
Norma Angelica Bruno Roman

Les jeunes activistes féministes jouent un rôle crucial au sein des organisations et des mouvements pour les droits des femmes à travers le monde. Ce sont elles qui soulèvent les nouveaux problèmes auxquels les féministes sont confrontées aujourd'hui. Leur force, leur créativité et leur adaptabilité sont vitales pour assurer la viabilité des organisations féministes.
Pourtant, elles sont confrontées à toute une série d’obstacles particuliers, notamment l'accès limité au financement et au soutien, le manque de possibilités de renforcement des capacités et une augmentation considérable des agressions sur les jeunes défenseuses des droits humains. Ces obstacles entraînent un manque de visibilité qui rend leur intégration et leur participation effective au sein des mouvements pour les droits des femmes encore plus difficiles.
Le Programme d’activisme des jeunes féministes de l'AWID a été mis en place pour veiller à ce que les voix des jeunes femmes soient entendues et représentées dans le discours féministe. Nous voulons faire en sorte que les jeunes féministes aient un meilleur accès à du financement, à des opportunités de renforcer leurs capacités et aux processus internationaux.
En plus de soutenir directement les jeunes féministes, nous travaillons également avec des activistes des droits des femmes de tout âge pour élaborer des modèles et des stratégies d’organisation multigénérationnelles plus efficaces.
Nous souhaitons que les jeunes féministes puissent jouer un rôle actif dans les prises de décisions qui concernent leurs droits. Nos actions incluent :
Favoriser la mise en commun et le partage d'informations par la Plateforme de jeunes féministes. Étant donné l'importance des médias en ligne pour le travail des jeunes féministes, notre équipe a lancé la Plateforme de jeunes féministes en mai 2010. Elle a pour objectifs d’échanger des renseignements, de renforcer les capacités des membres par le truchement de webinaires et de discussions en ligne, et d'encourager la consolidation d’une communauté de jeunes féministes.
Soutenir la recherche et le renforcement des connaissances sur l'activisme des jeunes féministes, pour accroître la visibilité et l'influence de leur activisme au sein et entre les mouvements pour les droits des femmes et auprès d'autres acteurs-trices clés, tels les donateurs.
Faire la promotion de la collaboration multigénérationnelle, en explorant de meilleures façons de travailler ensemble.
Inciter les jeunes féministes à s’engager dans les processus internationaux relatifs au programme de développement, notamment ceux des Nations Unies.
S’assurer leur collaboration dans tous les domaines prioritaires de l'AWID, y compris le Forum, pour faire en sorte que leurs contributions, leurs perspectives, leurs besoins et leur activisme se traduisent dans les débats, les politiques et les programmes qui les concernent.
"She was not a person. She was a power."
- a fellow activist remembering Navleen Kumar
With commitment and integrity, she worked for more than a decade to protect and restore the lands of Indigenous people (adivasi) in Thane district, an area taken away by property and land developers using such means as coercion and intimidation. She fought this injustice and crime through legal interventions at different courts, realizing that manipulation of land records was a recurrent feature in most cases of land acquisition. In one of the cases, that of the Wartha (a tribal family), Navleen found out that the family had been cheated with the complicity of government officials.
Through her work, she helped restore the land back to the Wartha family and continued to pursue other cases of adivasi land transfers.
“Her paper on the impact of land alienation on adivasi women and children traces the history and complexities of tribal alienation from the 1970s, when middle class families began to move to the extended suburbs of Mumbai as the real estate value in the city spiralled.
Housing complexes mushroomed in these suburbs, and the illiterate tribals paid the price for this. Prime land near the railway lines fetched a high price and builders swooped down on this belt like vultures, to grab land from tribals and other local residents by illegal means.”
-Jaya Menon, Justice and Peace Commission
During the course of her activism, Navleen received numerous threats and survived several attempts on her life. Despite these, she continued working on what was not only important to her but contributed to changing the lives and realities of many she supported in the struggle for social justice.
Navleen was stabbed to death on 19 June 2002 in her apartment building. Two local gangsters were arrested for her murder.
Un an seulement après sa fondation, les membres de Nadia Echazú ont commencé à travailler dans la haute couture et ont organisé un défilé de mode dans l'historique hôtel Bauen.
Elles ont montré cinq modèles et quelques travailleuses de la coopérative textile ont même défilé avec leurs propres créations.
C'était révolutionnaire non seulement parce qu'elles concevaient des alternatives à la mode grand public, mais aussi parce qu'elles créaient des vêtements accessibles et inclusifs pour les corps trans et travesti.
Il n'y a pas d'économies féministes sans vêtements qui nous font nous sentir incroyables et confortables!
Today, many community knowledge systems are at risk.
Fast-paced economic, political, and cultural changes are bulldozing environments, practices and livelihoods. Various forms of knowledge are being erased from practice, commodified and colonized in the massive swallow of globalisation and in the promise of short-term gains or band aid solutions.
Buen Vivir, a concept adapted from Andean Indigenous peoples’ knowledges, is described as the collective achievement of a life in fulfillment, based on harmonic and balanced relations among human beings and all living beings, in reciprocity and complementarity. It means acknowledging that human beings are a part of nature, we depend on nature and are inter-dependent among ourselves.
Inherent in Buen Vivir is a vision that integrates production and reproduction as inseparable processes of the economy, of wealth production and living conditions.
In this sense, a broad understanding of Buen vivir from a feminist lens values relationships and resources mobilized in production and reproduction cycles—favouring equilibrium of not just the market kind—to guarantee continuity and changes as long as they are compatible with economic justice and life sustainability.
From a feminist perspective there have also been criticisms of the binary conceptions of gender and complementary of men and women. Binary conceptions leave little space for a deeper discussion on heteropatriarchy and non-conforming gender relationships.
Nevertheless, one of the main contributions of centralizing the principle of Buen Vivir to political, economic and social frameworks, is that equality is no longer the paradigm of individual rights, but the transformation of society as a whole.
لتجسيد قوتكم/ن كخبيرات عن وضع التمويل للحركات النسوية
Lo personal es político, y la apasionada y valiente Nadyn Jouny personificó este mantra feminista. Nadyn experimentó de primera mano el dolor de la violencia estructural de los sistemas legales que despojan a las mujeres de sus derechos.
Cuando Nadyn decidió solicitar el divorcio, los tribunales religiosos chiítas, bajo las Leyes de Estatuto Personal Libanesas, le negaron la custodia de su joven hijo Karam. Nadyn, como tantas otras mujeres del Líbano y de otros países, se vio atrapada entre el dolor imposible de dejar una relación no deseada y abusiva y de perder a la vez los derechos sobre su hijo. Sin embargo, Nadyn se defendió, y lo habría de hacerlo hasta el último día.
Nadyn utilizó su habilidad con los medios de comunicación para convertirse en una voz franca a favor de las mujeres que luchan contra la discriminación en la legislación familiar, en el Líbano y a nivel internacional. Nadyn cofundó el grupo autofinanciado "Protecting Lebanese Women" [Protegiendo a las Mujeres Libanesas] (PLW, por sus siglas en inglés) y se unió a muchas otras madres libanesas que se enfrentaban a problemas similares de custodia. Juntas, trabajaron para crear conciencia sobre las injusticias extremas a las que se enfrentaban, a nivel nacional, protestaron ante los tribunales religiosos por sus derechos y, a nivel internacional, llamaron la atención de los medios de comunicación.
Nadyn también trabajó con ABAAD - Resource Center for Gender Equality [Centro de Recursos para la Igualdad de Género], otra organización por los derechos de las mujeres en el Líbano, para realizar campañas en favor de los derechos de las mujeres, la igualdad en la legislación familiar y relativa a las custodias y contra los matrimonios forzados y precoces.
Para muchxs de sus colegas, Nadyn llegó a "simbolizar la lucha de una madre libanesa contra la supresión y la misoginia de todo tipo" (en inglés), al utilizar "su experiencia personal y trayectoria individual de empoderamiento, dio a otras mujeres esperanza para que ellas también pudieran ser un catalizador para el cambio positivo" - ABAAD - Centro de Recursos para la Igualdad entre los Géneros, Líbano.
El 6 de octubre de 2019, Nadyn murió trágicamente en un accidente de automóvil cuando se dirigía a protestar por los injustos aumentos de impuestos en un país que ya se enfrentaba a una espiral de crisis financiera. Nadyn Jouny tenía solo 29 años en el momento de su muerte.
Solidarity Network
As feminists many of us feel frustrated as we lurch from one political ‘moment’ to another; our work constrained by the parameters of organisational mandates, funding trends or political agendas, our time spent arguing over the need for gender analysis rather than building alliances for change.
The Gender & Development Network’s project on Feminist Alternatives provides space to consider what is important, to listen deeply to others and to accept challenges to our assumptions. Transformative progress towards feminist societies requires fundamental change that is context-specific, recognising intersectionality, the multiplicity of feminism, and the pivotal role of women’s collective action.
Rather than attempt to write a single paper, we have therefore produced a collection of thought pieces from academics, activists and practitioners around the world – not to suggest that we have the answers, but rather to encourage and provoke debate with the hope that more articles can be added in the future.
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Если вы хотите узнать больше, присоединяйтесь к нашей встрече участников исследования «Где деньги?», которая пройдет 27 мая, понедельник, в 9:00 UTC – с синхронным переводом на французский и английский языки. 14:00 UTC – с синхронным переводом на испанский и английский языки.
Становиться участником (in English).
Doris Valenzuela Angulo était une activiste sociale, leader et défenseure des droits humains afrodescendante de Buenaventura, en Colombie. Elle faisait partie du réseau national Comunidades Construyendo Paz en Colombia (CONPAZ, Communautés construisant la paix en Colombie) composé d’organisations présentes dans les communautés affectées par le conflit armé œuvrant en faveur de la non-violence et la justice socio-environnementale.
Doris s’opposait à la violence paramilitaire continue, aux pressions incessantes des mégaprojets cherchant à déplacer sa communauté, et à la complicité de l’État. Confrontée à l’un des contextes les plus difficiles de son pays, elle joua un rôle de premier plan dans l’initiative de résistance non-violente sans précédent Espacio Humanitario Puente Nayero, un lieu urbain conçu pour assurer la cohésion communautaire, la sécurité, la créativité et l’action collective.
Ce combat non-violent unique en son genre des familles de l’Espacio Humanitario Puente Nayero attira l’attention et le soutien des agences tant locales qu’internationales. En septembre 2014, la Commission interaméricaine des droits de l’Homme accorda des mesures de protection préventives à la communauté, ordonnant au gouvernement colombien d’adopter des mesures nécessaires en vue de protéger la vie et l’intégrité physique des habitant·e·s. Les menaces et la violence des paramilitaires se poursuivirent néanmoins. Malgré l’assassinat de son fils Cristian Dainer Aragón Valenzuela en juillet 2015,Doris continua à mettre toute son énergie à éviter le recrutement forcé des enfants et des jeunes par les néo-militaires. Elle devint alors également une cible, recevant constamment des menaces pour son activisme et le travail qu’elle accomplissait.
Les incessantes agressions et menaces de mort dont elle était l’objet forcèrent Doris à quitter la Colombie. Elle vécut en Espagne de février 2017 à février 2018, dans le cadre du programme de protection temporaire d’Amnesty International pour les défenseur·e·s des droits humains en danger.
Doris a été assassinée en avril 2018 à Murcie, en Espagne, par son ex-compagnon. Elle n’avait que 39 ans.
« Doris, cette année passée avec toi nous a montré combien une personne peut avoir la capacité de transformer et créer de l’espoir en dépit des événements profondément négatifs et dévastateurs qui jalonnent sa vie... Nous poursuivons notre engagement à défendre tous les droits humains. Ton courage et ta lumière nous guideront toujours. » - Montserrat Román, Amnesty International, Groupe de La Palma, Espagne
« ... Tu le savais. Tu l’as toujours su. Et malgré tout cela, tu as résisté sans faillir à tant d’injustice, de misère, de persécution. Tu t’es élevée, fière et acharnée, contre ceux qui continuaient à vouloir que tu abandonnes tout espoir, que tu t’abaisses, que tu te rendes. Debout, tu as réclamé haut et fort ta liberté et la nôtre, qui était la tienne. Rien ni personne n’est parvenu à paralyser tes efforts pour changer le monde et le rendre plus généreux et plus vivable. Tu vis parmi nous, aujourd’hui plus vivante que jamais malgré la mort. Tu vis encore par tes actes, par ton courage, par ta grandeur lorsque tu pleurais pour cette terre promise que tu invoquais à chacun de tes cris, pour tous ces déserts que tu as habités. Toi. Toujours en vie. Doris Valenzuela Angulo.
Ce ne sont que des mots. Je sais. Je le sais, moi aussi. Mais les mots nous unissent, nous protègent, nous donnent la force et le soutien nécessaires pour continuer à aller vers la lumière que tu défendais tant... »
Estamos presenciando un nivel de participación sin precedentes de actores anti-derechos en los espacios internacionales de derechos humanos. Para reforzar su impacto y amplificar sus voces, estxs actores se dedican cada vez más a la construcción de alianzas tácticas que atraviesan sectores, fronteras regionales y nacionales y credos religiosos.
Esta «alianza non-santa» conformada por actores conservadores de tradición religiosa católica, evangélica, mormona, ortodoxa rusa y musulmana, ha encontrado una causa común en una serie de discursos compartidos y acciones de incidencia que intentan hacer retroceder los logros de lxs feministas y del movimiento de derechos sexuales a nivel internacional.
Actividades principales: La «Santa Sede», como gobierno de la iglesia católica romana, utiliza su condición singular de estado Observador Permanente en la ONU para ejercer presión a favor de nociones conservadoras, patriarcales y heteronormativas de la feminidad, las identidades de género o «la familia» y para difundir políticas contra el aborto y la anticoncepción.
Sede: Ciudad del Vaticano, Roma, Italia.
Afiliación religiosa: Católica
Actividades principales: Se describe a sí misma como la «voz colectiva del mundo musulmán» y actúa como un bloque de estados en los escenarios de la ONU. La OIC intenta crear lagunas en la protección de los derechos humanos a partir de referencias a la religión, la cultura o la soberanía nacional. También propaga el concepto de «familia tradicional», y contribuye a un régimen de derechos humanos paralelo pero restrictivo (ver como ejemplos la Declaración de los Derechos Humanos en el Islam o la Declaración de El Cairo de 1990).
Sede: Yeda, Arabia Saudita
Afiliación religiosa: Musulmana
Conexiones con otrxs actores anti-derechos: Representaciones de estados ultra conservadores (como Rusia) ante la ONU.
Actividades principales: Conferencias internacionales y regionales; investigación, producción y difusión de conocimiento; cabildeo en las Naciones Unidas «para defender la vida, la fe y la familia»
Sede: Rockford, Illinois, Estados Unidos
Afiliación religiosa: Predominantemente católica y cristiana evangélica
Conexiones con otrxs actores anti-derechos: Sutherland Institute, un grupo de expertxs conservador; Iglesia de los Santos de los Últimos Días; Departamento para la Familia y la Vida de la iglesia ortodoxa rusa; Sacerdotes por la Vida (anti-abortistas); Foundation for African Culture and Heritage [Fundación para la Cultura y el Patrimonio Africano]; Polish Federation of Pro-Life Movements [Federación Polaca de Movimientos Pro-vida]; European Federation of Catholic Family Associations [Federación Europea de Asociaciones de Familias Católicas]; Comité de las organizaciones no gubernamentales sobre la familia ante Naciones Unidas; Red Política por los Valores; Georgian Demographic Society [Sociedad Demográfica Georgiana]; parlamentarioxs de Polonia, Moldavia y otros países; FamilyPolicy [Instituto de Políticas de la Familia]; Russian Institute for Strategic Studies [Instituto Ruso de Estudios Estratégicos]; Hatze Oír y C-Fam; entre otrxs.
Actividades principales: Cabildeo en las Naciones Unidas, en particular ante la Comisión de la Condición Jurídica y Social de las Mujeres, para «defender la vida y la familia»; difusión de información en medios (boletín Friday Fax); construcción de movimientos; formación para activistas conservadorxs.
Sede: Nueva York y Washington D.C., Estados Unidos
Afiliación religiosa: Católica
Conexiones con otrxs actores anti-derechos: International Youth Coalition [Coalición Internacional de Jóvenes]; Alianza Mundial de la Juventud; Human Life Internacional [Vida Humana internacional]; Santa Sede; Sociedad Civil para la Familia (la coordina); Family Research Council (Estados Unidos) [Comité de investigación sobre la familia] y otras OSC cristianas/católicas anti-derechos; delegación de los Estados Unidos ante la CSW.
Actividades principales: Cabildeo en favor de políticas por «la familia», anti-LGBTQ y anti-ESI (educación sexual integral) en escenarios internacionales de derechos humanos; capacitación para sociedad civil y representantes de Estados (por ejemplo, una guía de recursos sobre lenguaje consensuado de las Naciones Unidas en torno a la familia); difusión de información; producción y análisis de conocimiento; campañas en línea.
Sede: Gilbert, Arizona, Estados Unidos.
Afiliación religiosa: Mormón
Conexiones con otrxs actores anti-derechos: líder del UN Family Rights Caucus [Grupo de incidencia por los derechos de la familia ante la ONU]; C - Fam; Jews Offering New Alternatives to Homosexuality [Judíos ofreciendo nuevas alternativas a la homosexualidad, JONAH]; National Association for Research and Therapy of Homosexuality [Asociación Nacional de Investigación y Terapia de la Homosexualidad, NARTH]; Congreso Mundial de las Familias; CitizenGo; Magdalen Institute [Instituto Magdalena]; Asociación La Familia Importa; Group of Friends of the Family [Grupo de Amigos de la Familia], que es un bloque de 25 Estados.
Actividades principales: Incidencia en espacios políticos internacionales, entre ellos Naciones Unidas, la Unión Europea y la Organización de Estados Americanos por «la familia», y contra los derechos sexuales y los derechos reproductivos; capacitación a sus jóvenes integrantes en el uso de la diplomacia y la negociación, relaciones internacionales, actividades de grupos de base y creación de mensajes; programa de pasantías para fomentar la participación de lxs jóvenes en su trabajo; Emerging Leaders Conference [Conferencia de Líderes Emergentes] que tiene lugar en forma regular; producción y difusión de conocimiento.
Sede: Nueva York (Estados Unidos) y oficinas regionales en Nairobi (Kenia), Quezon City (Filipinas), Bruselas (Bélgica), Ciudad de México (México) y Beirut (Líbano).
Afiliaciones religiosas: Principalmente católica pero tiene como objetivo lograr una membresía pluriconfesional.
Conexiones con otrxs actores anti-derechos: C-Fam; Vida Humana Internacional; Santa Sede; Campaign Life coalition [Coalición Campaña por la Vida].