Série sur les résistances féministes
« Rêves d’un avenir féministe »
Reem Al Attar (@reemillustrates), Ottawa, Canada
« Sa réalité féministe est… »
Chulumanco-Mihlali Nkasela (@chulunkasela), Le Cap, Afrique du Sud
La photo a été prise pendant une manifestation à l'Université de Technologie de la Péninsule du Cap. Nous avions mené une série de protestations pendant plus de deux semaines durant lesquelles nous remettions en question les politiques universitaires autour de la violence de genre et des féminicides, et sur la sécurité des étudiant·e·s sur le campus, avec une attention particulière pour les étudiantes femmes et queers.
« Tejedoras de sueños » (« Tisseuses de rêves »)
Diana Mar (@mar_indigo_), Oaxaca, Mexique
Dans la région de la Costa Chica de Oaxaca, le tissage est un héritage de la résistance des femmes qui se perpétue depuis des générations. Nous, les femmes, face au métier à tisser à la taille, nous tissons les fils de nos histoires, de nos combats et de nos rêves.
« Présentes – les femmes dans la révolution »
Eleonora Gatto (@nora_lagatta86), Beyrouth / Italie
Depuis le 17 octobre 2019, les Libanaises sont aux premiers rangs de la révolution contre un système politique empreint de patriarcat. Elles occupent sans s’excuser les espaces dominés par les hommes, mènent des manifestations, s’imposent entre les manifestant·e·s et l’armée, bloquent les routes et réclament des droits pour les femmes, les réfugié·e·s, les LGBTQ+, les migrant·e·s et les travailleur·euse·s sous le prisme de l’intersectionnalité.
« Un violeur sur ton chemin »
Elli Mulder, Manifestation Journée internationale des droits des femmes 2020, Melbourne, 2020 (@ellimulder)
J’ai pris cette photo juste après qu’on ait chanté « Un violeur sur ton chemin ». L’atmosphère était électrique, passionnée. Cette image représente pour moi l’exigence collective et sans détour de toutes les femmes pour que les choses changent.
“We carry one another towards the future”
Marga RH (@Marga.RH), Chile / Royaune-Uni
Jusqu'à ce que la dignité devienne une habitude
Ces portraits s'inspirent de voix issues de mouvements de résistance et de contestation en Amérique latine et notamment du rôle clé que jouent les corps féminisés dans ces luttes. Il s'agit d'un hommage aux mouvements féministes populaires en résistance
« Entretejidas » (« Entrelacées »)
Surmercé (@surmerce), Santa Marta
Mon artivisme est un engagement quotidien en faveur de la décolonisation des sens. J’aime créer des espaces qui communiquent la façon dont nos luttes sont entrelacées, mais surtout qui visibilisent les (r)existences dissidentes, les autres mondes qui sont possibles et les corps vivants de ce SUD.
« Ce que j’ai appris auprès des femmes pour la dépénalisation »
Aline Lemos (@a_linelemos), Belo Horizonte, Brésil
< Arménien·ne·s, le féminisme est notre passé et notre avenir
Que l'invisible soit visible : manifeste d'un.e culturiste au genre fluide à Hong Kong >