
Leidiane Drosdoski Machado

Les jeunes activistes féministes jouent un rôle crucial au sein des organisations et des mouvements pour les droits des femmes à travers le monde. Ce sont elles qui soulèvent les nouveaux problèmes auxquels les féministes sont confrontées aujourd'hui. Leur force, leur créativité et leur adaptabilité sont vitales pour assurer la viabilité des organisations féministes.
Pourtant, elles sont confrontées à toute une série d’obstacles particuliers, notamment l'accès limité au financement et au soutien, le manque de possibilités de renforcement des capacités et une augmentation considérable des agressions sur les jeunes défenseuses des droits humains. Ces obstacles entraînent un manque de visibilité qui rend leur intégration et leur participation effective au sein des mouvements pour les droits des femmes encore plus difficiles.
Le Programme d’activisme des jeunes féministes de l'AWID a été mis en place pour veiller à ce que les voix des jeunes femmes soient entendues et représentées dans le discours féministe. Nous voulons faire en sorte que les jeunes féministes aient un meilleur accès à du financement, à des opportunités de renforcer leurs capacités et aux processus internationaux.
En plus de soutenir directement les jeunes féministes, nous travaillons également avec des activistes des droits des femmes de tout âge pour élaborer des modèles et des stratégies d’organisation multigénérationnelles plus efficaces.
Nous souhaitons que les jeunes féministes puissent jouer un rôle actif dans les prises de décisions qui concernent leurs droits. Nos actions incluent :
Favoriser la mise en commun et le partage d'informations par la Plateforme de jeunes féministes. Étant donné l'importance des médias en ligne pour le travail des jeunes féministes, notre équipe a lancé la Plateforme de jeunes féministes en mai 2010. Elle a pour objectifs d’échanger des renseignements, de renforcer les capacités des membres par le truchement de webinaires et de discussions en ligne, et d'encourager la consolidation d’une communauté de jeunes féministes.
Soutenir la recherche et le renforcement des connaissances sur l'activisme des jeunes féministes, pour accroître la visibilité et l'influence de leur activisme au sein et entre les mouvements pour les droits des femmes et auprès d'autres acteurs-trices clés, tels les donateurs.
Faire la promotion de la collaboration multigénérationnelle, en explorant de meilleures façons de travailler ensemble.
Inciter les jeunes féministes à s’engager dans les processus internationaux relatifs au programme de développement, notamment ceux des Nations Unies.
S’assurer leur collaboration dans tous les domaines prioritaires de l'AWID, y compris le Forum, pour faire en sorte que leurs contributions, leurs perspectives, leurs besoins et leur activisme se traduisent dans les débats, les politiques et les programmes qui les concernent.
Una identidad de género latinoamericana
El término travesti se trata de una identidad de género latinoamericana sin equivalente en otros idiomas, y exclusivamente femenina. Es una persona designada varón al nacer que se identifica como mujer, y siempre deben abordarse con el pronombre “ella”.
Travesti no es solo una identidad de género ubicada fuera del binarismo de género, también es una identidad cultural arraigada en los movimientos latinoamericanos. El término inicialmente fue peyorativo, pero luego fue re-apropiado como símbolo de resistencia y dignidad. Toda travesti es trans porque no se identifica con el género asignado al nacer, sin embargo no toda travesti se considera mujer trans, ya que travesti ya es una identidad de género en sí misma.
Referencia: Berkins, Lohana. (2006). Travestis: una Identidad Política . Trabajo presentado en el Panel Sexualidades contemporáneas en las VIII Jornadas Nacionales de Historia de las Mujeres/ III Congreso Iberoamericano de Estudios de Género Diferencia Desigualdad. Construirnos en la diversidad, Villa Giardino, Córdoba, 25 al 28 de octubre de 2006.
作為對AWID論壇各方面可訪問性承諾的一部分,我們接受那些無法提交書面申請的個人/組織/團體提交自己的音頻或視頻等。
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Une fois que vous aurez analysé l’ensemble des données issues du sondage, des interviews, de la recherche documentaire et possiblement d’autres sources, vous pourrez créer votre produit final.
Dans cette section :
- Créez votre produit final
1. Écrivez clairement
2. Rendez-le attrayant- Recueillez des commentaires à la suite des révisions
1. Peaufinez vos résultats
2. Encouragez les réactions
Votre produit final sera le document qui synthétisera, analysera et posera un regard critique sur vos données. Ce sera la composante que vous partagerez avec votre communauté afin de présenter et d’expliquer votre recherche à votre auditoire.
À l’AWID, nous rédigeons fréquemment un rapport complet qui analyse chaque ensemble de données et qui synthétise tous nos résultats pour ensuite créer des produits plus concis comme des infographies et des sommaires (expliqué plus loin dans la section « Finalisez et mettez en forme »).
L’importance de la révision
La personne chargée de la révision relira votre document, s’assurera qu’il est rédigé de manière concise, procédera à la vérification des faits, soulèvera les incohérences qui doivent être résolues, assurera la fluidité du texte et suggérera éventuellement des titres.
Il est préférable que cette personne connaisse et comprenne votre travail WITM, sans être engagée dans la recherche. Ainsi, elle apportera au document une nouvelle perspective.
Rappel : Plus votre produit est accessible, plus les gens auront envie de le lire…et de le partager!
À cette étape, vous avez recueilli toutes vos données, vous les avez analysées et vous avez transformé ces renseignements en produit final, probablement en un long rapport.
Avant de passer à la prochaine étape, vous devriez partager votre produit final avec les organisations, les activistes et les donateurs qui vous conseillent.
C’est le moment idéal pour vérifier les aspects suivants :
Lorsque vous aurez intégré toutes les réactions de vos conseillers et conseillères, assurez-vous de présenter le document à la personne chargée des révisions.
Vous aurez ainsi en main la version finale et complète de votre rapport. Si vous prévoyez de publier votre rapport final en d’autres langues, il est temps de le faire traduire.
Il s’agit d’une contribution considérable de la part de vos conseillers et conseillères. Pensez à leur offrir une forme de reconnaissance.
6. Menez une recherche documentaire
• 2 - 5 mois
• 1 personne (ou plus) chargée de la recherche
• 1 éditeur-trice (spécialisé-e web si vous créez des prduits en ligne)
• Traducteur(s)-trice(s), si vous réalisez votre recherche en différentes langues
• Liste d’organisations, de donateurs et d’activistes agissant à titre consultatif
• Note conceptuelle (définie par votre cadre de référence)
• Résultats préliminaires de votre sondage
• Questions d'interview
• Résultats de vos interview
• Données de votre recherche documentaire
• Toutes les données utilsées dans le rapport
6. Menez une recherche documentaire
8. Finalisez et mettez en forme
L'une des dirigeantes fondatrices de la coopérative était Lohana Berkins, une militante, défenseuse et promotrice de l'identité trans. Lohana a joué un rôle crucial dans la lutte pour les droits des personnes trans et travestis.
Grâce à sa lutte, entre autres choses, l'approbation de la loi sur l'identité de genre a été obtenue. C'est l'une des lois les plus progressistes au monde, garantissant les droits fondamentaux des personnes trans et des travestis. Désormais, les personnes peuvent changer de nom et de sexe avec un affidavit et ont accès à des soins de santé complets sans intervention/approbation judiciaire ou médicale (Outright International, 2012).
所有參與者的AWID論壇註冊費包括:
As feminists struggling for gender, peace, economic, social and environmental justice, we know there is no single recipe for success but an array of possibilities that can and are making change happen. The menu of options is as diverse as our movements and the communities in which we live and struggle.
Before we dare to present some of the feminist imaginations for another world, here are the principles around which we base our propositions:
We believe there is no one model for all and that everyone has a right to claim and contribute to building another world that is possible, as the World Social Forum motto puts it.
This includes the right to participate in democratic governance and to influence one’s future – politically, economically, socially and culturally.
Economic self-determination gives peoples the ability to take control over their natural resources and use those resources for their own ends or collective use. Furthermore, women’s economic agency is fundamental to mitigating the often cyclical nature of poverty, denial of education, safety, and security.
The principle of substantive equality is laid out in the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women (CEDAW) and other international human rights instruments. This principle is fundamental for development and achieving a just economy as it affirms that all human beings are born free and equal.
Non-discrimination is an integral part of the principle of equality that ensures that no one is denied their rights because of factors such as race, gender, language, religion, sexual orientation, gender identity, political or other opinion, national or social origin, property or birth.
The inherent dignity of all persons without distinction must be upheld and respected. While States are responsible for ensuring the use of maximum available resources for the fulfilment of human rights, reclaiming rights and dignity is fundamentally a key space for civil society struggle and popular mobilization.
This principle, exercised through organized efforts to transform unjust institutions, guides the restoration of balance between "participation" (input) and "distribution" (output) when either principle is violated.
It puts limits on monopolistic accumulations of capital and other abuses of property. This concept is founded on an economy model that is based on fairness, and justice.
In order to make change happen, we need strong and diverse feminist networks. We need movements building solidarity from the personal to the political, from the local to the global and back.
Building collective power through movements helps convert the struggle for human rights, equality and justice into a political force for change that cannot be ignored.
“Only movements can create sustained change at the levels that policy and legislation alone cannot achieve.”
See more on this at Batliwala, S: 2012 “Changing Their World. Concepts and Practices of Women’s Movements” 2nd Edition. AWID
Only a year after it was founded, the members of Nadia Echazú started to work in haute couture and organized a fashion show in the historic Bauen Hotel.
They showcased five models and some workers of the textile cooperative walked down the runway with their own designs.
This was revolutionary not only because they were designing alternatives to mainstream fashion, but also because they were creating accessible, inclusive clothes for all trans and travesti bodies.
Feminist economies should also be about feeling amazing and comfortable in the clothes we are wearing.
AWID論壇不僅是一個活動,更是我們女權主義現實實踐之旅的一部分。有許多空間可以供參會者在線和離線地聚集在一起,用於共享、討論、制定戰略和共同創建女權主義現實實踐。
在論壇之前瞭解有關女權主義現實實踐之旅的更多信息。(In English) 加入我們的郵件列表,可隨時關注論壇結束後的公告!
我們正在探索以虛擬的方式參與論壇,而且會即時地分享信息一旦我們確定可以提供任何信息。
Las propuestas de decrecimiento cuestionan la premisa de que la economía de los países debe ‘crecer o perecer’ y muestran la falsedad del lugar central que se le otorga al crecimiento medido por un aumento del Producto Bruto Interno (PIB).
Un modelo de decrecimiento propone un cambio hacia niveles de producción y consumo más bajos y sostenibles. En esencia postula una reducción del sistema económico para dejarle más espacio a la cooperación entre personas y a los ecosistemas humanos.
Esta propuesta incluye:
Las perspectivas feministas dentro de la teoría y práctica del decrecimiento sostienen que también es necesario redefinir y revalidar el trabajo no remunerado y remunerado, de cuidados y en el mercado, para superar los estereotipos tradicionales de género así como las brechas laborales y las desigualdades en el ingreso prevalecientes que devalúan el trabajo de cuidado.
La lucha por un mundo lleno de lugares de trabajo libres de todas formas de discriminación, estigma y exclusión es digna. Un mundo en el que el trabajo sexual sea descriminalizado y reconocido como trabajo es parte integrante de esto.
Un mundo donde todxs lxs trabajadorxs tengan condiciones de trabajo seguras, salarios dignos y puedan disfrutar de los mismos derechos como el acceso a la salud, pensiones, permisos por enfermedad, vacaciones, seguridad laboral y más, sin importar su género, raza, etnia, edad o capacidad.
Los derechos laborales son cuestiones feministas, y los sindicatos feministas desempeñan un papel clave en la promoción de los derechos legales, laborales y económicos de todxs lxs trabajadorxs, especialmente lxs trabajadorxs migrantes, lxs trabajadorxs domésticxs, lxs trabajadorxs informales y lxs trabajadorxs sexuales. Estas son personas que recientemente se han visto afectadas de manera desproporcionada por la pandemia, su crisis de cuidados, los confinamientos, toques de queda y el aumento de la vigilancia y represión policial.
Aquí les presentamos las historias de activistas feministas y sindicalistas que luchan por mejores condiciones de trabajo y mejores mundos para todxs.
AWID正密切關注全球新冠肺炎疫情,目前會按原訂計畫推動論壇事宜。
若屆時情況有變,我們會立即通知您。
第十四屆AWID國際論壇將於西元2021年9月20日至23日在台北举行。
更多資訊 (in English)
Lxs actores ultra conservadores han desarrollado una serie de discursos en la esfera internacional de los derechos humanos. Utilizan argumentos que manipulan la religión, la cultura, la tradición y la soberanía nacional para minar los derechos relacionados con el género y la sexualidad.
Lxs actores anti-derechos se han alejado cada vez más del lenguaje explícitamente religioso. Vemos que actores regresivxs —que antes tal vez ridiculizaban los conceptos de derechos humanos — ahora los manipulan y cooptan para promover sus propios objetivos.
Este discurso emergente y exitoso parece inocuo, pero resulta útil como un tema ‘sombrilla’ bajo el que se cobijan múltiples posiciones patriarcales y anti-derechos. Por eso el tema de la «protección de la familia» resulta un ejemplo clave que muestra la tendencia de lxs actores regresivxs a llevar adelante una incidencia integral e integrada.
El lenguaje de la «protección de la familia» opera desplazando al sujeto de los derechos humanos, reemplazando al individuo por instituciones ya poderosas. También afirma una concepción unitaria, jerárquica y patriarcal de la familia que discrimina a todo formato familiar que esté fuera de estos límites rígidos.
Por último, intenta cambiar el enfoque del reconocimiento y la protección de los derechos de integrantes vulnerables de la familia a la no discriminación, la autonomía y la ausencia de violencia en el contexto de las relaciones familiares.
La Santa Sede y varios grupos de la derecha cristiana buscan apropiarse del derecho a la vida para ponerlo al servicio de su misión contra el aborto. Mezclando el lenguaje de los derechos humanos con la doctrina religiosa conservadora, argumentan que el derecho a la vida, tal como se lo establece en la Declaración Universal de Derechos Humanos y en el Pacto Internacional de Derechos Civiles y Políticos, se aplica a partir del momento de la concepción.
Ningún instrumento universal de derechos humanos apoya ese argumento. Sin embargo, esta es una táctica atractiva para lxs actores anti-derechos, porque el derecho a la vida no puede ser violado bajo ninguna circunstancia y es un estándar legal vinculante.
Lxs actores anti-derechos humanos utilizan una serie de dispositivos retóricos en su campaña para minar los derechos sexuales: sostienen que estos derechos no existen o que son «nuevos derechos»; que causan daño a las niñas, los niños y la sociedad; y/o que se oponen a la cultura, la tradición o las leyes nacionales.
Lxs actores conservadores dedicados a hacer incidencia en la ONU atacan el derecho a una educación sexual integral (ESI) desde varios frentes. Afirman que viola los «derechos parentales»; que perjudica a las niñas y los niños; y que no es educación sino adoctrinamiento ideológico.
También alegan que poderosos grupos de presión les imponen la Educación Sexual Integral a las niñas y los niños, los padres y las Naciones Unidas para beneficiarse de los servicios que estos mismos grupos proporcionan a niñas, niños y jóvenes.
Los intentos de invalidar los derechos relacionados con la orientación sexual y la identidad de género se han multiplicado. Lxs actores ultra conservadores argumentan que aplicar los principios y leyes históricos de derechos humanos a esta temática equivale a crear «nuevos derechos», y proponen un cambio radical en el significado actual de los derechos que resultaría de interpretarlos a la luz de la "cultura" o de las «particularidades nacionales».
Desde hace muchos años, las organizaciones de la derecha cristiana se movilizan en contra de los derechos reproductivos junto con la Santa Sede y otrxs aliadxs anti-derechos. A menudo argumentan que los derechos reproductivos no son más que una forma de control poblacional impuesto por Occidente sobre los países del Sur Global. Irónicamente, esta afirmación proviene a menudo de actores con sede en Estados Unidos y Europa Occidental, que en su mayoría trabajan activamente para exportar sus discursos y políticas fundamentalistas.
Lxs actores regresivxs también citan argumentos «científicos» de grupos de expertxs ultra conservadores y de fuentes que emplean metodologías de investigación poco sólidas, para sugerir que el aborto causa una serie de efectos secundarios psicológicos, sexuales, físicos y relacionales.
Así como lxs actores anti-derechos buscan construir una nueva categoría de «protección de la familia», también proponen otra: los «derechos parentales», que tampoco encuentra respaldo en las normas de derechos humanos vigentes. Este discurso paradójicamente intenta utilizar las protecciones de derechos que les corresponden a los niños y las niñas, tal como las expresa la Convención sobre los Derechos del Niño, para fundamentar el derecho de padres y madres a controlar a sus hijas e hijos y limitar sus derechos.
Cada vez más, lxs actores anti-derechos, están intentando infiltrar y subvertir los estándares y discursos desarrollados por defensoras de derechos humanos, como la violencia contra las mujeres.
En la Comisión de la Condición Jurídica y Social de las Mujeres y en otros escenarios, estos actores insisten en tratar esta forma de violencia como un concepto al que le adosan argumentos anti-derechos reproductivos y otros de cariz patriarcal. Lxs actores ultra conservadores, por ejemplo, han argumentado que las relaciones de pareja no tradicionales ni heteronormativas son un factor de riesgo para la violencia, y enfatizan que los padres son necesarios para proteger a las familias de la violencia.
La Santa Sede ha elaborado y sostenido una crítica al género, a la «ideología de género», lxs «radicales del género» y la teoría de género. Lxs actores anti-derechos a menudo leen el término ‘género’ como un código equivalente a ‘derechos LGBTQ’. La derecha religiosa utiliza el género como un concepto transversal que une muchos de sus discursos. Cada vez más, el pánico que generan en torno a este tema se concentra en la identidad de género y en los derechos de las personas trans.
Varios actores ultra-conservadores emplean el discurso de la complementariedad de los sexos. Estructuran su retórica en torno a una presunción de diferencia: se supone que los hombres y las mujeres tienen roles diferentes pero complementarios en el matrimonio, la vida familiar, y también en su participación en la vida comunitaria, política y económica.
La referencia a los roles «naturales» tiene por objeto rechazar los derechos humanos universales a la igualdad y la no discriminación. También se utiliza para justificar las violaciones de estos derechos por parte de actores estatales y no estatales, y el incumplimiento de las obligaciones del Estado en cuanto a eliminar los prejuicios y las prácticas basadas en roles estereotipados para hombres o mujeres.
Este discurso sugiere que organismos de la ONU o Estados que actúan a través de la ONU atacan injustamente a los gobiernos nacionales. Lo que se intenta aquí es desplazar el sujeto de los derechos humanos de la persona o sector marginado que sufre una violación de sus derechos a una institución poderosa y/o regresiva, el Estado, para justificar excepciones nacionales a los derechos universales o para apoyar la impunidad estatal.
Lxs actores anti-derechos han adoptado el discurso de la libertad religiosa para justificar violaciones a los derechos humanos. Se refieren a la libertad religiosa de una manera que contradice directamente el propósito de este derecho humano y entra seriamente en conflicto con el principio de la universalidad de los derechos.
Su argumento es que la libertad religiosa se ve amenazada y debilitada por la protección a los derechos humanos, particularmente aquellos relacionados con el género y la sexualidad.
Lo que se proponen instalar es que el derecho a la libertad religiosa tiene por objeto proteger a las propias religiones y no a las personas, que son quienes en verdad tienen la libertad de profesar o no distintas creencias. Sin embargo, el derecho internacional de los derechos humanos protege a lxs creyentes y no a las creencias, y el derecho a la libertad de religión, pensamiento y conciencia incluye el derecho a no profesar ninguna religión ni creencia así como a cambiar de religión o de creencias.
El despliegue de referencias a la cultura y la tradición para debilitar los derechos humanos, incluido el derecho a la igualdad, es una táctica común entre lxs actores anti- derechos. Presentan la cultura como algo monolítico, estático e inmutable, y a menudo la oponen a las «normas occidentales».
Las alusiones a la cultura por parte de lxs actores anti-derechos en los debates de política internacional tienen como objetivo debilitar la universalidad de los derechos, defendiendo un relativismo cultural que prevalece sobre las reivindicaciones de derechos o las limita. El uso de los derechos culturales por parte de actores regresivxs se basa en una tergiversación deliberada de la cultura como derecho humano. Los Estados deben velar por que no se utilicen actitudes tradicionales o culturales para justificar violaciones a la igualdad. Las normas de derechos humanos exigen acceso, participación y contribución igualitaria en todos los aspectos de la vida cultural para todas las personas, incluidas las mujeres, las minorías religiosas y raciales y las personas cuya identidad o expresión de género difieren de las normativas.
En espacios políticos internacionales, lxs actores anti-derechos manipulan cada vez más las referencias a los derechos humanos universales o fundamentales para revertir el significado de la universalidad de los derechos.
En lugar de utilizar el término ‘universal’ para describir todo el conjunto de derechos humanos indivisibles e interrelacionados, lxs actores ultra conservadores lo emplean para delimitar y describir un subconjunto de derechos humanos que ellxs consideran «verdaderamente fundamentales». Todos los otros derechos estarían sujetos a la discreción del Estado, serían derechos 'nuevos' u opcionales. Este discurso resulta especialmente poderoso ya que instala una categoría indefinida - lo «verdaderamente universal» - que queda abierta a interpretaciones cambiantes.
Le salaire minimum en Géorgie est l’un des plus bas dans le monde. Cette réalité touche surtout les femmes.
Non seulement le pays a un écart de rémunération important entre les genres, mais les femmes travaillent également des heures plus longues et moins réglementées avant de rentrer chez elles pour s'occuper des tâches ménagères et de leur famille. Il n'y a pas de congé de maternité, pas d'augmentation de salaire pour les heures supplémentaires, pas d'assurance-chômage, et pas de congé de maladie ou d'autre protection sociale. Sous la pression d’organisations occidentales, les partis politiques oligarchiques géorgiens ont mis en œuvre des réformes qui détruisent l'État-providence, augmentent les mesures d'austérité et aggravent l'exploitation des travailleur·euses, le tout au profit des grandes entreprises qui applaudissent le pays pour sa «facilité à faire des affaires». Les médias, cooptés par des intérêts privés et corporatifs, sont partiaux sur ces questions ou les réduisent au silence. L'organisation syndicale reste l'une des rares options pour lutter pour les droits humains fondamentaux et pour tenir l'État et les entreprises responsables des violations et persécutions quotidiennes et généralisées contre les travailleur·euses, et en particulier les femmes.
Source: Minimum-Wage et entretien avec Sopo Japaridze dans Open Democracy
自2019年年末在印尼發生的一連串事件中,我們觀察到了當地軍事緊張與對同志權益的反彈跡象,AWID希望多元的與會者能在論壇齊聚一堂,但這讓我們自問是否能為與會者維持合理安全和讓人感到被歡迎的環境。
經過仔細商討後,AWID董事會在2019年11月決定將第十四屆AWID國際論壇的舉辦地點由峇里島改至台北。
台北擁有穩健的勤務服務能力,對旅客友善(針對國際論壇參與者提供便利的電子簽證流程)。
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