Flickr/Leonardo Veras (CC BY 2.0)

Analyses Spéciales

L´AWID est une organisation féministe mondiale qui consacre ses efforts à la justice de genre, au développement durable et aux droits humains des femmes

Protection de la famille

Contexte

Au cours des dernières années, nous avons observé une nouvelle tendance inquiétante dans les espaces internationaux consacrés aux droits humains. Les discours axés sur « la protection de la famille » sont en effet utilisés pour défendre des violations des droits de membres de la famille, pour renforcer et justifier l’impunité des auteurs de ces violations et pour restreindre l’égalité des droits au niveau de la vie familiale. 

La campagne en faveur de la « Protection de la famille » est motivée par une volonté conservatrice d’imposer des conceptions « traditionnelles » et patriarcales de la famille et de priver les membres de la famille de leurs droits pour les transférer à « l’institution familiale ».

Les initiatives visant à la « Protection de la famille » reposent sur :

  • la montée du traditionalisme,
  • la montée du conservatisme culturel, social et religieux,
  • l’existence d’une hostilité vis-à-vis des droits humains des femmes, des droits sexuels, des droits des enfants et enfin des droits des personnes dont l’identité de genre et l’orientation sexuelle ne sont pas conformes aux normes.

Depuis 2014, un groupe d’Etats travaille de front dans les espaces dédiés aux droits humains sous le nom de « Group of Friends of the Family » (Groupe des ami-e-s de la famille) ; des résolutions sur la « Protection de la famille » ont été adoptées chaque année depuis 2014.

Ce programme s’est propagé au-delà du Conseil des droits humains. Nous avons observé l’introduction d’un discours régressif autour de la « famille » à la Commission sur la condition de la femme, ainsi que des tentatives d’introduction dans les négociations sur les Objectifs de développement durable.


Notre approche

L’AWID travaille avec des partenaires et des allié-e-s pour s’opposer ensemble à la « Protection de la famille » et à d’autres programmes régressifs et défendre l’universalité des droits humains.

En réponse à l’influence croissante d’acteurs régressifs au sein des espaces dédiés aux droits humains, l’AWID a rejoint des allié-e-s afin de créer l’Observatoire sur l'Universalité des droits (OURs) (site en anglais). L’OURs est un projet de collaboration qui surveille, analyse et diffuse les informations concernant les initiatives anti-droits telles que la « Protection de la famille ».

Le premier rapport de l’OURs, Nos droits en danger, trace une cartographie des acteurs et actrices qui constituent le lobby mondial anti-droits et identifie leur réthorique et stratégies clés ainsi que leur impact sur les droits humains.  

Le rapport précise que le programme de « Protection de la famille » a développé une collaboration entre un large éventail d’acteurs régressifs aux Nations Unies, qu’il décrit comme « un cadre stratégique abritant des positions anti-droits et patriarcales multiples, où le cadre vise entre autres à légitimer et institutionnaliser ces positions. »

Contenu lié

Lorena Borjas

Lorena Borjas, a trans Latina woman and activist, lived and worked in the Jackson Heights neighborhood of Queens, New York City. In those streets, she looked after her community for years, advocating for trans and immigrant rights, supporting survivors of human trafficking and abuse, campaigning for sex workers’ rights and those of people living with HIV and AIDS.

Lorena was strong and tireless in her fight to support, defend, and have the back of those most marginalized and discriminated by transphobia, misogyny and racism. 

“She pushed us to shine authentically, to become a scream of subversion that says, ‘I am here, and I deserve happiness, too.’” - Cecilia Gentili, a trans activist and Lorena’s friend

Having faced numerous traumas and hardships herself, as a trans immigrant woman and victim of human trafficking, Lorena pulled knowledge and emotional memory from the well of her experiences in order to help build and strengthen the community she was part of and which was part of her. Some of the ways she did this was to organize and mobilize support ranging from providing condoms and connecting trans women to different services, to setting up an HIV testing clinic in her own home. 

"She was such a beautiful soul who helped others when her journey was difficult and painful as an immigrant, as a trans immigrant. She believed the trans community needed love, acceptance, and compassion, and she gave it all.” - Luchia Dragosh, QPTV Supervising producer of a documentary about Lorena 

In more than 25 years of activism, she also founded the Lorena Borjas Community Fund together with Chase Strangio (lawyer and trans rights activist). The Fund helps the many different members of her community (and especially trans persons) dealing with immigration challenges to avoid the cycle of arrest-jail-deportation. 

Lorena passed away in March 2020 of complications from COVID-19. 

Her enormous and beautiful legacy will be taken forward through the streets of Queens by the network and community she co-created. 

“We will pick up her work where she left it, work that is essential to the well-being of “mis pajaras” as she called the trans girls of Queens under her wing.” - Cecilia Gentili 


Tributes: 

"Lorena brought light to us when we were living through a very dark time here in New York. She brought us light when we were dealing with the crack epidemic, when we were dealing with the AIDS crisis, dealing with changes in immigration policies." - Cristina Herrera, founder and CEO of Translatina Network and Lorena’s friend

"Lorena has done more than anyone else I know to shine a light on the epidemic of trafficking in transgender communities and to help other trans women escape exploitation."  - Lynly Egyes (represented Borjas on behalf of the Transgender Law Center)

Watch a documentary about Lorena Borjas 

Read a postscript in The New Yorker about Lorena Borjas 

Read an opinion piece in the New York Times by Cecilia Gentilin

Snippet FEA Workers Persecution S4 (EN)

A law enforcement agent in pink riot gear holding a stick

WORKERS PERSECUTION

The Feminist Realities Magazine

The Feminist Realities Magazine

We bring you an inspiring curated collection of powerful stories and images of transformation and resistance created by feminist activists, writers and artists from all over the world.

Explore the magazine

 

Pourquoi l’AWID a-t-elle choisi de tenir le Forum à Taipei ?

Les recherches à distance et les consultations menées auprès de nos allié·e·s nous ont permis d’éliminer plusieurs options de la région.

Nous avons ensuite organisé une série complète de visites au Népal, en Malaisie, au Sri Lanka, en Thaïlande, en Indonésie et (plus tard) à Taïwan. Sur place, chaque visite comprenait non seulement un examen de l’infrastructure logistique, mais aussi des réunions avec des activistes et des groupes féministes locales·aux afin de mieux comprendre la situation et leur analyse des risques et opportunités potentielles quant à un Forum de l’AWID dans leur contexte.     

Durant nos visites sur place, nous avons rencontré de formidables mouvements féministes locaux, divers et dynamiques. 

Ils ont souvent exprimé des sentiments partagés entre risques et opportunités liées à la visibilité apportée par un événement comme le Forum. Durant l’une des réunions,  les activistes présent·e·s soulignèrent à l'unanimité, au cours des 30 premières minutes, que le Forum de l’AWID pouvait entraîner de nombreux contrecoups, que les droits LGBTQ étaient un sujet politique particulièrement sensible et que les groupes fondamentalistes chercheraient de toutes leurs forces à interrompre l’événement. Lorsque nous répliquâmes  « ok, donc vous ne pensez pas que ce soit une bonne idée », leur réponse également unanime  fut « bien sûr que si, nous voulons changer les récits !».

Il était difficile d’entendre et de voir dans certains endroits le nombre d’activistes féministes qui voulaient utiliser l’opportunité de visibilité d’un tel événement comme levier, prêt·e·s à faire face aux risques locaux ; mais l’accueil de près de 2000 personnes venues du monde entier nécessitait de prendre en compte d’autres calculs de risque et de faisabilité. 

Nous avons également débattu de questions sur ce qu’implique l’organisation d’un forum féministe en cohérence avec les principes d’inclusion, de réciprocité et d’autodétermination, là où les politiques et les pratiques étatiques vont généralement à leur encontre (même si les représentant·e·s des Ministères du Tourisme ont tenté  ardemment de concilier ce point). 

Nous avons pris en considération l’infrastructure au regard des opportunités éventuelles permettant d’insuffler un élan pour certaines priorités féministes nationales, ainsi que le contexte politique du pays.   

Dans beaucoup d’endroits, suivre le contexte donnait des impressions de balancier pouvant pencher vers l’ouverture et la sécurité des débats féministes à un moment donné, et vers la répression totale et la xénophobie l’instant d’après, sacrifiant les priorités féministes dans les négociations politiques cherchant à apaiser l’extrême droite ou les forces anti-droits.  

Ce processus a donné lieu à des réflexions sur le contexte extrêmement difficile pour l’activisme des droits des femmes et de la justice de genre au niveau mondial. 

Les défis de la région Asie-Pacifique nous ont amené à nous demander : ne serait-ce pas plus simple de tenir le Forum dans une autre région ? 

Pour autant, nous ne pourrions aujourd’hui organiser un Forum de l’AWID à Istanbul comme nous l’avions fait en 2012, ou au Brésil comme en 2016.  

Malgré toute cette complexité, l’AWID a finalement choisi Taipei comme lieu de Forum car :

  • La ville offre un certain degré de stabilité et de sécurité aux divers·e·s participant·e·s du Forum que nous voulons rassembler.
  • Elle dispose aussi de capacités logistiques importantes, en plus d’être accessible pour beaucoup de voyageurs·ses (avec une facilitation de procédure de visa électronique pour les conférences internationales). 
  • Le mouvement féministe sur place est accueillant vis-à-vis du Forum et désire s’engager avec des féministes du monde entier.

L’organisation du Forum de l’AWID implique pour nous la création et la disposition d’un espace qui s’ajuste au mieux à une diversité de formes d’expression de solidarité, d’indignation, d’espoir et d’inspiration. Celles-ci sont au cœur de nos mouvements féministes.

Actuellement, Taipei nous semble donc être l’emplacement de la région Asie-Pacifique qui nous permet au mieux de bâtir un espace sécurisé et désobéissant pour notre communauté féministe mondiale.

Le fait est qu’il n’existe pas d’emplacement idéal dans le monde actuel pour tenir un Forum qui se concentre sur les Réalités féministes. Peu importe où nous irons, nous devrons construire cet espace ensemble !

Christine Hayhurst

Biography

With over 30 years of finance experience, Christine has devoted her career to furthering nonprofit missions on a global scale. Her contributions extend to serving as Treasurer on the Board of an NGO. Christine joined AWID in 2007 as Controller and in 2023 took on the role as Director of Finance. During her spare time she enjoys traveling, gardening and hiking.

Position
Director of Finance
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O inquérito WITM é acessível para pessoas com deficiência?

Sim, é acessível para pessoas com uma variedade diversificada de capacidades auditivas, de movimento, visuais e cognitivas.

Cristina Bautista

“Si nos mantenemos en silencio, nos matan. Si hablamos (nos matan) también. Así que, hablemos” Cristina Bautista, 2019.

Cristina Bautista fue una integrante de la comunidad Indígena Nasa, cuyo hogar se sitúa en la región del norte del Cauca, en Colombia. Cristina formó parte de la resistencia Nasa como líder y defensora de los derechos de la tierra, pero también como trabajadora social y gobernadora de la reserva Indígena Nasa Tacueyó.

Incansable defensora de los derechos del pueblo Nasa, Cristina habló alto y claro sobre la violencia dirigida contra su comunidad. En un discurso ante las Naciones Unidas, Cristina reclamó la protección de las vidas de las mujeres indígenas, y su participación en las diferentes esferas de la vida. En 2017, Cristina entró en el programa de Becas Indígenas de la Oficina de Derechos Humanos de la ONU y en 2019 recibió una subvención del Fondo de Contribuciones Voluntarias de la ONU para los Pueblos Indígenas.

"Me gustaría sacar a la luz la situación actual de los pueblos indígenas en Colombia, el asesinato de líderes indígenas, la represión de las protestas sociales. El acuerdo de paz, en lugar de ayudar, lo que ha hecho es reforzar el conflicto y la explotación de territorios sagrados en Colombia... En la situación actual, en casi todas las naciones indígenas, como mujeres, estamos trabajando para encontrar un futuro mejor para nuestras familias. No quiero que más mujeres del campo vivan en estas circunstancias. Las  mujeres indígenas necesitamos oportunidades para participar en la vida política, económica, en la sociedad y en la cultura. Hoy me da fuerzas ver a todas estas mujeres aquí y ver que no estoy sola". - Cristina Bautista, 2019

El 29 de octubre de 2019, Cristina fue asesinada junto a cuatro guardias indígenas desarmados en un ataque que, supuestamente, fue llevado a cabo por miembros armados del grupo disidente de las FARC "Dagoberto Ramos".

Según Global Witness, "en los últimos años el asesinato de líderes comunitarios y sociales ha aumentado dramáticamente en Colombia".

"La comunidad Nasa ha alertado repetidamente a las autoridades sobre las amenazas que reciben y que ponen en peligro su seguridad. Sin embargo, a pesar de los esfuerzos que ponen los sucesivos gobiernos colombianos, los pueblos indígenas siguen corriendo grandes riesgos, especialmente, las figuras clave religiosas o comunitarias como Cristina Bautista". - Reunión informativa de la ONU para la prensa (en inglés), 1 de noviembre de 2019.

Puede ver un discurso de Cristina Bautista de agosto de 2019 en el que Cristina denuncia otros casos precedentes de asesinatos a guardias indígenas

Snippet FEA HEALTH CONDITIONS (ES)

Ilustración de una persona de piel blanca con uniforme amarillo de enfermera con estetoscopio en la mano,

BUENAS CONDICIONES DE SALUD

Reason to join 3

Comparte tus historias y conoce las de otrxs. Al conectar nuestras experiencias, relatos y propuestas ayudamos a crear en conjunto y amplificar las Realidades Feministas.

Freeing the Church, Decolonizing the Bible for West Papuan Women

By Rode Wanimbo (@rodwan986), Jayapura, Papua Province of Indonesia

“Lord, we are unworthy. We are the ones who committed sin for Eve ate the fruit in Eden. We are just women who grow sweet potatoes, look after pigs and give birth to children. We believe you died on the cross to set us free. Thank you, In Jesus’s name Amen.”

This is a typical prayer of women I have heard during my visits to ministries in several villages. Even I said the same prayer for many years.

I was born and grew up in Agamua, the Central Highlands of West Papua. My father belongs to the Lani tribe and my mother comes from Walak.

In Lani and Walak languages - languages spoken in the Central Highlands - tiru means a pillar. There are four tiru (pillars) standing firmly in the middle of the Lani roundhouse (honai), around wun’awe or a furnace. Tiru is always made of the strongest type of wood called a’pe (ironwood tree). The longer the wood gets heated and smoked from the fire in the honai, the stronger it becomes. Without tiru, the honai cannot stand firm. West Papuan women are these tiru.

West Papua is located in the western part of the New Guinea island, containing some of the world’s highest mountains, densest jungle, and richest mineral resources. It is home to over 250 groups and has an incredible biodiversity. Due to its natural wealth, West Papua has, over the centuries, been targeted by foreign occupiers. Until 1963, we were colonized by the Dutch. However in 1969, after a manipulative political act, we were transferred from the Dutch to Indonesia. 

The first German missionaries arrived in Mansinam Island, Manokwari, in 1855. Then, in the 1950s, Christianity was brought to the Central Highlands of West Papua by Protestant missionaries of European descent from America, Canada, Australia and New Zealand.  

According to Scripture in Genesis 1: 26-27, Man and Woman are created in the image of God. It means all humanity is made with the call and capacity to exercise dominion. Radah, the Hebrew word for dominion, means stewardship. Radah is not a call to exercise imperial power as declared by Pope Nicolas V, granting Catholic nations the right to “discover” and claim dominion over non-Christian lands. To diminish the capacity of humans to exercise dominion, is to diminish the image of God on earth (Lisa Sharon Harper, The Very Good Gospel).

The Evangelical Church of Indonesia (GIDI) was established as an institution in 1963. In the Sunday Service liturgy of GIDI, Women are considered unworthy to take any responsibility except collecting offerings. In 2003, after 40 years, the Department of Women was introduced within the structure of the Synod leadership.

In November 2013, I was entrusted to be a chairperson of the Women’s Department of the GIDI Synod.

Together with several other women leaders, we started a cell group that is committed to “decolonizing the Bible.” We learn together how to reconstruct the interpretation of biblical texts to champion women.

A feminist theologian named Elisabeth S Florenza calls it a feminist hermeneutic theory (Josina Wospakrik, Biblical Interpretation and Marginalization of Woman in the Churches of West Papua).

Besides the cell group, we interview our elderly women to collect our ancestors’ wisdom and values. As Bernard Narakobi in his book The Melanesian Way said: “Our history did not begin with contact with the Western explorers. Our civilization did not start with the coming of the Christian missionaries. Because we have an ancient civilization. It is important for us to give proper dignity and place to our history”.

Yum is a knotted net or woven bag handmade from wood fiber or leaves. Yum is highly valued for it symbolizes life and hope. When women of Lani and Walak get married, our maternal aunts put yum on our heads. It means we bear the responsibility for giving life and for providing food. Yum is used to carry garden produce as well as being used as a container to put a baby to sleep in as it gives warmth and a sense of security.

“West Papuan Women are Yum and Tiru” became the prime references as we contextualized women in the eyes of Jesus Christ in seminar and focus group discussions. From 2013 to 2018, we focused on reconstructing the view of women in GIDI and in gaining a healthy self-image. We are still in the process of understanding who we are to Jesus, rather than who we have been told we are by theologians and the fathers of the early Churches. Josina Wospakrik, a West Papuan Theologian said “The Gospel is incredibly rich but it was impoverished due to human ambitions and agendas.”

Since 2018, the GIDI Women Leadership team and I have formulated four priority programs: Decolonizing the Bible, Storytelling in a circle, Training of trainers for Literacy and Gender. The fourth, supported simple bookkeeping and savings groups workshops facilitated by Yapelin and Yasumat, which are faith based organizations established by GIDI leaders to reach the economic, social and health needs of women in the communities.

Storytelling in a Circle

In this programme we create a safe space for women to talk - each woman has a story. We all sit together and learn how to be good listeners.

“I became Christian and was taught that the government is God’s representative. Why did the government do nothing when the army burnt down my village and killed my relatives?” asked one woman in the storytelling circle. “My aunt was raped.” She stopped for a while. Could not talk. She cried. We all did. 

The process of storytelling has driven us into deep conversation. We began to contextualize Biblical texts within our daily realities.

We started asking questions amongst ourselves: Where is God in our toughest times? Does the state government truly represent God on earth? Why does the Creator allow privileged people to destroy His own image in the name of Christianity and Development? During the process, I realized that I have been reading the Bible using somebody else’s glasses.

The church has to be a safe place to share stories and be a place of comfort to be still and rest. As we reflect on the testimonies, those who tell their stories begin the process of recovering from wounds and trauma.


Financial Literacy for Women

 Culturally, West Papuans invest in relationships. The concept of saving is understood as an investment in relations, not in a bank account. And while the Indonesian central government has granted special autonomy to respond to West Papuans’ demand for self-determination, many government policies harm the quality of family life and they do not account for women’s lives. High illiteracy rates amongst women mean most women do not have access to a bank account. With no money saved, access to medical services becomes a struggle. 

Through the priority programmes, Yapelin, with the active involvement and support of women, created saving groups in Bokondini and Jayapura. The saving groups are chaired by women who have access to a bank. 

In coordination with Yayasan Bethany Indonesia (YBI) and Yayasan Suluh, a faith-based organization (FBO) based in Jayapura, we facilitated four literacy workshops. The literacy team facilitated the training of trainers in three different dioceses: Merauke, Sentani, and Benawa. We now have 30 facilitators in different congregations who run literacy programs.

Lack of financial support for our programs will not stop us. Being stigmatized as rebels will not stop us from standing up and speaking in church evaluation meetings and conferences. It is stressful but I am committed together with several women leaders to calling on the power-holders within to free the church.

The Gospel known as Good News should become news that liberates women from a very patriarchal circle of power, liberates women from social stigma and returns women to the original purpose of The Creator.

The Gospel must be a mirror to reflect who we are collectively. As Lisa Sharon Harper, in her book The Very Good Gospel said “The Gospel is not only about an individual’s reconciliation with God, self and communities. But also speaks on systemic justice, peace between people groups and freedom for the oppressed”. 

 

Rode Wanimbo is the chairperson of the Women’s Department of Evangelical Church of Indonesia (GIDI).
 


“Offerings for Black Life”

By Sokari Ekine (@blacklooks), New Orleans

Coming from a place of healing and self-care is a political act that guides us to be focused and to move as one. In New Orleans, we created and will be creating altars in honour of those murdered by police and white supremacists vigilantes!

Sokari Ekine (@blacklooks)
Sokari Ekine (@blacklooks)

 


< Anatomy of a Survivor's Story

My Queer Ramadan >

 

Fatima Qureshi

Biography

Una nómada de las culturas, nacida en Hong Kong y con raíces turco-paquistaníes, el amor de Fatima por la narración, ya sea su lectura o su creación conjunta, le infundió la pasión por el activismo de las comunicaciones. Formada en periodismo, ha trabajado durante siete años en los ámbitos de la comunicación digital y los medios de comunicación con ONG que brindan oportunidades educativas y asistencia jurídica a personas refugiadas y solicitantes de asilo, así como con el movimiento feminista musulmán, que aplica un enfoque feminista y de derechos para comprender y buscar la igualdad y la justicia en la tradición jurídica musulmana. Escribe con habitualidad artículos de opinión sobre asuntos feministas en el Sur Global.

Mediante la narración en esta era hiperdigital de las redes sociales, Fatima sigue colaborando con organizadores comunitaries y activistas de base para crear contenido audiovisual, a fin de tender puentes de comprensión hacia la liberación colectiva y la descolonización. Durante los días en que no trabaja, mira atentamente largometrajes feministas independientes de Irán, Marruecos y Pakistán, e interpreta poesía oral con sus camaradas de Kuala Lumpur.

Position
Responsable, Comunicaciones del Foro
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Paulina Cruz Ruiz

Paulina Cruz Ruiz, originaire de Rabinal dans la région de Baja Verapaz au Guatemala, était une défenseuse des droits humains au pouvoir ancestral Maya Achí (autochtone). Elle participait activement à la mobilisation et à la résistance communautaires, notamment via des mesures juridiques contre des projets miniers sur des territoires autochtones, aux effets sévères et néfastes pour leur tissu socioenvironnemental. 

« Le modèle d’industrie extractive promu par le gouvernement guatémaltèque et la construction de projets de développement à grande échelle sur des terres autochtones, sans le consentement des communautés, est source de litiges constants avec les mouvements de résistance. » - Minority Rights Group International (groupe international pour les droits des minorités)

Paulina a également participé à la Marche pour la dignité, la vie et la justice, durant laquelle des milliers de guatémaltèques ont initié, le 1er mai 2019, une marche de huit jours contre la corruption et l’impunité face aux poursuites et aux assassinats de défenseur·e·s des droits humains, des terres ainsi que de leaders paysan·ne·s et autochtones.   

Paulina a été assassinée le 14 septembre 2019 près de chez elle, dans le village de Xococ. 

D’après Minority Rights Group International, « l’une des problématiques constantes qui affecte le plus les communautés mayas tient dans l’accroissement des activités de l’industrie minière. »


En savoir plus sur les mayas au Guatemala (en anglais)

En savoir plus sur la Marche pour la dignité, la vie et la justice (en anglais)

Solidarity: membership why page

Solidarité

nous prenons position en solidarité les un·e·s avec les autres ainsi qu’avec différentes luttes en défense de la justice et des libertés. Nous nous efforçons de mobiliser et renforcer l’action collective et de pratiquer des méthodes significatives de collaboration.

Presentación de la muestra.

Por Alejandra Laprea

Que difícil condensar la potencia y diversidad de voces que se levantan en América Latina para contar las otras realidades que se gestan en este vasto territorio, las realidades feministas que construimos desde el movimiento y las organizaciones populares.

Por mucho tiempo traté de establecer parámetros para la búsqueda y selección de esas películas que les permitieran a ustedes asomarse un poco a tantos sueños y proyectos que se materializan de a poco en los territorios Nuestroamericanos, como nos gusta llamarnos. Fue un trabajo arduo que  pasó por intentar establecer parámetros como presencia geográfica, justicia lingüística, representación de la diversidad de pueblos: indios, afrodescendientes, migrantes y la multiplicidad de banderas y luchas que se levantan desde todas esas voces.  Llegué a la conclusión de que construir ese compilado era un trabajo de años, uno de esos proyectos de perpetua construcción.

Para esta muestra me incliné por buscar trabajos que nacieran de la organización y de la militancia así como realizaciones que son quizá las iniciadoras de grandes debates que aún nos quedan por dar.

En esta selección de películas encontrarán las voces de realizadoras que no solo se contentan con plasmar  las realidades feministas que palpitan en cada rincón de este vasto y diverso territorio sino también trabajos que desde su gestación misma están cuestionando el para qué, quién y cómo se hace cine o audiovisual. Que entienden al cine como una herramienta de lucha, como algo más que imágenes que se disfrutan en una pantalla. Realizadoras o colectivos de realización que ven al cine y al audiovisual como instrumentos para potenciar una discusión o abrir un debate; en fin, como un recurso para la pedagogía popular y feminista.

Es así que esta pequeña muestra es un viaje por realidades feministas en dos niveles; por un lado el de las historias que verán y por otro el de las cineastas que están buscando, experimentando, creando otras realidades feministas en las formas de hacer audiovisual y de contar las historias.

Disfruten este viaje por películas que Resisten, Crean y Transforman.


Lima is Burning

Dirección: Giovana García Soto
Docu-ficción
Español con subtítulos Inglés

En Lima is Burning tenemos un trabajo que juega con la ficción y el documental para introducirnos en la vida de Gía, una persona de género no binario, que utiliza el arte del performance como herramienta de transgresión y denuncia, como un manifiesto vital contra la transfobia en todos los espacios. incluso en ámbitos gays. Con Gia también nos asomamos al transfeminismo una comunidad segura en la que Gia se siente acogida y con la que comparte sentires y querencias.

Giovana Garcia Sojo joven Productora visual/audiovisual peruana. Especializada en producción de bajo presupuesto, creación para infancias y adolescencias en la cinematografía y guión cinematográfico por la Escuela Internacional de Cine y Tv – EICTV en San Antonio de Baños – Cuba. Giovana ha desarrollado su desarrollo como cineasta en las mujeres y las identidades feminizadas, Lima is Burning es uno de sus primeros trabajos


Yo, Imposible

Dirección Patricia Ortega
Ficción
Títulos en Inglés

Patricia Ortega, directora de «Yo Imposible», explora a través de Ariel — una joven cuya intersexualidad fue violentada quirúrgicamente cuando niñe — las múltiples formas en que se intenta normalizar la diversidad sexual y de género. 

La película nos narra cómo Ariel descubre que nació intersexual y que fue sometida a varias cirugías de normalización  de sus genitales.  Este descubrimiento enfrenta al personaje al redescubrimiento de su cuerpo y la reconstrucción de su identidad y a quienes miramos el film al cuestionamiento de una sociedad dominada por la heteronormatividad que invisibiliza a otres y les condena a la infelicidad.

Patricia Ortega, cineasta venezolana residenciada en Argentina, estudió en la Escuela Internacional de Cine y Televisión de Cuba, especializándose en dirección de cine. Patricia aborda desde la ficción situaciones límites por las que pasan las mujeres o los cuerpos feminizados y cómo se sobreponen a ellas.

«Yo Imposible» es una postura ante la concepción de un mundo concebido solo desde lo masculino y lo femenino que hace invisible a otres. «No están enfermos. Solo son genéticamente diferentes. Se les intervienen sus genitales y sus cuerpos a través de hormonas sin pedirles permiso, siendo una violación a los derechos humanos y a su identidad, buscando que encajen en los cánones establecidos». - Patricia Ortega


Cubanas, mujeres en revolución

Dirección: Maria Torrellas Liebana 
Documental
Títulos en inglés

María Torrellas nos  narra la revolución cubana a través de las mujeres que le dieron vida:  Vilma Espín, Celia Sánchez y Haydee Santamaría, entre otras.  Pero contar la revolución cubana para las mujeres no puede quedar solo en el pasado, es una lucha cotidiana que Torrellas muestra a través de las voces de campesinas, profesionales, estudiantes y obreras  cubanas  del presente. En «Cubanas, mujeres en revolución» encontramos los retos actuales de las cubanas frente a prejuicios que perduran, nuevas  formas de violencia y el desafío constante por crear nuevas realidades feministas para ellas y quienes vienen después de ellas en un territorio asediado desde hace más de setenta años por el imperialismo norteamericano.

Maíia Torrellas

María Torrellas es comunicadora y documentalista. Cuenta con una larga trayectoria fílmica y ha obtenido, entre otros, el premio Santiago Álvarez in Memoriam por su documental «Memoria de una hija de Oshun».

«En el documental he querido hilvanar las luchas de las heroínas de ayer con las mujeres actuales. Son historias contadas por ellas mismas en las que también describen a aquellas luchadoras que más admiran.  Me impresionó escuchar de ellas: ‘La Revolución nos ha dado todo’ o ‘¿Qué sería de mi familia sin la Revolución?’, en la voz de compañeras de origen humilde, campesino o negras». - María Torrellas


Serie documental Cuidanderas

Gabriela Arnal y Marzel Ávila para Fondo de Acción Urgente - LAC
Ecuador 2019
Títulos en Inglés

CUIDANDERAS, junta las palabras ‘cuidar’ y ‘curanderas’ es una síntesis de lo que son una serie de mujeres en Latinoamérica en sus territorios: mujeres que ponen el cuerpo y toda su energía para la protección de los Comunes, de lo que nos ofrece la Pachamama con el compromiso de que lo usemos tan sabiamente como el resto de los seres vivos. Esta mini serie de documentales nos presenta las historias de tres colectivos de mujeres  latinoamericanas, comprometidas con cuidar sus territorios, curar sus cuerpos y enfrentar los modelos extractivistas y racistas en Ecuador, Colombia y Bolivia.

GUARDIANAS DE LA AMAZONÍA

Provincia de Orellana, Ecuador. Las mujeres Waorani sostienen hace siglos una lucha por su territorio amazónico y por la preservación de su cultura indígena. En la actualidad hacen frente a  las amenazas de la industria petrolera y su modelo de producción de muerte. Desde la selva, líderes pertenecientes a la Asociación de Mujeres Waorani de la Amazonía Ecuatoriana (AMWAE), relatan la motivación detrás de su resistencia y muestran su más grande poder: su alegría inagotable.

COMADRES DEL PACÍFICO COLOMBIANO 

Buenaventura, Colombia. En el puerto más grande y violento de Colombia, azotado por décadas de conflicto armado, racismo y machismo, un grupo de mujeres se niegan a sucumbir ante el miedo y resisten a pesar de las adversidades. La Red Mariposas de Alas Nuevas reúne a mujeres negras de la costa pacífica colombiana, que trabajan juntas para proteger su territorio, recuperar sus tradiciones ancestrales y sanar las heridas de esta violencia sistemática y estructural.

HERMANAS DEL ALTIPLANO

El cuidado y la protección del cuerpo-tierra-territorio es el llamado de indígenas, campesinas y regantes (encargadas del riego de agua) en Bolivia frente a un modelo extractivo que atenta contra sus vidas, su salud, su integridad física y sexual, la pervivencia de sus comunidades y territorios. La Red de Defensoras de la Madre Tierra ha reunido mujeres de 12 comunidades originarias para defender el derecho al agua y denunciar las violaciones de derechos humanos y derechos de la naturaleza por parte de las empresas extractivas, a la vez que recuperan sus saberes y prácticas ancestrales de cuidado colectivo. 

«CUIDANDERAS, una palabra que junta “cuidadoras” y “curanderas”, presenta historias de mujeres defensoras latinoamericanas, dedicadas a cuidar sus territorios y curar sus cuerpos. La fuerza colectiva de estas mujeres, ha cambiado la historia de sus comunidades en Ecuador, Colombia y Bolivia, enfrentadas a modelos extractivistas y racistas.»


Yo aborto, tú abortas, todxs callamos

Dirección Carolina Reynoso
Argentina 2013
Español

Si algo ha marcado las luchas feministas en América latina es el grito de todo el continente por aborto libre, seguro y gratuito. De norte a sur los movimientos feministas se levantan y toman las calles luchando por la liberación de nuestro primer territorio: nuestros cuerpos. Es así que tener en esta muestra un documental sobre el aborto es indispensable para entender la potencia de las mujeres nuestramericanas.

«Yo aborto, Tu Abortas, Todxs Callamos» nos presenta las historias de  siete mujeres, incluída la directora del documental, provenientes de distintas clases socioculturales que reflexionan sobre una problemática que todas vivieron en sus cuerpos: el aborto clandestino.

A través de sus testimonios se intenta derribar mitos en relación a la interrupción voluntaria del embarazo, desestigmatizar el tema y renovar la mirada sobre una de las violencias más cotidianas en las Américas.

Carolina Reynoso

Directora, investigadora y productora de cine feminista. A su vez, es militante feminista, realiza talleres de creación de guión con perspectiva de género para generar mas películas que muestren otras realidades e historias contrahegemónicas. Carolina Reynoso conjuga equilibradamente militancia y creación en cada una de sus obras.

«Somos un grupo de realizadorxs audiovisuales que realizamos un documental para seguir luchando por lograr que el aborto sea libre, seguro y gratuito en Argentina. El film trata sobre los testimonios de siete mujeres, incluida la directora del documental, provenientes de distintas clases socioculturales que reflexionan sobre una problemática que todas vivieron en sus cuerpos: el aborto clandestino.» El equipo de realización


Historias Urgentes: Resistencia en ollas Comunes

Nosotras Audiovisuales, colectiva de cineastas chilenas
Chile 2020
Enlace al micro documental:
Español

«Historias Urgentes» es una serie  creada por mujeres para visibilizar necesidades y vivencias de  importancia para la población de los territorios que conforman el Chile actual. Esta serie audiovisual nace para mantener viva la llama que encendió la revuelta social en octubre de 2019 del Chile diverso que despertó y dijo basta.

«Resistencia en ollas comunes» es la primera de estas “«Historias Urgentes» y nos muestra desde las voces de cuatro mujeres de Iquique, Valparaíso, Chillán y Santiago cómo desde los cuidados están en la primera línea de resistencia creando otras realidades feministas para ellas y las comunidades donde habitan las mujeres latinoamericanas.

Nosotras audiovisuales

Organización que surge en el 2017 y agrupa a mujeres vinculadas al audiovisual chileno desde la necesidad de conectar a las mujeres que trabajan en el mundo audiovisual. Es así que impulsa redes de trabajo, espacios de colaboración e información para mujeres del audiovisual, sus trabajos y puntos de vista sobre el campo laboral .

Nosotras Audiovisuales se suma a la revuelta en Chile desde el registro y la generación de materiales de creación colectiva.


Se trata de Mujeres

Micol Metzner
Argentina 2019
Castellano

A partir de su experiencia personal la directora Micol Metzner  presenta un trabajo que mezcla  el documental y la ficción, con su voz como realizadora comprometida con la de miles de mujeres que son víctimas de la trata en el continente y finalmente muestra cómo la solidaridad entre las mujeres es la mejor protección.

Micol Metzner

Realizadora audiovisual, formada en el Instituto de Arte Cinematográfico de Avellaneda. Directora de Arte y montajista. Forma parte del Cluster audiovisual de la Ciudad de Buenos Aires, espacio comunitario y cooperativo multisectorial para llevar a cabo proyectos independientes.

Es docente de talleres de cine en barrios y dentro de contextos de encierro (Institutos de menores y cárceles de mujeres). Forma parte de la productora audiovisual MVM.

«La productora MVM nació de esa importancia de poder expresar un montón de cosas que habitualmente manifestamos en las calles y también poder hacerlo de una manera creativa desde el dibujo, el audiovisual, la fotografía. La productora MVM es un lugar de investigación del lenguaje, lo gráfico, el audiovisual desde el feminismo. Es también un lugar para la catarsis de todo lo que vivimos y para generar a partir del arte cosas a veces para sanar, a veces para generar espacios para el debate como sucede con el corto. .. No me imaginé que iba a suceder eso, pero cuando se presenta el corto salen un montón de cosas, se generan charlas que son mucho más enriquecedoras que el corto en sí, entonces que eso pueda provocarse a partir de lo que realizamos está buenísimo...» - Micol Metzner


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Ekaete Judith Umoh

Biography

Ekaete Judith Umoh est une défenseure internationale des droits des personnes en situation de handicap et experte en développement inclusif. Elle analyse avec finesse les questions relatives au genre, au handicap et au développement inclusif. Son rêve est d’accroître la visibilité des femmes et des filles en situation de handicap au sein du mouvement féministe international et dans tous les efforts de développement à travers le monde.

Passionnée d’activisme et de politique, Ekaete devient la première femme élue présidente de l’Association nationale des personnes en situation de handicap (Joint National Association of Persons with Disabilities, JONAPWD), au Nigéria. À ce titre, elle dirige les organisations de personnes en situation de handicap dans la lutte pour la signature de la loi nigériane sur le handicap de 2019, qu’elle défendait sans relâche depuis plus de 17 ans. Par la suite, elle rejoint CBM Global en tant que directrice nationale et joue un rôle pionnier à la tête de son équipe pendant trois ans, pour briser le cercle de la pauvreté et du handicap au Nigéria. Outre son activisme dans le domaine du handicap, Ekaete a été consultante auprès de plusieurs agences de développement, proposant son expertise technique de l’inclusion des personnes en situation de handicap dans la conception de programmes et projets.

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