
Tonya Gonella Frichner

Les jeunes activistes féministes jouent un rôle crucial au sein des organisations et des mouvements pour les droits des femmes à travers le monde. Ce sont elles qui soulèvent les nouveaux problèmes auxquels les féministes sont confrontées aujourd'hui. Leur force, leur créativité et leur adaptabilité sont vitales pour assurer la viabilité des organisations féministes.
Pourtant, elles sont confrontées à toute une série d’obstacles particuliers, notamment l'accès limité au financement et au soutien, le manque de possibilités de renforcement des capacités et une augmentation considérable des agressions sur les jeunes défenseuses des droits humains. Ces obstacles entraînent un manque de visibilité qui rend leur intégration et leur participation effective au sein des mouvements pour les droits des femmes encore plus difficiles.
Le Programme d’activisme des jeunes féministes de l'AWID a été mis en place pour veiller à ce que les voix des jeunes femmes soient entendues et représentées dans le discours féministe. Nous voulons faire en sorte que les jeunes féministes aient un meilleur accès à du financement, à des opportunités de renforcer leurs capacités et aux processus internationaux.
En plus de soutenir directement les jeunes féministes, nous travaillons également avec des activistes des droits des femmes de tout âge pour élaborer des modèles et des stratégies d’organisation multigénérationnelles plus efficaces.
Nous souhaitons que les jeunes féministes puissent jouer un rôle actif dans les prises de décisions qui concernent leurs droits. Nos actions incluent :
Favoriser la mise en commun et le partage d'informations par la Plateforme de jeunes féministes. Étant donné l'importance des médias en ligne pour le travail des jeunes féministes, notre équipe a lancé la Plateforme de jeunes féministes en mai 2010. Elle a pour objectifs d’échanger des renseignements, de renforcer les capacités des membres par le truchement de webinaires et de discussions en ligne, et d'encourager la consolidation d’une communauté de jeunes féministes.
Soutenir la recherche et le renforcement des connaissances sur l'activisme des jeunes féministes, pour accroître la visibilité et l'influence de leur activisme au sein et entre les mouvements pour les droits des femmes et auprès d'autres acteurs-trices clés, tels les donateurs.
Faire la promotion de la collaboration multigénérationnelle, en explorant de meilleures façons de travailler ensemble.
Inciter les jeunes féministes à s’engager dans les processus internationaux relatifs au programme de développement, notamment ceux des Nations Unies.
S’assurer leur collaboration dans tous les domaines prioritaires de l'AWID, y compris le Forum, pour faire en sorte que leurs contributions, leurs perspectives, leurs besoins et leur activisme se traduisent dans les débats, les politiques et les programmes qui les concernent.
Le Groupe de travail des femmes sur le financement du développement (Women's Working Group on Financing for Development – WWG on FfD) , une alliance composée d’organisations et de réseaux de défense des droits des femmes, a été créée en octobre 2007 pour mener, dans le cadre des processus des Nations Unies sur le FdD, des activités de plaidoyer en faveur de l’égalité de genre, de l’autonomisation des femmes et des droits humains.
Troisième Dialogue de haut niveau sur le financement du développement, 23-25 octobre 2007
نكمل مشوار بناء الحشد الذي بدأناه قبل 20 عاماً لموارد أفضل وأكبر لحركات التغيير الاجتماعي بقيادة نسوية، تدعوكم/ن جمعية حقوق المرأة في التنمية لاستكمال استطلاعنا
Mereani Naisua Senibici, also called ‘Sua’, was a longstanding member of the Fiji Young Women’s Christian Association (YWCA) movement.
She worked with diverse groups of women in multi-racial, rural and urban settings and was committed to supporting and promoting women’s and young women’s rights.
In the Lautoka YWCA, she worked with women of Indian descent, and was a leading figure in the sports development and participation of women and of trans athletes in Lautoka.
“Sua is greatly loved by Fiji YWCA members for her dedication and long-time support towards all that the organisation endeavoured to do.” - Tupou Vere
Mereani was part of the House of Sarah (HoS), an initiative of the Association of Anglican Women (AAW), launched in 2009 and aimed at raising awareness of the issues around gender-based violence, as well as providing support to women who face violence. She started as a dedicated volunteer and offered support to women throughout the Pacific.
“A people’s person and an all-rounder in women's empowerment and movement work at community level. Rest in Peace, Sua.” - Tupou Vere
En vous promenant dans le quartier du Raval à Barcelone, vous croiserez peut-être Metzineres, une coopérative féministe par et pour les femmes et personnes trans et non-binaires qui consomment de la drogue.
Imaginez un endroit sans stigmatisation, où les femmes et personnes trans et non-binaires peuvent consommer des drogues en toute sécurité. Un lieu qui offre sécurité, soutien et accompagnement aux femmes et personnes trans et non-binaires dont les droits sont systématiquement bafoués par la guerre contre la drogue et qui subissent violence, stigmatisation et répression en conséquence.
Juste à l'extérieur de l'entrée, les passant·es et les visiteur·euses sont accueilli·e·s par un immense tableau noir où figurent des conseils, des astuces, des souhaits et des dessins de personnes qui consomment de la drogue. Il existe également un calendrier qui présente une série d'activités auto-organisées par la communauté Metzineres. Qu'il s'agisse d'ateliers coiffure et cosmétique, des émissions radio, des pièces de théâtre, de repas communs offerts à la communauté ou des cours d'autodéfense, il y a toujours quelque chose à faire!
La coopérative offre des sites de consommation sûrs ainsi que des services qui couvrent les besoins de base des gens. Il y a des lits, des casiers, des douches, des toilettes, des machines à laver et une petite terrasse extérieure où les gens peuvent se détendre ou jardiner.
Metzineres opère dans un cadre de réduction des méfaits, qui tente de réduire les conséquences négatives de la consommation de drogue. Mais la réduction des méfaits est bien plus qu'un ensemble de pratiques: c'est une politique ancrée dans la justice sociale, la dignité et les droits des personnes qui consomment des drogues.
Launch of the Intergovernmental preparatory process for the 3rd Financing for Development Conference, October 2014
Сделать видимой сложность обеспечения ресурсами различных феминистских организаций
"La vida se trata ... de vivir en alegría – despertarse con objetivos, sentir tu propia energía creativa, responder a tu llamada." - Sylvia Robinson
Este centro y espacio de performance combina la educación, el compromiso cívico, las artes, los servicios sociales y espirituales y las prácticas ambientales sostenibles. Sylvia lo concibió como un hogar donde " hubiera equilibrio y sinergia con las actividades que la gente necesitaba para sostener la vida".
También fue una de lxs co-fundadorxs del Georgia Avenue Community Development Taskforce [Grupo de Trabajo de Desarrollo Comunitario de la Avenida Georgia], un grupo vecinal que trabaja por la justicia social y la organización de la comunidad en el noroeste de DC, para asegurarse de que esta tenga una voz en la reurbanización y gentrificación del área.
"Estamos pidiendo viviendas asequibles. Estamos pidiendo que los pequeños negocios que han estado aquí desde siempre no sean aniquilados por nuevos comercios. Estamos pidiendo espacios verdes y espacios para que la gente se pueda reunir y socializar. Estamos pidiendo mejoras en el paisaje urbano – mejores calles y mejor iluminación en los tramos de carretera." - Sylvia Robinson sobre el Grupo de Trabajo
Antes de convertirse en organizadora y después de recibir un título en informática, Sylvia trabajó en sistemas de control de tráfico aéreo por más de una década. Después se dedicó al asesoramiento en materia de drogas y alcohol, a través de lo cual se involucró cada vez más en el trabajo comunitario.
"Involucrarme con la comunidad era mi vocación". - Sylvia Robinson
Sylvia nació en Washington D.C. el 14 de agosto de 1961, y falleció el 18 de septiembre de 2017, después de una batalla contra el cáncer.
"El espíritu y el legado de Sylvia seguirán inspirando a esta comunidad durante muchos años." - ECAC
Sesiones adicionales para redactar el Documento Final de Adís Abeba
Para saber más sobre este proceso, puedes consultar la CSO Hitchhiker’s Guide (en inglés).
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ذا كنت ترغب في معرفة المزيد، انضم إلى لقاء للأعضاء/ العضوات: أين المال؟ يوم الاثنين 27 مايو (أيار) الساعة 9:00 بالتوقيت العالمي - مع ترجمة
فورية باللغتين الفرنسية والإنجليزية.
14:00 بالتوقيت العالمي - مع ترجمة فورية باللغتين الإسبانية والإنجليزية
سنستمع إلى فريق الحركات النسوية لتوفير الموارد التابع لجمعية حقوق المرأة في التنمية (جمعية حقوق المرأة في التنمية) حول خصوصيات وعموميات تمويل التنظيمات النسوية.
انضم/ي إلينا كعضو/ة في وكن/وني جزءًا من جلسة التواصل هذه.
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(Registration only available in English)
Maritza Quiroz Leiva était une activiste sociale, leader communautaire et défenseure des droits des femmes afro-colombienne. Comptant parmi les 7,7 millions de Colombien·ne·s déplacé·e·s internes par 50 années de conflit armé, Maritza a dédié son travail de plaidoyer au soutien des droits des autres, particulièrement au sein de la communauté afro-colombienne ayant souffert deviolations et déplacements similaires.
Maritza était responsable adjointe du Conseil de victimes Santa Marta et une voix importante pour celles et ceux qui défendaient la justice dans leur communauté, réclamant réparation pour la torture, les enlèvements, les déplacements et les violences sexuelles subis par les victimes tout au long du conflit armé. Elle aégalement été active au sein du mouvement pour la redistribution des terres et la justice foncière en Colombie.
Le 5 janvier 2019, Maritza a été tuée par deux personnes armées qui se sont introduites à son domicile. Elle avait 60 ans.
Maritza s’ajoute ainsi aux cinq autres activistes et leaders colombien·ne·s assassiné·e·s au cours de la seule première semaine de 2019. Un total de 107 défenseur·e·s des droits humains ont été tué·e·s cette année-là dans le pays.
‘A geopolitical Analysis of Financing for Development’ by Regions Refocus 2015 and Third World Network (TWN) with DAWN.
The Zero Draft Language Map, by Regions Refocus
‘Addis Ababa financing conference: Will the means undermine the goals?‘ by RightingFinance
María Digna Montero was a Garifuna (Afro-descendent and indigenous) land defender and a member of the National Black Fraternal Organization of Honduras (OFRANEH), a grassroots organization working to protect the Garifuna communities, their ancestral rights, culture, resources and territory.
María also taught in the local school and was a member of the OFRANEH Intercultural Bilingual Education working group.
On the Day of Indigenous Resistance, October 12, 2019, unknown assailants shot María multiple times in the backyard of her house.
She was one of six Garifuna women defenders murdered between September and October 2019 and according to OFRANEH, there was no investigation by the authorities into these crimes. In an official statement, the organization also highlighted the connection between the violence against Garifuna leaders and the increase in extractive industries which exploit natural resources in their communities calling this violence part of a “strategy of intimidation and systematic expulsion” by the Honduran State.
“The heightened tension and growing risks to the security and human rights of the leaders in the communities and ancestral territories is a product of the dispossession, displacement and criminalization of the communities and of the extractive mega projects promoted by the State together with the national and international corporations.” - OFRANEH communique, October 12, 2019