
Joan Kagezi

Les défenseuses des droits humains s’auto-identifient comme des femmes ou des personnes lesbiennes, bisexuelles, transgenres, queer, intersexes (LBT*QI) ou autres qui défendent les droits. Elles sont exposées à des risques et à des menaces de nature genrée à cause du travail qu’elles accomplissent en faveur des droits humains et/ou en conséquence directe de leur identité de genre ou de leur orientation sexuelle.
Les défenseuses des droits humains subissent une violence et une discrimination systématique du fait de leur identité, mais aussi à cause de la lutte indéfectible qu’elles mènent en faveur des droits, de l’égalité et de la justice.
Le programme Défenseuses des droits humains collabore avec des partenaires internationaux et régionaux ainsi qu’avec les membres de l’AWID pour éveiller les consciences à propos de ces risques et menaces, pour plaider en faveur de mesures féministes et holistiques de protection et de sécurité et enfin pour promouvoir activement une culture du souci de soi et du bien-être collectif au sein de nos mouvements.
Les défenseuses des droits humains sont exposées aux mêmes types de risques que toutes les autres personnes qui défendent les droits humains, les communautés et l’environnement. Mais elles se heurtent également à des violences fondées sur le genre et à des risques spécifiques de nature genrée parce qu’elles remettent en cause les normes de genre en vigueur au sein de leur culture et de leur société.
En défendant les droits, les défenseuses des droits humains sont exposées aux risques suivants :
Nous travaillons en collaboration avec des réseaux internationaux et régionaux ainsi qu’avec nos membres pour :
Nous travaillons à la promotion d’une approche holistique de la protection des défenseuses, qui suppose notamment :
Nous souhaitons contribuer à l’avènement d’un monde plus sûr pour les défenseuses des droits humains, leurs familles et leurs communautés. Nous pensons que le fait que les défenseuses œuvrent en faveur des droits et de la justice ne devrait pas leur faire courir de risques ; leur action devrait être appréciée et célébrée.
Promouvoir la collaboration et la coordination entre organisations de défense des droits humains et des droits des femmes au niveau international, et ce dans le but de d’apporter des réponses plus efficaces dans le domaine de la sureté et du bien-être des défenseuses des droits humains ;
Soutenir les réseaux régionaux de défenseur-es et les organisations, parmi lesquels l’Initiative mésoaméricaine des défenseuses des droits humains et la Coalition des défenseuses des droits humains du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, dans leur travail de promotion et de renforcement de l’action collective en faveur de la protection des défenseuses – en mettant en avant l’importance de la création de réseaux de solidarité et de protection, de la promotion du souci de soi ainsi que du plaidoyer et de la mobilisation en faveur de la sécurité des défenseuses ;
Faire en sorte que les défenseur-e-s des droits humains et les risques qui les menacent soient plus visibles et mieux reconnus, en rassemblant des informations sur les agressions dont elles sont victimes et en produisant et diffusant des documents sur leurs luttes, leurs stratégies et les difficultés qu’elles rencontrent ;
Organiser des réponses urgentes fondées sur la solidarité internationale dès que des défenseuses des droits humains sont en danger, par le biais de nos réseaux internationaux et régionaux mais aussi grâce à nos membres.
There are varied conceptualizations about the commons notes activist and scholar Soma Kishore Parthasarathy.
Conventionally, they are understood as natural resources intended for use by those who depend on their use. However, the concept of the commons has expanded to include the resources of knowledge, heritage, culture, virtual spaces, and even climate. It pre-dates the individual property regime and provided the basis for organization of society. Definitions given by government entities limit its scope to land and material resources.
The concept of the commons rests on the cultural practice of sharing livelihood spaces and resources as nature’s gift, for the common good, and for the sustainability of the common.
Under increasing threat, nations and market forces continue to colonize, exploit and occupy humanity’s commons.
In some favourable contexts, the ‘commons’ have the potential to enable women, especially economically oppressed women, to have autonomy in how they are able to negotiate their multiple needs and aspirations.
Patriarchy is reinforced when women and other oppressed genders are denied access and control of the commons.
Therefore, a feminist economy seeks to restore the legitimate rights of communities to these common resources. This autonomy is enabling them to sustain themselves; while evolving more egalitarian systems of governance and use of such resources. A feminist economy acknowledges women’s roles and provides equal opportunities for decision-making, i.e. women as equal claimants to these resources.
Não, apreciamos o seu trabalho, mas, de momento, não solicitamos respostas de indivídues.
Perçue comme une figure transformatrice sur les fronts de la lutte pour la libération et pour la liberté, Andaiye a été l’une des premières membres de l’Alliance du peuple travailleur (WPA), un parti socialiste en Guyane de lutte contre le régime autoritaire et participait activement à sa direction. Tout au long de sa vie, Andaiye a placé la justice pour la classe ouvrière et les droits des femmes vivant en milieu rural au centre de son action militante, et s’est battue pour l’élimination des obstacles ethniques entre les femmes indo-guyaniennes et celles afro-guyaniennes.
Andaiye fut l’une des membres fondatrices des Red Thread Women, une organisation de défense pour la juste rémunération du travail en soins réalisé par les femmes, en plus d’avoir travaillé à l’Université des Indes occidentales et avec l’organisation CARICOM. N’hésitant jamais à défier les gouvernements, elle a pointé du doigt les déséquilibres en matière de genre dans les conseils de l’État, les lois discriminatoires à l’égard des travailleur·euse·s du sexe, réclamé le droit à l’avortement en Jamaïque et s’est érigée contre les accords commerciaux, tels que le Marché unique des Caraïbes (CSME) qui permettait la libre circulation des travailleuses domestiques migrantes mais n’octroyait pas ce même droit à leurs enfants.
Elle a publié plusieurs essais universitaires, rédigé des articles d’opinion et révisé les derniers ouvrages de Walter Rodney, l’activiste politique guyanien et coleader du WPA assassiné en 1980. Survivante du cancer, Andaiye a été l’une des fondatrices de la Ligue guyanienne contre le cancer et du Groupe d’action des survivant·e·s du cancer. Elle a également siégé au conseil exécutif de l’Association caribéenne pour la recherche et l’action féministes (CAFRA), dirigé le Help and Shelter et été membre du conseil de la Commission nationale guyanienne pour les femmes. Elle a par ailleurs reçu de nombreux prix, dont le prestigieux Golden Arrow of Achievement (quatrième prix le plus important du Guyana).
Andaiye est décédée le 31 mai 2019, à l’âge de 77 ans. Les nombreux hommages que lui ont rendus des activistes, ami·e·s et celles et ceux que sa vie aura inspiré·e·s ont parlé avec éloquence de son incroyable héritage et de la grandeur de son humanité.
En voici quelques-uns :
“« Andaiye m’a profondément marquée... elle représenttait tellement de choses pour moi : une éducatrice, une combattante, elle m’a appris l’autocritique, à réfléchir plus clairement, elle m’a enseigné la survie, ce qu’est le courage sans limite, la compassion, à dépasser les apparences et traiter les gens comme des gens, sans se laisser impressionner par le statut, la classe, la race... rien de tout ça. » Peggy Antrobus, activiste féministe, auteure, universitaire, La Barbade
« Le genre d’idéalisme confiant que démontrait Andaiye, cette disposition à affronter le monde et une croyance tenace qu’on pouvait vraiment le changer... Cette politique de l’espoir... Comment honorer sa vie, son héritage et sa mémoire autrement qu’en poursuivant le travail éthiquement et en continuant à s’autocritiquer? Et de faire en sorte de placer le travail de soins des femmes au centre. » - Tonya Haynes, La Barbade
« Je peux l’entendre se moquer de notre engouement collectif. Donc, je ris tout en pleurant. Chapeau bas, chère Andaiye, et merci pour tout. Que le voyage de ton esprit soit aimant et lumineux. Passe le bonjour à Walter et aux ancêtres. » - Carol Narcisse, La Jamaïque
Despite their rigidity in matters of doctrine and worldview, anti-rights actors have demonstrated an openness to building new kinds of strategic alliances, to new organizing techniques, and to new forms of rhetoric. As a result, their power in international spaces has increased.
There has been a notable evolution in the strategies of ultra conservative actors operating at this level. They do not only attempt to tinker at the edges of agreements and block certain language, but to transform the framework conceptually and develop alternative standards and norms, and avenues for influence.
Ultra conservative actors work to create and sustain their relationships with State delegates through regular training opportunities - such as the yearly Global Family Policy Forum - and targeted training materials.
These regular trainings and resources systematically brief delegates on talking points and negotiating techniques to further collaboration towards anti-rights objectives in the human rights system. Delegates also receive curated compilations of ‘consensus language’ and references to pseudo-scientific or statistical information to bolster their arguments.
The consolidated transmission of these messages explains in part why State delegates who take ultra-conservative positions in international human rights debates frequently do so in contradiction with their own domestic legislation and policies.
Anti-rights actors’ regional and international web of meetings help create closer links between ultra conservative Civil Society Organizations (CSOs), States and State blocs, and powerful intergovernmental bodies. The yearly international World Congress of Families is one key example.
These convenings reinforce personal connections and strategic alliances, a key element for building and sustaining movements. They facilitate transnational, trans-religious and dynamic relationship-building around shared issues and interests, which leads to a more proactive approach and more holistic sets of asks at the international policy level on the part of anti-rights actors.
States and State blocs have historically sought to undermine international consensus or national accountability under international human rights norms through reservations to human rights agreements, threatening the universal applicability of human rights.
The Convention on the Elimination of Discrimination Against Women (CEDAW) has received by far the most reservations, most of which are based on alleged conflict with religious law. It is well-established international human rights law that evocations of tradition, culture or religion cannot justify violations of human rights, and many reservations to CEDAW are invalid as they are “incompatible with the object and purpose” of CEDAW. Nevertheless, reference to these reservations is continually used by States to dodge their human rights responsibilities.
‘Reservations’ to UN documents and agreements that are not formal treaties - such as Human Rights Council and General Assembly resolutions - are also on the rise.
In an alarming development, regressive actors at the UN have begun to co-opt existing rights standards and campaign to develop agreed language that is deeply anti-rights.
The aim is to create and then propagate language in international human rights spaces that validates patriarchal, hierarchical, discriminatory, and culturally relativist norms.
One step towards this end is the drafting of declarative texts, such as the World Family Declaration and the San Jose Articles, that pose as soft human rights law. Sign-ons are gathered from multiple civil society, state, and institutional actors; and they are then used a basis for advocacy and lobbying.
As part of a strategic shift towards the use of non-religious discourses, anti-rights actors have significantly invested in their own ‘social science’ think tanks. Given oxygen by the growing conservative media, materials from these think tanks are then widely disseminated by conservative civil society groups. The same materials are used as the basis for advocacy at the international human rights level.
While the goals and motivation of conservative actors derive from their extreme interpretations of religion, culture, and tradition, such regressive arguments are often reinforced through studies that claim intellectual authority. A counter-discourse is thus produced through a heady mix of traditionalist doctrine and social science.
This is one of the most effective strategies employed by the religious right and represents a major investment in the future of anti-rights organizing.
Youth recruitment and leadership development, starting at the local level with churches and campuses, are a priority for many conservative actors engaged at the international policy level.
This strategy has allowed for infiltration of youth-specific spaces at the United Nations, including at the Commission on the Status of Women, and creates a strong counterpoint to progressive youth networks and organizations.
When it comes to authoritative expert mechanisms like the UN Special Procedures and Treaty Monitoring Bodies and operative bodies like the UN agencies, regressive groups realize their potential for influence is much lower than with political mechanisms[1].
In response, anti-rights groups spread the idea that UN agencies are ‘overstepping their mandate,’ that the CEDAW Committee and other Treaty Bodies have no authority to interpret their treaties, or that Special Procedures are partisan experts working outside of their mandate. Anti-rights groups have also successfully lobbied for the defunding of agencies such as the United Nations Population Fund (UNFPA).
This invalidation of UN mechanisms gives fuel to state impunity. Governments, when under international scrutiny, can defend their action on the basis that the reviewing mechanism is itself faulty or overreaching.
Conservative non-state actors increasingly invest in social media and other online platforms to promote their activities, campaign, and widely share information from international human rights spaces.
The Spanish organization CitizenGo, for example, markets itself as the conservative version of Change.org, spearheading petitions and letter-writing campaigns. One recent petition, opposing the establishment of a UN international day on safe abortion, gathered over 172,000 signatures.
By understanding the strategies employed by anti-rights actors, we can be more effective in countering them.
[1] The fora that are state-led, like the General Assembly, the Human Rights Council, and UN conferences like the Commission on the Status of Women and the Commission on Population and Development
Nous vous présentons le syndicat Réseau Solidarité, un syndicat de la santé et des services dirigé majoritairement par des femmes. Émergeant en réponse à la précarité croissante, aux salaires insuffisants et aux environnements de travail hostiles auxquels les travailleur·euses géorgien·es sont confrontés quotidiennement, le Syndicat Réseau Solidarité se bat pour des lieux et des conditions de travail décents.
Son objectif? Créer un mouvement syndical national démocratique. Pour ce faire, il s'est associé à d'autres syndicats locaux et régionaux et a lentement constitué un réseau de syndicats, permettant à de plus en plus de travailleuses de devenir dirigeantes syndicales en cours de route.
Son approche politique est holistique. Pour le syndicat Réseau Solidarité, les questions relatives aux droits du travail sont directement liées aux programmes et réformes politiques et économiques nationaux plus larges. C'est pourquoi iels font pression pour la justice fiscale, les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+, et luttent contre le démantèlement de l'État-providence géorgien.
Le syndicat Réseau Solidarité fait également partie de Grève Sociale Transnationale (Transnational Social Strike, TSS), une plate-forme et infrastructure politique inspirée par l'organisation des migrant·e·s, des femmes et des travailleur·euses essentiel·les qui s'efforcent de créer des liens entre les mouvements ouvriers à travers le monde et de fomenter la solidarité globale.
She was part of democratic, anti-war and LGBT movements. In her activism, Yelena was a fierce critic of President Vladimir Putin and his administration, expressing her opposition against Russia’s annexation of Ukraine’s Crimea peninsula and the ill-treatment of prisoners.
Yelena came out as bisexual earlier in 2019.
"Her coming out was a surprise to me, and I didn't approve of it. I told her 'Listen, Lena, you already have a target painted on you because of your political activity. You've just pinned another to your chest."
- Olga Smirnova
Yelena did receive multiple death threats and according to some of her acquaintances, was listed on a homophobic website that called on its visitors to hunt down LGBT persons. She reported the threats to the police, however the Russian state failed to provide protection.
But even in a society where political opposition, as well as members of the LGBT community and advocates for their rights, face continuous and increasing violence, Yelena kept campaigning for social justice and equality.
“She did not miss a single action. And they detained her so often that I already lost count,”
- Olga Smirnova (fellow opposition activist and friend).
Yelena was murdered on 21 July 2019, not far from home. A suspect was arrested but according to some sources, many friends and fellow activists believe that the suspect is a scapegoat and that this was a targeted political killing.
For Yelena’s relatives and friends, her case remains unsolved even though the suspect confessed.
In 2013, Russia passed legislation banning the spreading of what it described as ‘gay propaganda’. In 2014, Human Rights Watch published a report relating to this.
La creciente dominación de los mercados y las instituciones financieras internacionales en la definición de las políticas económicas globales ha tenido como resultado la captura del poder popular en aras del interés de las élites y las grandes corporaciones globales.
Este informe «Flujos financieros ilícitos» analiza su desproporcionado impacto de género y los marcos legales y políticos actuales que permiten a las corporaciones multinacionales beneficiarse del fraude fiscal en detrimento de las personas y el planeta.
El informe concluye con siete recomendaciones feministas de políticas para exigir transparencia y rendición de cuentas por parte del poder corporativo para frenar los flujos financieros ilícitos.
Los flujos financieros ilícitos están llamando la atención como nunca antes: ya sea en negociaciones para el desarrollo, como los que condujeron a la Agenda 2030 y a la Conferencia sobre Financiamiento para el
Desarrollo de Addis Abeba en 2015, u ocupando los titulares de los medios hegemónicos con la publicación de documentos filtrados sobre finanzas offshore conocidos como los «Panama Papers». En otro ejemplo, en un
referendum de febrero de 2017, el pueblo ecuatoriano votó para prohibir que políticxs y funcionarixs públicxs posean acciones, compañías o capital en paraísos fiscales. El Gobierno de Ecuador es ahora, dentro del grupo
G-77, una de las voces principales que reclaman en las Naciones Unidas la creación de un organismo tributario global para poner fin a los paraísos fiscales.
Esta atención pública potencialmente da impulso para que lxs feministas, los movimientos sociales y lxs defensores de la justicia tributaria presionen por la transformación del sistema financiero internacional, donde
se arraigan desigualdades globales, incluidas las desigualdades de género.
Ofrecemos aquí siete pedidos de políticas como contribución a los crecientes esfuerzos de incidencia de actores por la justicia social, feministas, por los derechos de las mujeres y por la igualdad de género.
4. Promover la transparencia y la recolección de datos con perspectiva de género:
7. Poner fin a la impunidad de las actividades delictivas asociadas con los flujos financieros ilícitos y garantizar la rendición de cuentas:
Be part of an international feminist membership organization and community. Our members are based in all regions of the world, learning and supporting each other in a global network based on solidarity.
Tributo: Recordamos a lxs activistas feministas que cambiaron nuestro mundo
En esta galería en línea, rendimos homenaje a más de 450 valientes feministas y activistas de todas las regiones del mundo y 88 países que ya no están con nosotrxs.
Lxs traemos a todxs a nuestra memoria colectiva y llevamos su legado de lucha como nuestra antorcha en los movimientos feministas y por los derechos de las mujeres.
Usa los filtros para refinar tu búsqueda
Всего 47 вопросов, из которых 27 являются обязательными*, а остальные 20 – дополнительными. Большинство вопросов – это вопросы с множественным выбором. Мы надеемся, что вы ответите на все вопросы.
Magaly Quintana era conocida por muchxs en Nicaragua como 'La Maga'. Fue una historiadora feminista, activista y defensora inquebrantable de los derechos de las mujeres que exigía justicia para las víctimas de femicidio.
Magaly se comprometió a documentar y elaborar estadísticas sobre las mujeres y niñas que fueron asesinadas como resultado de la violencia sexual en el país.
Magaly también criticó al gobierno por la reforma de la Ley 779 que trata la violencia contra las mujeres. Como resultado del arduo trabajo de los movimientos de mujeres nicaragüenses, esta ley, antes de su reforma, incluía importantes disposiciones para penalizar el femicidio. Magaly argumentó que estas reformas legislativas debilitaban la ley, y limitaban la definición de los femicidios a homicidios, invisibilizando, como resultado, los delitos violentos contra las mujeres.
La organización feminista de Magaly se fundó a principios de los ‘80. Fue la directora de Mujeres Católicas por el Derecho a Decidir, que defiende el derecho al aborto terapéutico tras su prohibición en 2006. En 2018, apoyó las protestas contra el gobierno de Daniel Ortega.
Magaly nació en mayo de 1952 y falleció en mayo de 2019.
"Hasta luego, mi querida Magaly Quintana. Muchas gracias, gracias por tu legado. Te veremos de nuevo, tan fuerte y poderosa como siempre."- Erika Guevara Rosas (Directora Americana de Amnistía Internacional).