
Phyllis Ntantala-Jordan

L'enquête "Où est l'argent?" #WITM est maintenant en ligne ! Plongez dans l'enquête et partagez votre expérience du financement de votre organisation avec des féministes du monde entier.
En savoir plus et participer à l’enquête!
Les mouvements féministes, en faveur des droits des femmes et leurs allié-e-s du monde entier s’opposent au pouvoir et imaginent de nouvelles politiques de libération. Des ressources économiques et politiques aux actes quotidiens de résistance et de survie, les contributions qui viennent nourrir ce travail revêtent de nombreuses formes.
L’initiative de l’AWID, Ressources des mouvements féministes (Resourcing Feminist Movements, RFM), met en lumière l’écosystème de financement actuel, qui va des modèles d’attribution des ressources auto-générée aux voies de financement officielles.
A travers nos recherches et analyses, nous examinons de quelles façons les pratiques de financement pourraient mieux servir nos mouvements. Nous faisons une étude critique des contradictions propres au “financement” de la transformation sociale, compte tenu notamment de la répression politique croissante, des programmes anti-droits et du pouvoir grandissant des entreprises. Mais surtout, nous élaborons des stratégies collectives en appui à des mouvements fleurissants, solides et résilients.
Créer et élargir les alternatives : Nous développons les pratiques de financement qui accordent une place prépondérante aux priorités des activistes et impliquons un large éventail de donateurs et d’activistes dans la création de nouveaux modèles dynamiques d’attribution de ressources en faveur des mouvements féministes, en particulier dans un contexte qui voit l’espace de participation de la société civile diminuer considérablement.
Enrichir nos connaissances : Nous explorons, échangeons et consolidons nos connaissances sur la façon dont les mouvements attirent, organisent et utilisent les ressources qui leur sont nécessaires pour entreprendre des changements significatifs.
Plaider : Nous travaillons en partenariat, comme avec le Count Me In! Consortium, afin d’influencer les programmes de financement et permettre aux mouvements féministes d’être en dialogue direct pour déplacer le pouvoir et l’argent.
« Je veux jouir tellement fort que ça réveillera mes ancêtres, qui se joindront à la lutte. »
Manal Tamimi est une activiste palestinienne et une défenseuse des droits humains. Mère de quatre enfants, elle est titulaire d’une maîtrise en droit international humanitaire. Son activisme lui a valu d’être arrêtée trois fois et d’être blessée à plusieurs reprises, notamment avec des balles explosives réelles qui sont interdites sur le plan international. Sa famille est elle aussi prise pour cible : ses enfants ont été arrêtés et blessés à balles réelles plus d’une fois. Le dernier incident dont elle a été victime était une tentative d’assassinat contre son fils Muhammad, qui a reçu une balle dans la poitrine, près du cœur, quelques semaines après sa libération des prisons d’occupation où il avait passé deux ans. Sa philosophie de vie : « si on va me faire payer parce que je suis palestinienne et non parce que j’ai commis un crime, je refuse de mourir en silence ».
« Pour moi, ce genre de discussion compte parmi les expressions d’amour dont la vie me permettait de profiter depuis peu. Je ne savais pas que cette autre forme d’amour – que l’on trouve en dehors d’ateliers de formation, d’espaces d’activisme, de classes ou de lieux de travail – était possible... »
Découvrez ces projets élaborés par les équipes de l'AWID pour promouvoir le plaidoyer et les perspectives féministes.
ÉCONOMIES DES SOINS AGROÉCOLOGIE ET SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRECOOPÉRATIVISME FÉMINISTESYNDICALISME FÉMINISTE
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Les militants de l'ASOM dans les rencontres, les défilés et les événements
Avant de prendre sa retraite, elle a occupé de nombreux postes de haut niveau, notamment celui de membre de la cour d’appel et juge en chef adjointe de l’Ouganda. Elle a été la première femme ougandaise à occuper le poste de magistrat en chef entre 1973 et 1986 et la première femme à être nommée juge à la Haute Cour de justice en 1986.
Elle fut l'une des premières femmes à recevoir le titre de chevalier pontifical de l'histoire de l'Église catholique en Afrique. Elle est morte d'une crise cardiaque.
Nous Sommes la Solution élève et développe le leadership des femmes rurales travaillant à des solutions africaines pour la souveraineté alimentaire.
Originaire d'Inde, Janette était une personne formidable, fougueuse, bienveillante et aimante.
Son intolérance à l’égard de l’injustice et sa ferme volonté de défendre les droits de toutes les personnes l’ont amenée à travailler pour TARSHI (une ONG qui travaille sur la sexualité et la santé sexuelle et reproductive) pendant plus de 15 ans. Janette a géré et dirigé avec compétence les aspects financiers, les ressources humaines et les aspects opérationnels de TARSHI, naviguant adroitement dans la bureaucratie labyrinthique à laquelle sont soumises les ONG indiennes.
Son équipe se souvient « elle assurait nos arrières pour que nous puissions naviguer en eaux libres. Femme aux multiples talents, Janette nous a non seulement aidés à acquérir nos propres bureaux, mais elles les a également aménagés pour leur utilisation optimale. Elle aimait les voyages et les animaux et s'intéressait à la thérapie assistée par les animaux ».
LE QUOTA D'EMPLOI TRANS
n'est pas respecté par les entreprises
Considérée par le Guardian comme l'une des icônes nationales de Kiribati, Teresia était une avocate téméraire.
Elle travaillait en étroite collaboration avec des groupes féministes aux îles Fidji. Ses travaux de recherche ont servi à aborder les problèmes du féminisme et de l'égalité de genre dans le Pacifique. Elle était également corédactrice de l’International Feminist Journal of Politics. En Océanie, son influence a traversé les frontières académiques, ainsi que les mouvements pour la justice sociale.