
Sonia Pierre

Le Conseil des droits de l'homme (CDH) est un organe intergouvernemental clé du système des Nations Unies, responsable de la promotion et la protection des droits humains autour du globe. Il se réunit trois fois par an en session ordinaire, en Mars, Juin et Septembre. Le Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) constitue le secrétariat pour le CDH.
Débat et adopte des résolutions sur les questions globales des droits humains ainsi que sur la situation des droits humains dans des pays particuliers
Examine les plaintes des victimes de violations des droits humains et des organisations activistes, au nom des victimes de violations des droits humains
Nomme des experts indépendants (que l'on connaît sous le nom de « Procédures Spéciales ») pour réviser les cas de violation des droits humains dans des pays spécifiques, ainsi que pour examiner et suivre des questions globales relatives aux droits humains
Prend part à des discussions avec les experts et les gouvernements sur les questions de droits humains
Évalue les bilans des États membres de l'ONU en matière de droits humains tous les quatre ans et demi, dans le cadre de l'examen périodique universel.
La prochaine session du CDH a lieu à Genève, en Suisse, du 30 juin au 17 juillet 2020.
AWID travaille avec des partenaires féministes, progressistes et du domaine des droits humains pour partager nos connaissances clé, convoquer dialogues et évènements avec la société civile, et influencer les négociations et les résultats de la session.
Active dans l’organisation Peacebuild, en passant par l'Alliance canadienne féministe pour l'action internationale, Amnesty International et au Centre canadien de politiques alternatives (CCPA), Kate était une passionnée des droits des femmes et de l'égalité de genre qui a consacré sa carrière à lutter contre les inégalités et à faire du monde un lieu plus empathique.
Kate a été membre du comité de coordination de Social Watch et a contribué aux rapports nationaux canadiens de Social Watch. En tant que chercheuse principale du CCPA, Kate a été saluée dans son pays pour ses travaux de recherche, ses écrits et la production du rapport annuel intitulé « Les meilleures et les pires endroits du Canada où vivre en tant que femme ».
Entourée de sa famille, Kate est décédée paisiblement après trois ans de lutte contre le cancer du côlon. Ses proches la décrivent comme une « féministe drôle, sans peur et sans complexes ».
La taseografía es el estudio de los posos de café y/o de las hojas de té para la adivinación. Es una práctica que ha sido transmitida por las mujeres del lado armenio de mi familia, y me fue enseñada por mi madre, que a su vez la aprendió de su madre y así sucesivamente. Cuando miraba a mi Nana leer los posos del café armenio preparado para la familia y lxs amigxs, veía muchas veces como ella veía lo que quería decir. Estas impresiones dicen algunas de las cosas que quiero ver en el mundo: espero que sean las mismas cosas que ustedes quieren ver.
Esta impresión celebra la resiliencia, el sacrificio y la fortaleza de lxs luchadorxs por la libertad de SWANA, a través de la historia y la solidaridad existente. La inspiración original provino de un artículo que leí sobre una exposición en Tatvan, un distrito de Bitlis, que mostraba la presencia armenia en la región. Mis antepasadxs eran de Bitlis, que ahora se encuentra dentro de las fronteras de la Turquía moderna.
La taseografía (el estudio de la lectura de los posos de café) es una práctica cultural que las mujeres armenias han utilizado durante cientos de años para hablar entre sí. Es un lenguaje codificado para iniciar conversaciones, construir conexiones interrelacionadas y entretejidas.
The WITM global survey is a key pillar of the third iteration of our action-oriented research: “Where is the Money for Feminist Organizing?” (in short, Where is the Money or WITM). The results of the survey will be further elaborated and explored through in-depth conversations with activists and funders, and cross-referenced with other existing analysis and research on the state of funding for feminists and gender equality globally.
The full “Where is the Money for Feminist Organizing” report will be published in 2026.
To learn more how AWID has been shining a light on money for and against feminist movements check out the work of our Resourcing Feminist Movements Initiative here.
We will update the outcomes of this process in the website in due time.
Lisez nos recherches sur le financement, sur les défenseuses des droits humains, sur la création de mouvements, sur les fondamentalismes, la justice économique et beaucoup plus
An expert on social development and anthropologist by training, Mary was best known as a pioneer in the battle against Female Genital Mutilation (FGM).
Born in Cairo Egypt in 1922, Mary’s work in development started early, as she joined the Youth Women’s Christians’ Association (YWCA). Mary was a member of the World Council of Churches and became increasingly concerned with issues regarding women’s health. Her long struggle against FGM proved fruitful in 2008, when Egypt finally criminalized the practice.
She is remembered as a mentor to many Egyptian feminists and activists.
Préparée par Jess X. Snow
avec l’aide de Kamee Abrahamian et Zoraida Ingles
Révisée par Kamee Abrahamian
Dans toute l’Asie et le Pacifique, et dans sa diaspora tout entière, des femmes et des trans farouches se battent pour un avenir où iels pourraient être libres. Alors que l’élévation du niveau des mers menace les îles du Pacifique et les côtes de l’Asie continentale, la lutte pour protéger la Terre et les océans s’intensifie dans le monde entier. La mémoire géologique de notre planète enregistre toutes les expériences qu’elle a vécues : la montée des colonisations, de l’industrialisation et de la destruction de l’environnement est liée à la montée de l’État-nation patriarcal binaire. Le pouvoir au sein de la Terre de se réincarner et d’éclore face à la violence doit alors être mis en lien avec les femmes, la maternité, l’indigénéité et toutes les forces expansives, sacrées et queer. Les Réalités féministes unissent la lutte pour la protection des droits des femmes, des trans et des personnes LGBTQ+ avec celle pour la protection de la Terre, et ce n’est pas une coïncidence. Des mères et filles protégeant le Mauna Kea au Royaume de Hawai’i aux relations complexes entre mères et enfants chez les réfugié·e·s du Vietnam, en passant par les réveils sexuels de personnes queer dans l’Inde conservatrice, la réclamation de la construction de maisons en Mongolie intérieure et la lutte pour la libération des personnes LGBTQ aux Philippines, cet ensemble de films est une constellation des manières selon lesquelles les femmes, personnes queer et trans en Asie-Pacifique défendent de nos jours les multiples voies vers notre libération collective, au-delà des océans et des frontières.
Tous ces films témoignent du sens fort accordé aux lieux : des activistes autochtones protègent leurs terres sacrées, des jeunes déconstruisent les récits coloniaux sur leurs terres et découvrent des vérités cachées, les liens complexes de maternité et de soins sont examinés, et des personnages se tournent vers leur propre corps et leur sexualité comme autant de sanctuaires, lorsque la famille et la ville qui les entourent menacent leur sécurité.
De Jess X. Snow
« Un film envoûtant avec des plans époustouflants qui invoquent la résistance écologique féministe et comment elle prend directement source dans l'histoire culturelle et la terre… »
- Jessica Horn, stratège féministe panafricain·e, écrivain·e et cocréateur·rice de The temple of her skin (Le temple de sa peau)
Dans le documentaire expérimental Afterearth, quatre femmes se battent pour protéger les volcans, les océans, la terre et l’air pour les générations futures. En s’appuyant sur de la musique, de la poésie et le témoignage poignant qui rend honneur aux lieux qu’atteint l’océan Pacifique – Hawai’i, les Philippines, la Chine et l’Amérique du Nord, Afterearth est une méditation poétique sur la relation intergénérationnelle et féministe de quatre femmes avec les terres et les plantes dont elles sont issues.
De Jalena Keane Lee
Dans Standing Above the Clouds, des mères et filles activistes indigènes de Hawai’i se tiennent côte à côte pour protéger leur montagne sacrée, Mauna Kea, contre sa transformation en un site de construction des plus grands télescopes au monde. En tant que protectrices de Mauna Kea, ce film souligne l’interconnexion entre Aloha ʻĀina (l’amour de la terre) et l’amour pour ses aîné·e·s et les générations à venir.
De Quyên Nguyen-Le
Dans ce court-métrage narratif expérimental, Nước (Eau/Terre natale) un·e ado genderqueer vietnamo-américain·e questionne les récits dominants sur la guerre du Vietnam à Los Angeles, Californie. Par le jeu de séquences oniriques fortes et d’intrusions de la réalité, ce film suit le parcours qui lui permet de recomposer et de comprendre l’expérience de sa mère, réfugiée de la guerre du Vietnam.
De Kimi Lee
Dans Kama’āina, une jeune queer de seize ans doit se débrouiller pour vivre dans les rues de Oahu, jusqu’à ce qu’elle finisse par pouvoir se réfugier, sur les conseils d’une tata, à Pu’uhonua o Wai’anae, le plus gros camp organisé de sans-abris de Hawai’i.
By Karishma Dev Dube
Dans Devi (« déesse » en hindi), Tara, une jeune lesbienne « dans le placard », s’oppose à la fois à sa famille et à la tradition pour vivre son attirance pour la servante de la maison. Située à New Delhi, Devi est une histoire de révélation tout autant qu’un commentaire sur les lignes sociales et de classe qui divisent les femmes de l’Inde contemporaine.
De Yuan Yuan
Dans Heading South, Chasuna, une fillette de 8 ans élevée par sa mère sur le Plateau de la Mongolie intérieure, rend visite à son père abusif à la grande ville. Pendant qu’elle est chez son père, on lui présente une nouvelle venue dans la famille. Elle doit alors reconnaître et accepter que sa véritable maison est inséparable de sa mère et de la terre.
De Johnny Symons & S. Leo Chiang
Dans le long métrage Outrun, nous suivons le parcours de la première femme transgenre au Congrès des Philippines. Face à l’oppression d’une nation majoritairement catholique, son parcours victorieux devient un cri de victoire pour les droits des personnes LGBTQ+ du monde entier.
Alliant le documentaire, le récit et des formes expérimentales, ces films illustrent que l’attention de la communauté, l’amour de soi et une écoute profondément transformatrice entre celleux que nous aimons sont une entrée dans les Réalités féministes auxquelles nous donnons vie aujourd’hui. De toute l’Asie Pacifique et sa diaspora, ces histoires nous montrent que, face à la violence, la tendresse est la plus féroce des résistances.
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by Rode Wanimbo
I was born and grew up in Agamua, the Central Highlands of West Papua. My father belongs to the Lani tribe and my mother comes from Walak. (...)
< artwork: “Offerings for Black Life” by Sokari Ekine
Mridula fue una firme promotora de la salud de las mujeres en una época en la que el tema de la salud sexual y reproductiva de las mujeres se consideraba tabú en Fiji.
Mridula orientó los primeros trabajos del movimiento por los derechos de las mujeres en Fiji sobre derechos sexuales y reproductivos y, en septiembre de 1999, el Fondo de Población de las Naciones Unidas le otorgó un premio regional sobre salud y derechos reproductivos. Fue una activista férrea, comprometida e incansable y apasionada por la salud y el empoderamiento de las mujeres.
Fue una valiosa integrante del movimiento de mujeres y del movimiento feminista de Fiji y sus aportes se recordarán por siempre. Falleció en 2017 por causas naturales.
Anti-rights discourses continue to evolve. As well as using arguments related to religion, culture, and tradition, anti-rights actors co-opt the language of social justice and human rights to conceal their true agendas and gain legitimacy.
Three decades ago, a US television evangelist and Republican candidate famously said that feminism is an “anti-family political movement that encourages women to leave their husbands, kill their children, practice witchcraft, destroy capitalism and become lesbians.” Today, this conspirative notion gains unprecedented grasp and legitimacy in the form of “gender ideology” discourse, a catch-all bogey-man created by anti-rights actors for them to oppose.
Across a range of discourses employed by anti-rights actors - including notions of “cultural imperialism” and “ideological colonization”, appeals to “conscientious objection” and the idea of a “pre-natal genocide” - a key theme is co-optation. Anti-rights actors take legitimate issues, or select parts of them, and twist them in service of their oppressive agenda.
No, we are asking for just one completed survey per group.
Estamos encantadxs de anunciar el lanzamiento del nuevo podcast de AWID: ESE FUEGO FEMINISTA. Esta serie narrativa revela más de 40 años de movimientos feministas e imagina nuevos caminos a seguir.
En nuestra temporada piloto, escucharán cinco historias cautivadoras que forman parte de la actual constelación de activismo feminista. Presentado por nuestra Gopika Bashi, subdirectora de programas de AWID, cada episodio explora realidades feministas únicas pero interconectadas que están logrando una mayor justicia de género y asegurando derechos humanos.
ESE FUEGO FEMINISTA es producido en asociación con lxs ganadorxs de Webby, Hueman Group Media. Puedes suscribirte al podcast y escuchar nuestro primer episodio aquí.
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