Flickr/Leonardo Veras (CC BY 2.0)

Analyses Spéciales

L´AWID est une organisation féministe mondiale qui consacre ses efforts à la justice de genre, au développement durable et aux droits humains des femmes

Protection de la famille

Contexte

Au cours des dernières années, nous avons observé une nouvelle tendance inquiétante dans les espaces internationaux consacrés aux droits humains. Les discours axés sur « la protection de la famille » sont en effet utilisés pour défendre des violations des droits de membres de la famille, pour renforcer et justifier l’impunité des auteurs de ces violations et pour restreindre l’égalité des droits au niveau de la vie familiale. 

La campagne en faveur de la « Protection de la famille » est motivée par une volonté conservatrice d’imposer des conceptions « traditionnelles » et patriarcales de la famille et de priver les membres de la famille de leurs droits pour les transférer à « l’institution familiale ».

Les initiatives visant à la « Protection de la famille » reposent sur :

  • la montée du traditionalisme,
  • la montée du conservatisme culturel, social et religieux,
  • l’existence d’une hostilité vis-à-vis des droits humains des femmes, des droits sexuels, des droits des enfants et enfin des droits des personnes dont l’identité de genre et l’orientation sexuelle ne sont pas conformes aux normes.

Depuis 2014, un groupe d’Etats travaille de front dans les espaces dédiés aux droits humains sous le nom de « Group of Friends of the Family » (Groupe des ami-e-s de la famille) ; des résolutions sur la « Protection de la famille » ont été adoptées chaque année depuis 2014.

Ce programme s’est propagé au-delà du Conseil des droits humains. Nous avons observé l’introduction d’un discours régressif autour de la « famille » à la Commission sur la condition de la femme, ainsi que des tentatives d’introduction dans les négociations sur les Objectifs de développement durable.


Notre approche

L’AWID travaille avec des partenaires et des allié-e-s pour s’opposer ensemble à la « Protection de la famille » et à d’autres programmes régressifs et défendre l’universalité des droits humains.

En réponse à l’influence croissante d’acteurs régressifs au sein des espaces dédiés aux droits humains, l’AWID a rejoint des allié-e-s afin de créer l’Observatoire sur l'Universalité des droits (OURs) (site en anglais). L’OURs est un projet de collaboration qui surveille, analyse et diffuse les informations concernant les initiatives anti-droits telles que la « Protection de la famille ».

Le premier rapport de l’OURs, Nos droits en danger, trace une cartographie des acteurs et actrices qui constituent le lobby mondial anti-droits et identifie leur réthorique et stratégies clés ainsi que leur impact sur les droits humains.  

Le rapport précise que le programme de « Protection de la famille » a développé une collaboration entre un large éventail d’acteurs régressifs aux Nations Unies, qu’il décrit comme « un cadre stratégique abritant des positions anti-droits et patriarcales multiples, où le cadre vise entre autres à légitimer et institutionnaliser ces positions. »

Contenu lié

Ika Vantiani

Bunga-Transgirl are girl, Analog collage, 2020
Bunga-Transgirl are girl, Analog collage, 2020

Bunga or flower in English is something that is often associated with women in Indonesia. Meaning, a flower can also be associated with transgender women. Because transgender women are women. As beautiful, as strong, and they both lived not only waiting to be 'picked' but instead grew and bloom and died as they pleased. This work is a tribute to my transgender women friends on The International Transgender Day of Visibility. 

About Ika Vantiani 

Ika Vantiani portrait

Ika Vantiani is an Indonesian artist, curator and crafter based in Jakarta. Her works explores the idea of being a woman in today’s society with the intertwined between media and consumption. Ika uses the discipline of collage and expands it into workshop, installation, and street art. Ika is the member of artist collectives including Micro Galleries, The Collage Club and It’s In Your Hands Collective.  

Snippet FEA collaborator and allies Photo 1 (ES)

La foto muestra a Sopo Japaridze, uno de los cofundadores de Union Solidarity Network. Sopo tiene cabello castaño largo, con flequillo, ojos marrones y usa una máscara roja del Sindicato de la Red de Solidaridad. La foto está tomada de noche.

Кому следует принять участие в опросе?

Группы, организации и движения, работающие исключительно или главным образом в интересах женщин, девочек, гендерной справедливости, прав ЛГБТКИ+ людей во всех регионах и на всех уровнях, как недавно созданные, так и давно существующие.

Laurie Carlos

Laurie Carlos était une comédienne, réalisatrice, danseuse, dramaturge et poétesse aux États-Unis. Artiste hors pair et visionnaire, c’est avec de puissants modes de communication qu’elle a su transmettre son art. 

« Laurie entrait dans la pièce (n’importe quelle pièce/toutes les pièces) avec une perspicacité déroutante, un génie artistique, une rigueur incarnée, une féroce réalité – et une détermination à être libre... et à libérer les autres. Une faiseuse de magie. Une devineresse. Une métamorphe. Laurie m’a dit un jour qu’elle entrait dans le corps des gens pour trouver ce dont ils et elles avaient besoin. » - Sharon Bridgforth

Elle a employé plusieurs styles de performance alliant les gestes rythmiques au texte. Laurie encadrait les nouveaux·elles comédien·ne·s, performeur·euse·s et dramaturges, et a contribué à développer leur travail dans le cadre de la bourse Naked Stages pour les artistes émergent·e·s. Associée artistique au Penumbra Theatre, elle a participé à la sélection de scripts à produire, dans l’objectif « d’intégrer des voix plus féminines dans le théâtre ». Laurie faisait également partie des Urban Bush Women, une compagnie de danse contemporaine reconnue qui contait les histoires de femmes de la diaspora africaine.

Elle fit ses débuts à Broadway dans le rôle de Lady in Blue, en 1976, dans la production originale et primée du drame poétique For colored girls who have considered suicide / when the rainbow is enuf de Ntozake Shange. L’oeuvre de Laurie inclut White Chocolate, The Cooking Show et Organdy Falsetto

« Je raconte les histoires à travers le mouvement – les danses intérieures qui se produisent spontanément, comme dans la vie – la musique et le texte. Si j’écris une ligne, ce n’est pas forcément une ligne qui sera dite ; ce peut être une ligne qui sera bougée. Une ligne à partir de laquelle de la musique est créée. Le geste devient phrase. Tant de ce que nous sommes en tant que femmes, en tant qu’êtres, tient aux gestes que nous exprimons les un·e·s par rapport aux autres, tout le temps, et particulièrement dans les moments d’émotion. Le geste devient une phrase, ou un état de fait. Si j’écris “quatre gestes” dans un script, cela ne signifie pas que je ne dis rien;cela veut dire que j’ai ouvert la voie à ce que quelque chose soit dit physiquement. » Laurie Carlos

Laurie est née et a grandi à New York, a travaillé et vécu à Minneapolis-Saint-Paul. Elle est décédée le 29 décembre 2016, à l’âge de 67 ans, après un combat contre le cancer du côlon. 


Hommages :

« Je pense que c’était exactement l’intention de Laurie. De nous sauver. De la médiocrité. De l’ego. De la paresse. De la création artistique inaboutie. De la paralysie par la peur.
Laurie voulait nous aider à briller pleinement.
Dans notre expression artistique.
Dans nos vies. » - Sharon Bridgforth pour le Pillsbury House Theatre

« Quiconque connaissait Laurie aurait dit que c’était une personne singulière. Elle était sa propre personne. Elle était sa propre personne, sa propre artiste ; elle mettait en scène le monde tel qu’elle le connaissait avec un vrai style et une compréhension fine, et elle habitait son art. » – Lou Bellamy, Fondatrice de la Penumbra Theatre Company, pour le Star Tribune 

Lire un hommage complet par Sharon Bridgforth (seulement en anglais)

Corporizaciones feministas de esperanza y poder

Una serie de películas sobre realidades feministas de la región del Sudoeste Asiático y África del Norte

por Esra Ozban

En un mundo obsesionado con los productos, el proceso de priorización es un método feminista fundamental. Los procesos importan, y la curaduría no es una excepción. Mientras trataba de determinar cuáles de las películas de la región del Sudoeste Asiático y África del Norte (SWANA, por su sigla en inglés) serían más relevantes para el tema de las realidades feministas, la pandemia global, que todavía estamos enfrentando, modificó tremendamente nuestras vidas cotidianas. Incluso pensar, escribir o expresarme se ha convertido en una lucha diaria. Se me pasaban constantemente las fechas límites, y mandaba correos de disculpas a Kamee Abrahamian, con quien estaba trabajando como curadora independiente para el proyecto de la Club de Cine Feminista de AWID. El invalorable apoyo de Kamee, su comprensión y sus sugerencias, me recordaron que, incluso en dos lugares diferentes del mundo, como colegas que nunca se han encontrado personalmente, podemos crear conjuntamente micro versiones de las realidades feministas que anhelamos y para las cuales vivimos.
 
Para mí, las realidades feministas tienen mucho que ver con las sororidades. Sororidades que ayudan a lxs mujerxs que se ocupan de la remoción de minas en Artsaj/Alto Karabaj. Sororidades horneadas en Vegan Inclusive Trans Cake [Torta Trans Vegana  Inclusiva] de feministas trans jóvenes de Ankara, que les recuerdan que no están siendo bienvenidas por la generación Z a las hermanas cis. Sororidades que están creciendo entre la menta de la azotea de Dragiča Alafandi, en el campamento de refugiadxs de Dheisheh de  la Palestina ocupada, en Sowing seeds of resistance [Sembrando semillas de resistencia]. Sororidades que asumen proximidades íntimas, sexuales y revolucionarias en el Parque Gezi en #resistayol. Sororidades que sacan a la luz un encuentro imaginado entre dos generaciones de mujerxs exiliadxs  en las calles de Haifa, en Your father was born 100 years old and so was the Nakba [Tu padre nació teniendo 100 años, igual que la Nakba]. Sororidades interespecies que se desarrollan en un espacio ficticio (y valiente) creado por Mounia Akl en Submarine [Submarino] para su personaje rebelde Hala, quien se rehúsa a ser evacuada  de una ciudad llena de basura y es abandonada con su amigx perrx.
 
Esta selección reúne trozos y fragmentos de muchas realidades feministas que se han producido en la región del Sudoeste Asiático y África del Norte durante los últimos años. Continuaremos imaginando, aprendiendo y compartiendo corporizaciones feministas de esperanza y poder. Mientras tanto, sumerjámonos en las potentes alternativas  a las que lxs cineastas y lxs protagonistas de estas películas han dado vida. Podemos crear conjuntamente cada paso, cada acto y cada intento, mientras seguimos cohabitando este mundo con otrxs que están viviendo realidades feministas y que persisten en sus sueños para dar vida a más de estas realidades.


MOTHERLAND [MADRE PATRIA]

por Emily Mkrtichian y Jesse Soursourian

«Con una belleza visual y atractivas escenas de la realidad, Motherland es un espectáculo de camaradería y fortaleza femeninas... La película es un testimonio de mujeres de todo el mundo que están dispuestas a trabajar más aún, para superar cualquier obstáculo que encuentren.»
 
    - Nosarieme Garrick, cineasta galardonada

«Motherland es una inspiradora visualización de solidaridad, valentía, y agallas...»
 
    - Hers is Ours Collective, organizadorxs del Outsider Moving Art & Film Festival 

Motherland from jesse soursourian on Vimeo.

Emily Mkrtichian sobre las realidades feministas y Artsaj/Alto Karabaj

Filmamos el cortometraje Motherland en la República de Artsaj en 2018. Cada una de estas mujeres me atrajo por su fortaleza, su resiliencia y su humor, a pesar del contexto en el que vivían. En 2018, ese contexto era el del período posterior a una guerra brutal que había tenido lugar en la década de 1990, después de la cual su país se convirtió en un territorio no reconocido (o disputado, para la comunidad internacional) que no recibía la autonomía y la independencia de las que gozan tantos otros países. Artsaj estaba también profundamente afectada por las consecuencias que vemos en casi todos los lugares que atraviesan conflictos violentos, -consecuencias que tan a menudo recaen sobre las mujeres-: trastornos de estrés postraumático, altas tasas de alcoholismo, altas tasas de violencia doméstica, menos igualdades y libertades otorgadas a las mujeres, poca o ninguna representación de las mujeres en la política y la administración pública. Frente a estos desafíos, esta película trata de captar el fuego y el poder de las mujeres de Artsaj, algo que podría no ajustarse al paradigma feminista occidental tradicional, pero que ha sido creado por y para ellas mismas a través de los profundos lazos comunitarios, el cuidado de sus familias, el trabajo duro, y la capacidad de reírse juntas a lo largo  de todo este proceso. Hoy, la República de Artsaj ha sido devastada nuevamente por otra guerra, que la dejó sin el 70% de las tierras que estas mujeres consideraron como propias durante toda sus vidas. Sin embargo, puedo prometerles que estas mujeres, y miles de otras, continúan sosteniendo a sus familias, sus comunidades y su cultura a través de las mismas redes de cuidado, del mismo compromiso con el trabajo duro y de las mismas carcajadas revoltosas, de cara a un futuro incierto.
 


SOWING SEEDS OF RESISTANCE [SEMBRANDO SEMILLAS DE RESISTENCIA]

por Baladi-Rooted Resistance

«Una película oportuna para mirar después de ser testigxs del último bombardeo de Gaza por parte de las Fuerzas de Defensa de Israel. Una mirada sobre el modo en que las mujeres de las comunidades palestinas sobreviven a la opresión estructural, a través de la historia de un banco de semillas tradicionales... y de las mujeres que lo sostienen como forma de alimentar la rebelión.»

    - Jessica Horn, activista feminista panafricana, escritora y co-creadora del sitio web the temple of her skin


«Ver mujeres que se reúnen y trabajan  colectivamente por la autonomía alimentaria es, para mí, terapéutico y empoderante.»
 
    - Hers is Ours Collective, organizadorxs del Outsider Moving Art & Film Festival 

Equipo Baladi-Rooted Resistance sobre las realidades feministas«¿Cómo hablar sobre realidades feministas cuando vives en Deheisheh, un campamento de refugiadxs palestino, construido hace setenta años para contener  a tres mil refugiadxs, pero que es ahora el hogar de quince mil personas, en la Cisjordania ocupada? ¿O cuando la tierra que cultivas está amenazada constantemente por los colonizadores  ilegales?
Si eres mujer en Palestina ocupada, tienes que luchar no solo contra el patriarcado, sino también contra el colonialismo y contra una ocupación militar brutal.
 
Dragiča y Vivien están peleando contra estos múltiples sistemas de dominación, a su propio modo.
Vivien utiliza semillas nativas para ayudar a lxs palestinxs a mantener su identidad. Cultivar alimentos tradicionales de forma tradicional es sumamente significativo: «Si ya no eres unx productorx, eres unx consumidorx, y qué mejor manera de esclavizar a alguien que convertirlx en tu consumidxr . Esto está sucediendo en todo el mundo, pero aquí se duplica con la ocupación militar.»
 
El 31,5% de los hogares de Cisjordania no tiene seguridad alimentaria. Mediante un huerto de azotea, Dragiča logró incrementar la autonomía alimentaria de su familia. En el hacinado campamento, al que  el ejército israelí realiza incursiones nocturnas de forma regular para arrestar y acosar a lxs residentes, el huerto de azotea de Dragiča no solamente nutre a su familia, sino que, en especial, nutre su alma.»

 



#RESISTAYOL

por Ruzgar Buski

Ruzgar Buski sobre las realidades feministas

«No sé qué decir sobre las realidades feministas, pero, como artista trans, como activista de Turquía, sé que nuestras realidades son duras. Vivimos con violencias: ¡físicas, emocionales, económicas, sexuales!. Por eso es que tenemos que construir nuestras propias redes, y crear conjuntamente microrrealidades recíprocas es, para mí, una realidad feminista. #resistayol es mi primera película, y al comienzo planeaba hacer una película por/para/con personas trans que no tratara de convencer a nadie del hecho de que las personas trans son humanas, ni que se centrara en crear consciencia sobre los temas trans. Sin embargo, sucedieron  las protestas del Parque Gezi, que se convirtieron en una de las sublevaciones más grandes de la historia de Turquía, y la película resultó ser algo diferente.


Creo que el proceso de producción afecta realmente lo que la película termina siendo. Nos esforzamos mucho para que trabajaran mujeres y personas trans y no binarias en cada etapa de la filmación. Esta película está hecha por gente que se reunió con camaradería y amistad. Kanka Productions está basada en el compañerismo transfeminista. Quiero que la película aporte esperanza, que sane, porque acarreamos muchos traumas en nuestros cuerpos: esto es lo que nos constituye y lo que nos conecta. La sanación es un proceso que nunca termina, y tenemos que crear espacios para respirar. #resistayol es una hora de respiración colectiva.»
 

Boysan Yakar en #resistayol

«Bueno, lxs lubunyas (queers) estábamos sentadxs en el parque, y de pronto llegaron topadoras y todxs nos enojamos. En realidad, en resumen, eso fue suficiente . Es el parque de lxs lubunyas, y teníamos treinta días para explicar eso a esta ciudad enorme. Todxs reconocen que a la noche los ibnes (putos) cogen en ese parque... El bloque LGBTI llevó a nuestra comunidad ahí. Ya no confiábamos en el Estado s y la policía, y no teníamos seguridad; hemos establecido nuestras propias formas de hacer las cosas, nuestras propias leyes y costumbres para sobrevivir... Rápidamente, llevamos nuestra ley a Gezi. En un esfuerzo por establecer un lenguaje y un entendimiento comunes entre todos estos grupos, el lenguaje LGBT de unión y solidaridad se propagó por todo el parque. Todos los días había una Marcha del Orgullo, todxs decían continuamente “ayol”. Embellecimos el lenguaje apestoso y polvoriento de la izquierda. Supongo que tuvimos este nivel de impacto porque hemos sido repudiadxs todos estos años. Desde lxs más radicales hasta lxs más conservadorxs y nacionalistas, todxs nos necesitaban, porque todxs nos habituamos a ser confrontadxs por todo. Ellxs no estaban acostumbradxs a tanta energía, a nuestra energía. Por eso esta  fue una gran arena política  para nosotrxs. Todos los días hacíamos realidad aquí nuestra mayor y principal lucha, o sea, una lucha por la visibilidad y el reconocimiento. Por eso dejamos Gezi con una gran victoria.»
 


VEGAN INCLUSIVE TRANS CAKE [TORTA TRANS VEGANA INCLUSIVA]

por Pembe Hayat

  «... un manifiesto multifacético que muestra la alegría que existe en las amistades dentro de la comunidad queer de Turquía, como despliegues de rebelión y resistencia.»
 
    - Nosarieme Garrick, cineasta galardonada

«... diversión, luz, y azar. En un mundo constantemente marcado por las  cicatrices de  la violencia contra la comunidad trans, nada, ninguna acción, está (desafortunadamente) privada de significado. De modo que ¡por más alegría, más amor, y más azar significativo!»

    - Hers is Ours Collective, organizadorxs del Outsider Moving Art & Film Festival 

Cayan Azadi en Vegan Inclusive Trans Cake

«Hola Barbies, Kens, muñecas de porcelana, Olivia Olivo, muñecas Pimpollo. Novias de Chucky, hermanas de Chucky, cuñados de Chucky y, por último pero no menos importante, estimados amantes de los cuñados.
 
Entonces, por qué hicimos esta torta.
 
Ahora recibimos la noticia de que una trabajadora sexual trans ha intentado suicidarse debido a la violencia de los vigilantes y la policía en las calles. En este momento, está siendo retenida en un puesto de policía y es exactamente por eso que hicimos esta torta. Esta torta travesti es horneada para mostrar que existimos en todas las partes de la vida, que existimos persistentemente, y esta torta muestra que no seremos erradicadas o ignoradas en esta sociedad.
 
Sí, hay violencia en nuestras vidas y sí, también hay mucha falta de respeto [shade], pero a pesar de todo eso igual podemos divertirnos, disfrutando de la vida todo lo que podemos. ¡Buen provecho, hermana!»


YOUR FATHER WAS BORN 100 YEARS OLD AND SO WAS THE NAKBA [TU PADRE NACIÓ TENIENDO 100 AÑOS, IGUAL QUE LA NAKBA]  ابوكي خلق عمره ١٠٠ سنة، زي النكبة

por Razan AlSalah


SUBMARINE [SUBMARINO]

por Mounia Akl

«Este film está dirigido como se escribe un poema: es simple, un poco abstracto, y conmovedor.»
 
    - Hers is Ours Collective, organizadorxs del Outsider Moving Art & Film Festival 

 

Esra Ozban:

Esra Ozban es unx programadorx y cineasta turcx. Su trabajo artístico, curatorial y académico se cruza con las prácticas críticas de archivo, el trabajo sexual, la pornografía y las culturas cinematográficas feministas/queer, entre otras. 


Síguenos en las redes sociales para recibir noticias sobre futuros eventos y proyecciones:

  • Facebook: @AWIDWomensRights
  • Instagram: @awidwomensrights
  • Twitter ENG: @awid
  • Twitter FR: @awid_fr
  • Twitter ES: @awid_es
  • LinkedIn: Association for Women's Rights in Development (AWID)

 

Nós redistribuímos recursos para os nossos parceires beneficiários e identificamo-nos como um fundo feminista e/ou de mulheres. Devemos participar no inquérito?

Não, apreciamos muito o vosso trabalho, mas atualmente não solicitamos respostas de fundos feministas e de mulheres. Encorajamos-vos a partilhar o inquérito com os vossos parceires beneficiários e as vossas redes feministas.

Fadila M.

Fadila M. was a Soulaliyate tribal activist from Azrou, the Ifrane region of Morocco. She fought against a specific form of land discrimination directed against tribal women.

As part of the Soulaliyate Women’s Land-Use Rights Movement, she worked towards overhauling the framework legislation relating to the management of community property through the 2019 adoption of three projects of laws guaranteeing the equality of women and men.

According to the customary laws in force, women had no right to benefit from the land, especially those who were single, widowed or divorced. The rights to collective land in Morocco were transmitted traditionally between male members of a family of over 16 years of age. Since 2007, Fadila M. had been part of the women’s movement, the first grassroots nationwide mobilization for land rights. Some of the achievements included that in 2012 for the first time Soulaliyate women were able to register on the lists of beneficiaries and to benefit from compensation relating to land cession. The movement also managed to get the 1919 dahir (Moroccan King's decree) amended to guarantee women the right to equality.

Fadila M. died on 27 September 2018. The circumstances of her death are unclear. She was part of a protest march connected to the issue of collective land and while authorities reported her death as being accidental, and her having a cardiac arrest on the way to the hospital, the local section of the Moroccan Association of Human Rights (AMDH) pointed out that Fadila was suffocated by a member of the police force using a Moroccan flag. Her family requested investigation but the results of the autopsy were not known.

Find out more about the Soulaliyate Women’s Land-Use Rights Movement


Please note: As there was no photograph/image of Fadila M. available to us, the artwork (instead of a portrait) aims to represent what she fought and worked for; land and rights to live and have access to that land and what grows on it.

Les acteurs et actrices antidroits

Chapitre 4

Un réseau complexe et mouvant d’antidroits exerce une influence croissante dans les sphères internationales et les politiques locales. Souvent soutenu·e·s par des financements d’origine imprécise, ces acteur·rice·s renforcent leur impact en créant des alliances tactiques entre thématiques, régions et croyances.

Image from #GenderAndSex Conference
© HazteOir.org/Flickr
23.02.2018 I Congrès international sur le génie, le sexe et l'éducation (#GenderAndSex Conference)

Alors que les discours des fascistes et fondamentalistes sont tout à fait nationalistes, leurs assises idéologiques, alliances politiques et réseaux de financement ne connaissent pas de frontières. Parfois soutenus par des flux de financement d’origine obscure, en lien avec de grosses entreprises ou des partis d’extrême droite, ces groupes concluent des alliances stratégiques, voire avec des sous-groupes de mouvements féministes et pour les droits des femmes, dans certains cas, tout en s’éloignant d’éléments ouvertement extrêmes pour acquérir davantage de légitimité. Ces acteur·rice·s diffusent et reproduisent également partout dans le monde leur modèle d’organisation antidroits : leurs manières de faire campagne, de faire pression ou de mener des actions stratégiques en justice.

Sommaire

  • CitizenGo
  • Alliance Defending Freedom (ADF)
  • Le financement des antidroits
  • Les liens entre féministes antitrans et fondamentalistes chrétien·ne·s
  • Exercice : Cartographions le paysage
  • Histoire du mouvement de la résistance. Catolicadas, un outil de communication efficace pour promouvoir l’égalité des genres et les droits sexuels et reproductifs

Lire le chapitre complet

Snippet FEA Workers Persecution S4 (EN)

A law enforcement agent in pink riot gear holding a stick

WORKERS PERSECUTION

The Feminist Realities Magazine

The Feminist Realities Magazine

We bring you an inspiring curated collection of powerful stories and images of transformation and resistance created by feminist activists, writers and artists from all over the world.

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هل استطيع الوصول للاستطلاع وتعبئته من هاتفي؟

نعم، يمكن تعبئة الاستطلاع من خلال الهاتف الذكي.

Rosa Candida Mayorga Muñoz

Rosa Cándida Mayorga Muñoz fue una trabajadora social guatemalteca, líder sindical y defensora de los derechos laborales. La llamaban cariñosamente «Rosita».

En la década de 1980, Rosa se convirtió en la primera mujer integrante del Comité Ejecutivo del Sindicato de Trabajadores del Instituto Nacional de Electrificación (STINDE), un sindicato al que se había incorporado originalmente para defender los derechos laborales de las mujeres. Para ella, esto significaba luchar por la igualdad de oportunidades en una empresa en la que muchas mujeres enfrentaban un sistema discriminatorio y violento creado por las autoridades de la compañía. Rosa también había sufrido acoso sexual en su lugar de trabajo, tanto por parte de sus compañeros de trabajo, como de los funcionarios. Sin embargo, no era alguien a quien se pudiera acallar.

Rosa continuó con su pelea y fue parte del esfuerzo por configurar la lucha en una forma más específica, la del «Pacto colectivo de condiciones de trabajo INDE -STINDE». Este pacto fue pionero: el primero en tipificar el concepto de acoso (sexual) en Guatemala. Sirve como referencia para la legislación guatemalteca en temas laborales, y es un estímulo para otros sindicatos.

«No tenía herramientas de lucha más que sus propios ideales... Muchas veces fue intimidada, hostigada para dejar por un lado la lucha, pero su valentía a enfrentar generaba la imagen de la esperanza para los sindicalistas de bases. Rosita se trazó una imagen de respeto, no solo dentro de su sindicato, sino ante las autoridades de la institución, ante el movimiento de mujeres; fue reconocida, como pionera, del movimiento de mujeres sindicalistas, en un espacio que había sido más desarrollado por hombres.» - Maritza Velasquez, ATRAHDOM

Rosa falleció el 4 de abril de 2018, a la edad de 77 años.

كلمة العدد | التجسيدات العابرة للحدود

فقدان الكلام 

ترجمة رولا علاء الدين

Chinelo Onwualu
Ghiwa Sayegh
تشينيلو أونوالو غوى صايغ
«لمّا نكون مُستَقتِلين للتغيير، لِكوننا في حالة مرضٍ وتمرّدٍ في آنٍ واحد، تخلو لغتنا من التعقيد وتنصقل لتعكس أبسط ركائزها. (...) لكن، ومع استمرار المرض والثورة، تصبح اللغة المُصاغة في هذه الحالة وعنها أكثرَ عمقاً وأكثرَ تعبيراً عن الفوارق الدقيقة، وتكون منغمسة انغماساً شديداً في التجربة الإنسانية التي يواجه فيها المرءُ حدودَه عند نهاية العالم».

- جوانا هيدفا


بدأنا التخطيط لعدد المجلّة هذا مع نانا داركوا قُبيل مهرجان «ابدعي، قاومي، غيٍّري: مهرجان للحراكات النسوية» لجمعية «حقوق المرأة في التنمية» AWID، وانطلقنا وقتها من سؤالٍ هو بالأحرى ملاحظة حول حالة العالم، ورغبة في تغيير الاعتقادات السائدة: لماذا لا تزال جنسانيّاتنا وملذّاتنا تخضع للترويض والتجريم مع أنّه يتمّ تذكيرنا مراراً وتكراراً بأنّها لا تأتي بأيّ قيمة أو تطوّر؟ واستنتجنا أنّ جنسانيّاتنا، لمّا تتجسّد، فيها ما يتعارض مع النظام العالمي الذي ما زال يتجلّى من خلال ضوابط الحدود، والتمييز العنصري في توزيع اللقاح، والاستعمار الاستيطاني، والتطهير العرقي، والرأسمالية المُستشرية. هل يمكننا إذاً القول إنّ لجنسانيّاتنا قدرةٌ تعطيليّة؟ وهل يصحّ هذا القول عندما ننظر إلى واقع حركاتنا التي يتمّ الاستيلاء عليها ومأسستها في سعيها للتزوّد بالموارد؟

عندما يصبح عملنا المتجسّد مادةً ربحية في أيدي الأنظمة التي نسعى إلى إزالتها فلا عجب أنّ جنسانيّاتنا وملذّاتنا توضَع جانباً من جديد، لا سيّما أنّها ليست مُربِحة بما فيه الكفاية. لقد تساءلنا، في مواقف عدّة خلال إنتاج هذا العدد، ما الذي سيحدث إذا رفضنا مراعاة خدمات الرأسمالية الأساسية؟ لكن هل نجرؤ على هذا التساؤل وقد أنهكنا العالم؟ ربما يتمّ تجاهل جنسانيّاتنا بهذه السهولة لأنها لا تُعتَبَر أشكالاً من أشكال الرعاية. ربما ما نحتاجه هو أن نعيد تصوّر الملذّة كشكلٍ من أشكال الرعاية الجذرية، تكون أيضاً مناهضة للرأسمالية وللمؤسساتية.

بدأنا العام الثاني على التوالي لحالة الجائحة العالمية وكان لا بدّ أن تركّز مقاربتنا للتجسيدات العابرة للحدود القومية على ملاحظة سياسيّة واحدة: أنّ الرعاية هي شكل من أشكال التجسيد. وبما أنّ جزءاً كبيراً من عملنا يتمّ حالياً من دون أيّ اعتبار للحدود بيننا وفينا فنحن جميعاً متجسّدون بشكلٍ عابرٍ للحدود القومية، ونحن جميعاً نفشل. نحن نفشل في رعاية ذاتنا، والأهمّ أننا نفشل في رعاية الآخرين. 

هذا الفشل ليس من صنع أيدينا.

إنّ الكثير من أهالينا اعتبروا العملَ مقايضةً، أي أنّه شيءٌ يُعطى مقابل أجرٍ وضمانة بالحصول على الرعاية. صحيحٌ أنّه تمّ الإخلال بهذه المقايضة أحياناً، لكنّ أهالينا ما كانوا يأملون أنّ عملهم سيوفّر لهم الرِضا الذاتي، وكانوا يعتمدون لهذا الغرض على نشاطهم الترفيهي وهواياتهم ومجتمعاتهم. أمّا اليوم، فنحن، أولادهم الذين تمّت تهيأتنا لنعتبر العمل متشابكاً مع الشغف، توقّعاتنا مختلفة تماماً. نحن لا نفرّق بين العمل والترفيه ونعتبرهما عنصراً واحداً، وبالنسبة للكثيرين بيننا، العمل بات يجسّد الذات بكاملها.

إنّ الرأسمالية القائمة على الأبويّة والمغايَرة الجنسية لا ترى لنا أيّ قيمة، ناهيك عن عملنا وجنسانيّاتنا. إنّه نظامٌ سيستمر في طلب المزيد والمزيد منك إلى يوم مماتك، وبعدها سيستبدلك بشخصٍ آخر. يُنتَظَر منّا أن نكون على اتصال بالإنترنت في كلّ الأوقات، ما يعني أنّه لا يمكننا الانصراف عن العمل حتى لو شئنا ذلك. إنّ هذا التَتْجير للعمل وفصله تماماً عن الشخص قد تسلّل إلى كلّ ناحية من نواحي حياتنا، ويتمّ ترسيخ هذا التَتْجير حتى في الأوساط الأكثر نسويّة والأكثر تمرّداً وتشدّداً.

لطالما حمَلَت تطلّعات الرأسمالية ضرراً كبيراً بالأجساد التي لا تتوافق مع النموذج المثالي، وأولئك الذين يسعون إلى ترسيخ سلطتهم استغّلوا الجائحة كفرصة لاستهداف النساء والأقلّيات الجنسية وكلّ مَن يعتبرونه دون المستوى.

تمّ إعداد هذا العدد الخاص بفعل هذا الواقع، وطبعاً، رغماً عن هذا الواقع.

لقد قدّم المساهمون/ المساهمات والعاملون/ العاملات كلّهم تقريباً مجهوداً يفوق طاقاتهم، وكلٌّ من الأعمال الواردة هنا هو نتاجُ سعيٍ شغوف ولكن أيضاً نتاج حالة إنهاكٍ شديد. يشكّل هذا العدد، بطريقة غايةً في الواقعية، تجسيداً للعمل العابر للحدود القومية، علماً أنّ أيّ عمل في عصرنا الرقمي أصبحَ عابراً لتلك الحدود. وفيما فُرِضَ علينا تقبّل حدود جديدة، وهي حدود لا تخالف النظام القائم سابقاً بل تعزّزه، اختبرنا مباشرةً، إلى جانب مساهمينا، كيف تستنزف الرأسمالية طاقاتنا القصوى – كيف يصبح من الصعب بناء الحجج المتماسكة لا سيّما حينما تكون خاضعة لموعد التسليم. إننا نعاني بشكلٍ جَماعي من فقدان الكلام لأننا أساساً نعاني من فقدان العوالم.

الشعور بالضياع والوحدة في عالم الرأسمالية القائمة على الأبوية والمغايَرة الجنسية هو بالتحديد ما يجعل من الضروري أن نعيد تقييم أنظمة الرعاية التي نتّبعها وأن نُعيد النظر فيها. لقد حوّلنا هذا العدد بوسائل عدّة إلى مهمّة لإيجاد الملذّة في الرعاية. فبما أنّه بات من الصعب بناء الحجج المتماسكة، برزت الوسائط البصرية والمبتكرة وقد لجأ كثرٌ ممن اعتادوا الكتابة إلى هذه الوسائط كطرقٍ لإنتاج المعرفة واختراق الضباب الفكريّ الذي أحاط بنا. لقد ضمّينا في هذا العدد أصواتاً أخرى، بالإضافة إلى أصواتٍ عدّة استمعتم إليها في المهرجان، كوسيلة لإطلاق حوارات جديدة وتوسيع آفاقنا.

بما أنّ كلماتنا قد سُرِقَت منّا، يقضي واجبنا السياسي بأن نستمر في إيجاد الوسائل للحفاظ على أنفسنا والآخرين والاهتمام بأنفسنا وبالآخرين. بالتالي، يصبح تجسّدنا نوعاً من المقاومة إذ هو بداية إيجادنا لسبيل الخروج من الذات ودخولها.
 

Woman with hijab-squiggle

Snippet FEA HEALTH CONDITIONS (ES)

Ilustración de una persona de piel blanca con uniforme amarillo de enfermera con estetoscopio en la mano,

BUENAS CONDICIONES DE SALUD

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Mirna Teresa Suazo Martínez

Mirna Teresa Suazo Martínez faisait partie de la communauté garifuna (afro-descendante et autochtone) Masca et vivait sur la côte nord des Caraïbes du Honduras. Elle était leader de sa communauté et fervente défenseure du territoire autochtone, une terre qui a été violée le jour où l'Institut national agraire du Honduras a accordé des licences territoriales à des personnes extérieures à la communauté. 

Ce fait déplorable a été à l'origine de harcèlements, d'abus et de violences répétés contre Masca, où les intérêts économiques de différents groupes se sont heurtés à ceux des forces armées et des autorités honduriennes. Selon l'Organisation fraternelle noire du Honduras (OFRANEH), la stratégie de ces groupes consiste à expulser et exterminer la population autochtone. 

« Masca, la communauté garifuna située près de la vallée du Cuyamel, se trouve dans la zone d’influence de l’une des villes présumées modèles, une situation qui a déclenché des pressions territoriales le long de la côte garifuna. » - OFRANEH, 8 septembre 2019

Mirna Teresa, présidente du conseil d'administration de la communauté de Masca à Omoa, avait elle aussi fermement rejeté la construction de deux centrales hydroélectriques sur la rivière Masca, qui porte le même nom que sa communauté.

« La communauté garífuna attribue l'aggravation de la situation dans leur région à son opposition à l'exploitation touristique, à la monoculture de palmiers africains et au trafic de drogue, tandis qu'elle cherche parallèlement à construire une vie alternative au travers de la culture de la noix de coco et d'autres produits d'autoconsommation ». - Voces Feministas, 10 septembre 2019 

Mirna Teresa a été assassinée le 8 septembre 2019 dans son restaurant « Champa los Gemelos ». 

Elle est l'une des six femmes défenseures garifunas à avoir été assassinées rien qu'entre septembre et octobre 2019. Selon l'OFRANEH, les autorités n'ont pas mené d'enquête sur ces crimes.

« En ce qui concerne les communautés garífuna, une grande partie des homicides sont liés au régime foncier et à la gestion des terres. Cependant, les querelles entre les organisations criminelles ont abouti à des meurtres, à l’instar de ceux ayant eu lieu récemment à Santa Rosa de Aguán ». - OFRANEH, 8 septembre 2019