Anit-Racism Movement (ARM) / Flickr (CC BY-NC-ND 2.0)

Domaines prioritaires

Aider les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et de la justice de genre à être un élément moteur de l’opposition aux systèmes d’oppression et à co-créer des réalités féministes.

Ressources des mouvements féministes

Image pour partager l'enquête! "Ou est L'argent?"

 

L'enquête "Où est l'argent?" #WITM est maintenant en ligne ! Plongez dans l'enquête et partagez votre expérience du financement de votre organisation avec des féministes du monde entier.

En savoir plus et participer à l’enquête!


Les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et leurs allié-e-s du monde entier s’opposent au pouvoir et imaginent de nouvelles politiques de libération. Des ressources économiques et politiques aux actes quotidiens de résistance et de survie, les contributions qui viennent nourrir ce travail revêtent de nombreuses formes.


L’initiative de l’AWID, Ressources des mouvements féministes (Resourcing Feminist Movements, RFM), met en lumière l’écosystème de financement actuel, qui va des modèles d’attribution des ressources auto-générée aux voies de financement officielles.

A travers nos recherches et analyses, nous examinons de quelles façons les pratiques de financement pourraient mieux servir nos mouvements. Nous faisons une étude critique des contradictions propres au “financement” de la transformation sociale, compte tenu notamment de la répression politique croissante, des programmes anti-droits et du pouvoir grandissant des entreprises. Mais surtout, nous élaborons des stratégies collectives en appui à des mouvements fleurissants, solides et résilients.


Nos Actions

Reconnaissant la richesse de nos mouvements et répondant au contexte actuel, nous oeuvrons à:

  • Créer et élargir les alternatives : Nous développons les pratiques de financement qui accordent une place prépondérante aux priorités des activistes et impliquons un large éventail de donateurs et d’activistes dans la création de nouveaux modèles dynamiques d’attribution de ressources en faveur des mouvements féministes, en particulier dans un contexte qui voit l’espace de participation de la société civile diminuer considérablement.

  • Enrichir nos connaissances : Nous explorons, échangeons et consolidons nos connaissances sur la façon dont les mouvements attirent, organisent et utilisent les ressources qui leur sont nécessaires pour entreprendre des changements significatifs.

  • Plaider : Nous travaillons en partenariat, comme avec le Count Me In! Consortium, afin d’influencer les programmes de financement et permettre aux mouvements féministes d’être en dialogue direct pour déplacer le pouvoir et l’argent.

 

Contenu lié

Une personne ou une organisation peut-elle proposer plusieurs activités ?

En tant qu’organisatrice, une personne ou organisation peut proposer un maximum de 2 (deux) activités. Cela ne vous empêche pas d’être partenaires dans d’autres activités.

María Verónica Reina

María était reconnue au niveau mondial pour son leadership extraordinaire au sein de la communauté des personnes handicapées.

Elle a représenté l'International Disability and Development  Consortium (consortium international sur le développement et le handicap) lors de la négociation de la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées (2001-2006). Son travail a été consacré à la réalisation de l'objectif de la Convention, à savoir la réalisation des droits humains  universels par, pour et avec les personnes handicapées pour un monde inclusif, accessible et durable.

Selon ses propres mots, son leadership consistait à « … servir la communauté des personnes handicapées, en commençant par de petites tâches que d'autres pourraient ne pas vouloir faire».

Elle est décédée le 27 octobre 2017 dans sa ville natale de Rosario, en Argentine.

Pour en savoir plus sur María Verónica Reina, retrouvez son témoignage.

 


 

María Verónica Reina, Argentina

Snippet - CSW68 - March 12 - FR

Jour 2

12 Mars

Carmen Griffiths

Carmen dirigeait le Construction Resource and Development Collective et a joué un rôle de premier plan en faveur de la participation des femmes dans l’industrie de la construction en Jamaïque.

Elle a également œuvré à la préparation aux catastrophes de femmes rurales et urbaines. Elle a travaillé en étroite collaboration avec les femmes (en particulier les mères célibataires) pour leur apprendre à utiliser les sangles anti-ouragan ainsi que d’autres technologies pour sécuriser leur foyer. Elle a travaillé dans le domaine de l’eau et de l’assainissement et a été une ardente défenseure d’une gestion durable de l’environnement et du développement.

Elle faisait partie de la Commission Huairou et plaidait en faveur des femmes de la base sur des questions telles que le logement, l'énergie et les moyens de subsistance durables.

 


 

Carmen Griffiths, Jamaica

Snippet - WITM Start the survey 1 - FR

 

Globe

L’enquête est disponible en français, anglais, arabe, espagnol, portugais et russe!

 

Mridula Prasad

Mridula était une ardente défenseure de la promotion de la santé des femmes à une époque où le sujet de la santé sexuelle et reproductive des femmes était considéré comme tabou aux Fidji.

C’est elle qui a guidé les premiers travaux du Fiji Women’s Rights Movement sur les droits sexuels et reproductifs. En septembre 1999, le Fonds des Nations Unies pour la population lui a décerné un prix régional pour sa contribution en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs. Mridula était une militante affirmée, dévouée et infatigable, passionnée par la santé et l’autonomisation des femmes.

Membre reconnue du mouvement féministe et des mouvements de femmes aux Îles Fidji, nous nous souviendrons toujours de la contribution de Mridula. Elle est décédée de causes naturelles en 2017.

Mridula Prasad, Fiji

Notre groupe, organisation et/ou mouvement n’a pas accepté ou demandé de fonds de financeurs extérieurs, pouvons-nous quand même participer à l’enquête?

Oui, tout à fait! Nous reconnaissons et comprenons les différentes raisons pour lesquelles les féministes de tous contextes ne recourent pas au financement extérieur, pouvant aller de ne pas être éligibles à demander des subventions et/ou recevoir de l’argent de l’étranger, à compter sur des ressources générées de manière autonome (ressource en anglais) en tant que stratégie politique à part entière. Nous vous invitons à participer, peu importe votre expérience du financement extérieur.

Zita Kavungirwa Kayange

Zita était une défenseure des droits des femmes de la région du Grand Kivu.

Elle a été la première directrice exécutive d’UWAKI, une organisation de femmes bien connue. Par son travail avec le Réseau des Femmes pour la Défense des Droits et la Paix (RFDP) et le Caucus des femmes du Sud-Kivu pour la paix, elle a consacré sa vie à rétablir la paix dans l'est de la RDC. Elle a très fermement dénoncé l'utilisation de la violence sexuelle comme arme de guerre.

En 2006, elle s'est présentée comme candidate aux premières élections démocratiques en RDC. Bien qu’elle n’ait pas gagné, elle a continué à défendre les droits des femmes et la communauté du Sud-Kivu se souvient d’elle avec affection.


 

Zita Kavungirwa Kayange, Republic Democratic of Congo

Vous demandez le nom du groupe, de l’organisation et/ou du mouvement qui répond aux questions de l’enquête, et ses coordonnées – pour quelle raison?

Nous demandons ces données pour faciliter l’examen des réponses, éviter les doublons et pouvoir vous contacter si votre groupe n’a pas pu terminer le questionnaire et/ou vous répondre si vous avez des doutes ou des questions. Des informations sur la manière dont nous utilisons les informations personnelles collectées lors de notre travail sont disponibles ici.

Nadyn Jouny

« Le privé est politique » - tel est le mantra féministe que personnifiait la fougueuse et courageuse Nadyn Jouny. Nadyn avait personnellement vécu la douleur de la violence structurelle des systèmes juridiques qui refusent aux femmes de jouir de leurs droits.

Lorsqu’elle décide de demander le divorce, les tribunaux religieux chiites – conformément aux lois relatives au statut personnel du Liban – lui refusent la garde de son jeune fils Karam. Comme tant d’autres femmes au Liban et d’autres pays, Nadyn s’est retrouvée dans la situation douloureuse et insoutenable de devoir abandonner ses droits sur son enfant pour pouvoir quitter une relation abusive et non voulue. Mais Nadyn s’est battue, jusqu’au dernier jour.

Elle s’est servie de ses compétences médiatiques pour devenir la voix de celles qui n’en ont pas dans leur combat contre un droit de la famille discriminant, tant au Liban qu’à l’étranger. Nadyn a cofondé le groupe autofinancé « Protecting Lebanese Women » (PLW) et s’est alliée à d’autres mères libanaises vivant des situations similaires. Ensemble, elles ont cherché à sensibiliser la société en manifestant pour leurs droits devant les tribunaux religieux et attirant l’attention des médias sur les très grandes injustices qu’elles subissaient.

Nadyn a également collaboré avec ABAAD – Resource Center for Gender Equality, une autre organisation libanaise pour les droits des femmes, à l’occasion de campagnes pour la défense des droits des femmes, l’égalité dans le droit de la famille et la garde des enfants, et contre le mariage forcé et précoce.

Pour nombre de ses collègues, elle « symbolisait le combat d’une mère libanaise contre toutes les formes de répression et de misogynie » (en anglais), utilisant « son expérience personnelle et sa propre trajectoire d’autonomisation pour donner aux autres l’espoir qu’elles peuvent être des catalyseuses de changement positif ». - ABAAD – Resource Center for Gender Equality, Liban

Nadyn a tragiquement perdu la vie dans un accident de voiture le 6 octobre 2019, alors qu’elle se rendait à une manifestation contre les augmentations de taxes injustifiées, dans un pays qui connaît déjà une crise financière croissante. Nadyn Jouny n’avait que 29 ans au moment de son décès.
 

Forum Homepage Banner

Inscrivez-vous au Forum !

Se rassembler à l’échelle mondiale, en tant qu’individus et mouvements, nous permet de générer une force considérable. Rejoignez-nous à Bangkok, en Thaïlande et en ligne en décembre 2024.

En savoir plus Inscription

Jaitun

Jaitun, souvent appelée « Amma », œuvrait à la protection des droits reproductifs des femmes et des filles en Inde. Son travail s’est  particulièrement centré sur la défense des personnes pauvres et marginalisées, dont les filles et femmes dalits et musulmanes.

Jaitun était la force vitale derrière l’affaire Jaitun contre Janpura Maternity Home & Ors. Sa persévérance à obtenir justice a permis d’aboutir à un jugement sans précédent rendu par la Cour Suprême de Delhi. Le gouvernement indien a ainsi été tenu responsable de n’avoir pas rempli plusieurs de ses obligations juridiques, telles que les soins de santé reproductive et le droit à l’alimentation.

Sa fille Fatema, qui vivait sous le seuil de pauvreté, s’était vu refuser l’accès à des services de santé reproductive et avait dû accoucher en public, sous un arbre. Jaitun et Fatema étaient à cette époque sans domicile, car le gouvernement avait démoli leur maison dans le cadre d’un projet de réaménagement et de gentrification à New Delhi.

« Depuis, le jugement a fait jurisprudence pour de nombreux·euses avocat·e·s et activistes du monde entier, et notamment l’ancien Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé, non seulement comme source d’inspiration, mais comme solide tremplin pour obtenir la justice. » - Jameen Kaur

Jaitun a inspiré de très nombreuses autres femmes vivant dans la pauvreté à réclamer leurs droits. Elle s’est éteinte en 2017.

« Avec le décès de Jaitun, nous venons de perdre une inimitable guerrière pour la justice, mais son esprit de résistance perdure. » - Jameen Kaur

« Je n’ai, au cours de mes 18 années de plaidoyer pour les droits humains, jamais rencontré de femme qui m’ait tant inspirée et émue qu’Amma. Son courage féroce, son humour inimitable - nous la comparions à l’actrice de Bollywood Hema Malini -, ses colères lorsque l’on passait trop de temps sans venir la voir : elle nous disait, une étincelle dans le regard, « Tu as oublié Amma, Amma ne te parle plus », puis faisait volte-face de manière mélodramatique, pour se retourner en riant et tendre les bras pour une embrassade. Sa gentillesse, et en fin de compte son amour, sa joie d’aimer et sa volonté que chacun·e ait le droit de vivre dignement en faisaient un être à part . Elle me manque terriblement. » - Jameen Kaur
 

Snippet - Homepage CSW69_FR

AWID à la CSW69 Beijing+30 | #FreezeFascisms

Notre présence collective perturbe les mécanismes d’exclusion des institutions dans ces espaces tout en soutenant les mouvements qui s’organisent autour d’alternatives féministes aux systèmes d’oppression.

Participez aux conversations du 10 au 21 mars 2025 pour, collectivement, faire de la CSW69 un espace de résistance et de solidarité.

En savoir plus

Barbara Allimadi

Barbara Allimadi était une militante politique et des droits humains originaire d’Ouganda. En 2012, elle a coorganisé une manifestation contre l’agression policière télévisée d’Ingrid Turinawe, opposante politique dont le sein a été pressé par un officier de police. Durant la manifestation, Barbara et d’autres activistes se sont déshabillées et n’ont gardé que leur soutien-gorge devant le poste central de police de Kampala. Cet épisode fut par la suite  désigné par la tristement célèbre « manifestation en soutien-gorge » en Ouganda. 

« Nous avons opté pour une manifestation en soutien-gorge. Nous avons pensé qu’elle serait la plus appropriée par rapport aux faits. Ce n’est pas comme si nous étions en train de dire que nous ne nous respections pas. Nous étions dégoûtées par les actes commis. »  - Barbara Allimadi, 2013 (Daily Monitor)

Diplômée en électronique et en ingénierie des communications de l’Université métropolitaine de Londres, Barbara était ingénieure réseau au Royaume-Uni et une fervente amatrice de musique reggae. Elle retourna en Ouganda en 2007, au moment du décès de sa mère. 

En 2019, elle fut désignée Coordonnatrice pour les affaires internationales et la diaspora de l’Alliance for National Transformation (alliance pour la transformation nationale, ANT), un parti politique lancé la même année par un leader d’opposition.    

« Nous voulons disposer d’une vie sûre et de biens, sans souffrance, sans blessure ni même de mort aux mains des forces de sécurité, qui sont censées nous protéger. Nous voulons surtout un environnement stable et propice dans lequel nous pourrons réaliser nos rêves et nos ambitions. » - Barbara Allimadi, vidéo de l’ANT

Barbara est décédée le 27 avril 2020. 


Hommages :

« J’étais tellement fière de ma sœur pour plein de raisons, mais surtout pour sa recherche téméraire de la paix, de la démocratie, de la justice et de l’égalité en Ouganda. Au summum de son activisme, elle conduisait de nombreuses marches dans les rues de Kampala, jusqu’aux postes de police et au Parlement. » - Doris Allimadi, sœur de Barbara

« C’est avec une tristesse profonde que nous avons appris le décès précoce de Barbara Allimadi. Elle était une force vaillante, infatigable et courageuse pour le mouvement de libération en Ouganda. Nous adressons nos sincères condoléances à sa famille. Elle nous manquera terriblement. » - Akina Mama wa Afrika (tweet du 28 avril 2020)

« Le décès de Barbara est extrêmement triste pour nous, et pour toute sa famille. Elle s’est dévouée entièrement à lutter pour la justice, la liberté et les droits des autres, tout en servant la société civile jusqu’à sa récente adhésion au parti. » Maj Gen Mugisha Muntu, coordonnateur national de l’ANT

« Une soeur magnifique, charmante, drôle, charismatique et inspirante. Mes enfants ont perdu leur tante. L’Ouganda a perdu une combattante pour les libertés, brave et courageuse. Barbara disait autrefois “tant que vous pouvez respirer, continuez à agir pour atteindre vos rêves”  » - Doris Allimadi, sœur de Barbara

Snippet - COP30 - Global Day of Action - FR

Journée mondiale de l’action

Manifestations mondiales des mouvements pour la justice climatique.

📅 Samedi 15 novembre 2025
📍 Lieux multiples

Plus d'infos ici

Site web en anglais

Protection de la famille

Contexte

Au cours des dernières années, nous avons observé une nouvelle tendance inquiétante dans les espaces internationaux consacrés aux droits humains. Les discours axés sur « la protection de la famille » sont en effet utilisés pour défendre des violations des droits de membres de la famille, pour renforcer et justifier l’impunité des auteurs de ces violations et pour restreindre l’égalité des droits au niveau de la vie familiale. 

La campagne en faveur de la « Protection de la famille » est motivée par une volonté conservatrice d’imposer des conceptions « traditionnelles » et patriarcales de la famille et de priver les membres de la famille de leurs droits pour les transférer à « l’institution familiale ».

Les initiatives visant à la « Protection de la famille » reposent sur :

  • la montée du traditionalisme,
  • la montée du conservatisme culturel, social et religieux,
  • l’existence d’une hostilité vis-à-vis des droits humains des femmes, des droits sexuels, des droits des enfants et enfin des droits des personnes dont l’identité de genre et l’orientation sexuelle ne sont pas conformes aux normes.

Depuis 2014, un groupe d’Etats travaille de front dans les espaces dédiés aux droits humains sous le nom de « Group of Friends of the Family » (Groupe des ami-e-s de la famille) ; des résolutions sur la « Protection de la famille » ont été adoptées chaque année depuis 2014.

Ce programme s’est propagé au-delà du Conseil des droits humains. Nous avons observé l’introduction d’un discours régressif autour de la « famille » à la Commission sur la condition de la femme, ainsi que des tentatives d’introduction dans les négociations sur les Objectifs de développement durable.


Notre approche

L’AWID travaille avec des partenaires et des allié-e-s pour s’opposer ensemble à la « Protection de la famille » et à d’autres programmes régressifs et défendre l’universalité des droits humains.

En réponse à l’influence croissante d’acteurs régressifs au sein des espaces dédiés aux droits humains, l’AWID a rejoint des allié-e-s afin de créer l’Observatoire sur l'Universalité des droits (OURs) (site en anglais). L’OURs est un projet de collaboration qui surveille, analyse et diffuse les informations concernant les initiatives anti-droits telles que la « Protection de la famille ».

Le premier rapport de l’OURs, Nos droits en danger, trace une cartographie des acteurs et actrices qui constituent le lobby mondial anti-droits et identifie leur réthorique et stratégies clés ainsi que leur impact sur les droits humains.  

Le rapport précise que le programme de « Protection de la famille » a développé une collaboration entre un large éventail d’acteurs régressifs aux Nations Unies, qu’il décrit comme « un cadre stratégique abritant des positions anti-droits et patriarcales multiples, où le cadre vise entre autres à légitimer et institutionnaliser ces positions. »

Contenu lié

Sites associés à l´AWID

Plateforme de jeunes féministes

Une communauté en ligne pour et par les jeunes féministes qui militent pour les droits humains des femmes, l'égalité de genre et la justice sociale dans le monde entier

Visitez le site

Le Fonds des jeunes féministes - FRIDA

Finance des projets initiés par de jeunes féministes. Vise à renforcer la capacité des organisations de jeunes féministes à mobiliser des ressources pour leurs actions et à encourager des bailleur-euse-s de fonds et d’autres allié-e-s à financer l’activisme des jeunes féministes.

Visitez le site

L'Observatoire sur l'universalité des droits (OURs)

Cette plateforme sera l’espace de référence pour accéder à des informations et à des ressources concernant la sauvegarde de l'universalité des droits humains dans les espaces internationaux et régionaux.

Visitez le site (en anglais)

Annuaire en ligne de `Réponses urgentes´pour les défenseuses des droits humains

Un site pour en savoir plus sur les mesures d’urgence entreprises pour protéger les défenseuses des droits humains et pour trouver des outils et des ressources au soutien de leur travail et de leur bien-être.

Visitez le site

IM-Defensoras (Initiative mésoaméricaine pour les femmes défenseuses des droits humains)

Une initiative régionale créée pour prévenir, répondre, documenter et rendre publics tous les cas de violence contre les défenseuses des droits humains dans la région mésoaméricaine.

Visitez le site (en anglais et en espagnol)

La Coalition internationale des femmes défenseuses des droits humains

Un réseau qui réalise un travail de plaidoyer et propose des ressources pour protéger et soutenir les défenseuses des droits humains dans le monde entier.

Visitez le site (en anglais)

La Coalition des femmes post-2015

Une coalition d’organisations féministes, de droits des femmes, de développement, de justice sociale et d’organisations de terrain qui conteste le programme mondial de développement et plaide pour qu’il soit recadré.

Visitez le site (en anglais)

Women´s Major Group on Development (Le Groupe Majeur Femmes)

Le rôle du groupe consiste à assurer la pleine participation des groupes de femmes non gouvernementaux aux processus politiques de l'ONU sur le développement durable, le programme de l’après-2015 et les questions environnementales.

Visitez le site (en anglais)

Le Groupe de femmes sur le financement du développement 

Une alliance d’organisations et de réseaux de femmes qui font un travail de plaidoyer en faveur de l'égalité de genre, de l'autonomisation des femmes et des droits humains dans le cadre des processus des Nations unies relatifs à la composante Financement du développement (FdD).

Visitez le site (en anglais)