qui soulèvent les nouveaux problèmes auxquels les féministes sont confrontées aujourd'hui. Leur force, leur créativité et leur adaptabilité sont vitales pour assurer la viabilité des organisations féministes.
Pourtant, elles sont confrontées à toute une série d’obstacles particuliers, notamment l'accès limité au financement et au soutien, le manque de possibilités de renforcement des capacités et une augmentation considérable des agressions sur les jeunes défenseuses des droits humains. Ces obstacles entraînent un manque de visibilité qui rend leur intégration et leur participation effective au sein des mouvements pour les droits des femmes encore plus difficiles.
Le Programme d’activisme des jeunes féministes de l'AWID a été mis en place pour veiller à ce que les voix des jeunes femmes soient entendues et représentées dans le discours féministe. Nous voulons faire en sorte que les jeunes féministes aient un meilleur accès à du financement, à des opportunités de renforcer leurs capacités et aux processus internationaux.
En plus de soutenir directement les jeunes féministes, nous travaillons également avec des activistes des droits des femmes de tout âge pour élaborer des modèles et des stratégies d’organisation multigénérationnelles plus efficaces.
Nous souhaitons que les jeunes féministes puissent jouer un rôle actif dans les prises de décisions qui concernent leurs droits. Nos actions incluent :
Favoriser la mise en commun et le partage d'informations par la Plateforme de jeunes féministes. Étant donné l'importance des médias en ligne pour le travail des jeunes féministes, notre équipe a lancé la Plateforme de jeunes féministes en mai 2010. Elle a pour objectifs d’échanger des renseignements, de renforcer les capacités des membres par le truchement de webinaires et de discussions en ligne, et d'encourager la consolidation d’une communauté de jeunes féministes.
Soutenir la recherche et le renforcement des connaissances sur l'activisme des jeunes féministes, pour accroître la visibilité et l'influence de leur activisme au sein et entre les mouvements pour les droits des femmes et auprès d'autres acteurs-trices clés, tels les donateurs.
Faire la promotion de la collaboration multigénérationnelle, en explorant de meilleures façons de travailler ensemble.
Inciter les jeunes féministes à s’engager dans les processus internationaux relatifs au programme de développement, notamment ceux des Nations Unies.
S’assurer leur collaboration dans tous les domaines prioritaires de l'AWID, y compris le Forum, pour faire en sorte que leurs contributions, leurs perspectives, leurs besoins et leur activisme se traduisent dans les débats, les politiques et les programmes qui les concernent.
"My dreams and objectives have always been the same as those of Lohana Berkins: for the cooperative to continue standing and not to close. To continue to give this place to our travesti comrades, to give them work and a place of support"
Brisa Escobar,
president of the Cooperative
我們屆時會於網站上公告徵選結果。
Juli Dugdale was an Australian feminist who practiced intergenerational leadership rooted in principles of feminism, inclusion and equality. She was a leader, peer and mentor for many women and especially young women around the world.
Juli was a dedicated staff member, volunteer and fervent advocate for young women’s leadership with the Young Women's Christian Association (YWCA) movement for over 30 years.
She offered a strong link between the Australian movement and the World YWCA Office. Her trust in the leadership capacity of young women led to a multi-year partnership with the Australian Department of Foreign Affairs and Trade and the creation of the Rise Up manual, a global guide for young women’s transformative leadership, launched in 2018.
Juli passed away in Geneva on 12 August 2019.
“For those who got to work with Juli, it was a privilege. For those who didn’t, be assured that her legacy continues in the work we do every day and in the mission of the YWCA movement.” - YWCA Australia
“Juli Dugdale will forever hold a deep place in many people's hearts in the YWCA movement, especially here in Aotearoa and across the Pacific. Juli had a special relationship with the Pacific and was an incredible supporter of the young women there. She was humble, gracious, loving, caring, dedicated, passionate and had a generous heart. She embodied the YWCA's vision of 'transformative leadership' with extraordinary vision and foresight, and helped empower generations of young women leaders around the world.” - YWCA New Zealand
Ces femmes transgenres ont été assassinées en raison de leur activisme et de leur identité de genre. Les lois reconnaissant les droits des personnes trans* sont insuffisantes et, lorsqu’elles existent, les mesures prises pour protéger les droits de ces personnes sont quasi inexistantes. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour honorer la mémoire de ces défenseuses, leur activisme et l’héritage qu’elles nous ont laissé. Faites circuler ces mèmes auprès de vos collègues et amis ainsi que dans vos réseaux et twittez en utilisant les hashtags #WHRDTribute et #16Jours.
S'il vous plaît cliquez sur chaque image ci-dessous pour voir une version plus grande et pour télécharger comme un fichier
您若持有下列國家的護照,可免簽入境台灣到台北參與論壇活動(請留意持免簽可停留的天數各國不同):
安道爾、澳大利亞、奧地利、比利時、保加利亞、汶萊、加拿大、智利、克羅埃西亞、賽普勒斯、捷克、丹麥、愛沙尼亞、 史瓦濟蘭、芬蘭、法國、德國、希臘、瓜地馬拉、海地、宏都拉斯、匈牙利、冰島、愛爾蘭、以色列、義大利、日本*、韓國、拉脫維亞、列支頓斯登、立陶宛、盧森堡、馬爾他、馬歇爾群島、摩納哥、荷蘭、紐西蘭、尼加拉瓜、挪威、帛琉、巴拉圭、菲律賓、波蘭、葡萄牙、羅馬尼亞、俄國、聖馬利諾、斯洛伐克、斯洛維尼亞、西班牙、瑞典、瑞士、吐瓦魯、英國、美國、梵蒂岡城國、貝里斯、多明尼加、馬來西亞、諾魯、聖克里斯多福及尼維斯、聖塔露西亞、聖文森和格瑞納丁、新加坡。
未持有上述國家護照的人士來台北須申請簽證。
請留意:
在您完成論壇註冊手續後,無論您國籍為何,應會收到與論壇參與相關的一組號碼,用於申請來台灣的電子簽證。
論譠開放報名的時間我們會另行通知。
«No adhiero al concepto de “Tercer Mundo”. Hago películas para que las personas (no importa de qué raza o color sean) puedan entenderlas. Para mí, solamente existen explotadores y explotadxs, eso es todo. Hacer una película significa tomar una posición.» - Sarah Maldoror
La innovadora Sambizanga (1972), su «película revolucionaria», sigue la lucha de liberación anticolonial de lxs militantes de Angola y capta la perspectiva de una mujer en el momento histórico en que se encuentra.
«Para muchxs cineastas africanxs, el cine es una herramienta revolucionaria, una educación política para crear consciencia. Se inscribe en la evolución de un Tercer Cine, que se orienta a descolonizar el pensamiento y promover cambios radicales en la sociedad.» - Sarah Maldoror
A lo largo de su carrera, Sarah (junto con otrxs artistas africanxs y caribeñxs) cofundó, en 1956, la primera troupe de teatro negra de Francia. Realizó alrededor de cuarenta películas, incluidos importantes documentales que difundieron la vida y la obra de artistas negrxs, entre lxs cuales se encuentra su amigo y poeta, Aimé Césaire, quien le escribió:
«A Sarah Maldo
que, cámara en mano,
lucha contra la opresión, la alienación
y se planta de cara
frente a la estupidez humana.»
Sarah estaba también dedicada a lograr que las mujeres africanas se apropiaran más del proceso de filmación. En una entrevista, señaló:
«Las mujeres africanas deben estar en todos lados. Deben estar en las imágenes, detrás de la cámara, en la sala de edición, y participar en todas las etapas de la realización de una película. Ellas deben ser quienes hablen sobre sus problemas.»
Sarah dejó un legado formidable para que sea continuado.
Nacida el 19 de julio de 1929, Sarah falleció el 13 de abril de 2020 debido a complicaciones por el coronavirus.
Mira Sambizanga y lee una reseña de la película en un artículo del New York Times de 1973 (solo en ingles)
Нет, мы просим только один заполненный опрос от каждой группы.
Cette section présente les principales ressources que l’AWID recommande afin que vous puissiez mener votre propre recherche WITM.
Dans cette section
Outils en ligne
Quand vous aurez rassemblé ces ressources, vous pourrez estimer les coûts de votre recherche à l’aide de notre Fiche de travail « Êtes-vous prêts-es ? »
María Digna Montero était une défenseuse Garifuna (d’origine africaine et autochtone) du droit à la terre et membre de l’Organisation fraternelle noire hondurienne (OFRANEH), une organisation communautaire oeuvrant à protéger les communautés Garifunas, leurs droits, leur culture, leurs ressources et leur territoire ancestraux.
María a également enseigné dans l'école locale et été membre du groupe de travail sur l'éducation bilingue interculturelle de l'OFRANEH.
Le 12 octobre 2019, jour de la Résistance autochtone, des inconnus ont tiré à plusieurs reprises sur María, alors qu’elle se trouvait dans l’arrière-cour de sa maison.
Elle est l'une des six défenseuses Garifunas à avoir été assassinées entre septembre et octobre 2019 et selon OFRANEH, ces crimes n’ont fait l’objet d’aucune enquête de la part des autorités. Dans une déclaration officielle, l'organisation a également souligné le lien entre la violence à l’encontre des dirigeants Garifunas et le développement des industries extractives qui exploitent les ressources naturelles de leurs communautés, affirmant que cette violence s’inscrivait dans une "stratégie d'intimidation et d'expulsion systématique" menée par l'État hondurien.
“La tension accrue et les risques croissants pour la sécurité et les droits humains des dirigeants des communautés et des territoires ancestraux sont le résultat de la dépossession, du déplacement et de la criminalisation des communautés et des mégaprojets d'extraction promus par l'État en collaboration avec les entreprises nationales et internationales". - Communiqué de l'OFRANEH, 12 octobre 2019
Somente no caso de problemas de acessibilidade e/ou se realizar o inquérito noutro idioma; caso contrário, encorajamo-lo a utilizar o KOBO para a recolha e análise padronizadas de dados do WITM.
Les interviews génèrent des renseignements détaillés que vous aurez du mal à obtenir à travers un sondage. Le sondage est surtout axé sur les données quantifiables et les questions fermées,par contre les interviews permettent d’obtenir les opinions d’expert-e-s comme des activistes et des donateurs, tout en utilisant des questions ouvertes qui précisent le contexte entourant les données résultant du sondage.
Dans cette section
- Conseils d’ordre général
1. Avant de mener vos interviews
2. Pendant les interviews- Interviews spécialisées
1. Interviews auprès des donateurs
2. Interviews auprès des activistes et des organisations de droits des femmes- Résultats préliminaires
Envoyez aux personnes que vous allez interviewer une note de synthèse qui décrit les objectifs des interviews et de l’ensemble de votre recherche, en plus d’une liste de questions.
Ces personnes pourront ainsi préparer leurs réponses aux questions plus complexes et obtenir les renseignements qu’elles n’ont peut-être pas sous la main.
Ne fondez pas vos questions sur des hypothèses au sujet des connaissances de la personne interviewée.
Tentez plutôt de préciser ce qu’elle sait, ce qui produit également des informations
- NE DEMANDEZ PAS : « Compte tenu des tendances actuelles de financement en Suisse, est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Cette question présume que la personne interviewée connaît les tendances de financement et que sa compréhension de ces tendances est identique à la vôtre.
- DEMANDEZ : En premier lieu, « Quelle est votre compréhension des tendances de financement actuelles en Suisse ? », suivie de « Est-ce que vous êtes au courant de certaines occasions de collaboration ? » Ceci révèlera ce que la personne comprend, vous donnant encore plus d’informations que la première question.
Les interviews auprès des donateurs vous permettront d’approfondir vos relations avec eux, ce qui sera utile lorsque vous entreprendrez les activités de plaidoyer qui succèderont à votre recherche. Vous en tirerez également une connaissance plus poussée des processus de prises de décisions adoptés par les bailleurs de fonds.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les donateurs :
Les interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes vous renseigneront sur leurs réalités sur le terrain. Ici encore, ces interviews vous permettront d’approfondir vos relations qui peuvent être intégrées aux plaidoyers, particulièrement en vue de favoriser la collaboration entre donateurs et activistes.
Suggestions de thèmes à aborder lors des interviews avec les activistes et les organisations de droits des femmes :
Pendant votre recherche WITM, nous vous recommandons de procéder à l’analyse des résultats préliminaires. La présentation de vos résultats préliminaires offre l’occasion de mener d’autres interviews et de recueillir des réactions sur votre processus de recherche et sur les résultats initiaux. Ces réactions peuvent être intégrées à votre recherche finale.
L’AWID organise des « rencontres WITM » pour partager les résultats préliminaires issus des données de sondage et des interviews. Ces rencontres permettent aux personnes qui y prennent part (activistes, organisations de droits des femmes et donateurs) de débattre et de discuter des résultats, de préciser le contexte, de rehausser le sentiment d’appropriation parmi les membres du mouvement et de fournir plus de commentaires en vue de la recherche finale.
Par exemple, l’AWID a profité du Pôle de mobilisation des ressources (RMH) pour les droits des femmes autochtones, dans le cadre du World Summit on Indigenous Philanthropy (Sommet mondial sur la philanthropie autochtone) pour lancer une présentation de ses résultats préliminaires.
Voir la présentation donnée lors du RMH (en anglais)
4. Recueillez et analysez vos données
• 1,5 - 3 mois
• 1 personne (ou plus) chargée de la recherche
• Liste d’organisations, de donateurs et d’activistes agissant à titre consultatif
• Questions d'interview que vous aurez préparées
• Note conceptuelle (Vous pouvez utiliser de cadre de référence que vous avez déjà préparé)
• Exemples d’interviews auprès des donateurs
• Exemples d’interviews auprès d’activistes et d’organisations de droits des femmes
4. Recueillez et analysez vos données
6. Menez une recherche documentaire